Réfléchir sur la Modernité (3/5)

La Modernité Liquide

La rencontre avec les différences s’incarne par la liquidation dans la modernité liquide telle que la scène tirée par le film intitulé « Monsieur Muhsin (Muhsin Bey) » de Yavuz Turgul l’illustre ainsi : Ali Nazik tente de se suicider sur le toit de l’appartement de Doğan puisqu’il a échoué dans son album. Au moment de la tentative de suicide Monsieur Muhsin a réussi à sauvegarder la vie de Ali Nazik par le truchement de discours pacifique comme suit : 

« Monsieur Muhsin : Allez, tenez les mains… Maintenant je prends la marche en arrière tu (Ali Nazik) avance… Ne regardez pas au-dessus… Regardez les yeux et tenez les mains fort… Avancez lorsque je marche en arrière… »

« Avancer lorsque je marche en arrière… » ceci illustre la pierre angulaire de la modernité liquide… Dès lors, l’enjeux crucial de l’intersectionnalité s’appuie sur la liquidation telle que Marguerite Duras le diagnostic par la « maladie de mort ». Je pourrais donc élucider la quotidienneté s’avéré par la consommation / la liquidation de ce que / qui est productive / gentille / noble… : les producteurs / noble / gentille sont enfermés que Monsieur Musin le dévoile tandis que les consommateurs / bourgeois prennent la place sur la scène dans la modernité liquide. En outre, le film de Yavuz Turgul laisse apparaitre l’enjeu crucial de quotidienneté par le symbole de rose lequel s’apparente à la vie ostentatoire sans toutefois intérioriser la philosophie cruciale de modernité telle que la scène de Ali Nazik l’illustre ainsi : « les roses découlés au-dessus de Ali Nazik dans la scène » ceci laisse apparaitre l’énigme crucial de la modernité liquide : pastiche, symbole, imitation, consommer / liquider… La preuve réside dans les tableaux de Chricco lequel critique la modernité liquide par le truchement de l’intersectionnalité entre la phase noire et jaune de la mélancolie : impasse…

Dans ce contexte, il apparait évident que les producteurs condamnent à liquider dans la modernité liquide du fait que le biais crucial de l’intersectionnalité des différences s’appuie sur la dialectique entre les producteurs et les consommateurs bien que les producteurs condamnent à disparaitre / enfermer à la fin de la rencontre avec les consommateurs que le film intitulé Monsieur Muhsin le dévoile. Je pourrais donc mettre en exergue que la perception de la liberté s’incarne par la capacite de consommer dans la modernité liquide. En outre, la modernité liquide s’avère la quotidienneté par la consommation, la dialectique, l’imitation et l’ostentation…

Parallèlement à cela, l’analyse de films de Yavuz Turgul permet de témoigner le vecteur de la modernité liquide pour les pays traditionnelle comme la Turquie : « la modernité symbolique » lequel s’apparente au pastiche de la modernité liquide… La preuve réside dans le procédé de Ali Nazik : la soumission de l’alcool, la posture duale, les roses, l’ostentation, l’imitation sans toutefois réfléchir sur le contenu… Partant de ce postulat, je pourrais mettre en relief que l’enjeu cruciale de la « modernité symbolique » inhérent aux pays traditionnels s’appuie sur « art de transfert » au lieu de dialectique que la modernité liquide l’illustre… puisque Ali Nazik se remplace par Monsieur Muhsin de manière burlesque… Je pourrais élucider la nuance entre la modernité liquide et sa version pastiche en tant que « modernité symbolique » par la divergence entre la dialectique et « art de transfert » : lorsque la dialectique construit l’affinité hiérarchique, « art de transfert » assurent la remplacement… Vu que les pays traditionnels ne produisent pas, c’est-à-dire ne sont pas des pays industriels, la consommation / liquidation ne s’effectue que par l’art de transfert telle que Zygmunt Baumann l’élucide ainsi : « There must be two for one’s freedom » cela dit l’intersectionnalité. En outre, la modernité symbolique n’est que la pastiche / l’imitation burlesque de la modernité liquide que les élites le laissent apparaitre par copy paste burlesque de mode de vie en ce qui concerne la modernité liquide puisque la modernité symbolique s’avère l’acte de consommation en tant que la vaporisation de différences en ignorant la dialectique entre la supérieur et l’inferieur tandis que la modernité liquide s’expose les différents versants de l’acte de consommation comme « art de transfert », « dialectique », « construction de camera obscura »,… etc. pour ne pas vaporiser mais liquider les différences convenant à la philosophie cruciale de la classe sociale : la hiérarchie… Je pourrais donc mettre en exergue que la supériorité dérive de l’existence de l’infériorité dans la modernité liquide s’apparente aux pays industriels que Marx l’élucide voire Chirico le dévoile bien que la modernité symbolique s’avère la quotidienneté en tant que la version pastiche de la modernité liquide de manière burlesque dans les pays traditionnelle come la Turquie.

Je pourrais ainsi récapituler l’enjeux cruciale de la modernité liquide par le jugement, l’accusation, la spéculation, le sens fragmente, codes / symboles, création de mythe…etc. pour assurer la supériorité des Bourgeois… De même, David Riesman forge la notion intitulée other directed type lequel surveillent / imitent ce que les bourgeois font : l’imitation, la surveillance des bourgeois sans toutefois réfléchir sur le contenue… La preuve réside dans le livre intitulé « The Waves » de Woolf ainsi : Louis tente de remplacer / imiter le mode de vie de Bernard puisque Bernard symbolise la supériorité / l’aristocratie pas celui de bourgeois… lorsque Bernard se penche sur la question d’existentielle. En outre, ceci laisse apparaitre la hiérarchie sociale dans la société couronne par les espaces publiques : les espaces publiques se référent aux lieux de la liberté dans la modernité liquide à la différence de la modernité solide où l’espace privé s’incarne par l’emblème cardinale de la liberté. Je pourrais ainsi mettre en exergue que la liberté s’apparente à l’identité favorise, l’ostentation, le prestige social, la présence dans l’espace publique, la capacite de la consommation / liquidation, … etc dans la modernité liquide. Mais toutefois, les identités défavorisées sont interdites à se trouver dans l’espace publique puisque l’intersectionnalité entraine l’impasse de rencontre avec les différences. Je pourrais déduire que la colère mystère s’appuie sur les jeux d’envie permet d’enfermer / de stigmatiser / d’humilier les identités défavorisés (opposes / différents) pour continuer éternellement la longévité des identités favorisés (élites) telle que le principe crucial de la modernité liquide s’apparente à « faire vivre laisser mourir » en tant que l’emblème cardinal de pouvoir : la démocratie oligarchique lequel ne soutienne que les droits des identités favorisés.

Par conséquent, je pourrais mettre en relief que la maitrise de droits / de la langue des élites (bourgeois – identité favorise) contrôle / gouverne la quotidienneté que ceci entraine la répétition de la quotidienneté en bouchant la voie de la mélancolie. En outre, la quotidienneté exposée par la modernité liquide est au seuil de liquider elle – même au fur et à mesure que les vies des homo – faber sont gâchées pour renforcer la supériorité des identités favorisés convenant au principe de la modernité liquide : « faire vivre laisser mourir » lequel ne pourrait guère à enfermer / disparaitre les homo – faber issus des identités défavorisées. Je pourrais donc conclure que « ce qui / qu’est liquide condamne à se liquider » telle que la pierre angulaire de la modernité liquide s’identifié par gravitas, nobilitas et dignitas se transforme en fluidité, homo – faber et culture dans la modernité fluide. En outre, la colère mystère inhérent au pouvoir des bourgeois se transforme en l’humeur / l’esprit dans la modernité fluide que ceci permet de se débarrasser par les vagues inopinées et continuer à produire / créer dans n’importe quelle situation. Ceci laisse apparaitre le basculement des habitus lié à la modernité liquide aux principes inhérent à la modernité fluide.

Réfléchir sur la Modernité (2/5)

Edward Hopper

La Modernité Solide

C’était en 2006 que je me suis penchée sur la rédaction de la thèse intitulée « le dilemme commun dans les films de Yavuz Turgul : la tension entre la modernité et la tradition »… La conséquence de cette recherche permet d’élucider l’omnivalent de quotidienneté telle que j’ai forgé la notion intitulée la modernité spatio – temporelle en tant que le vecteur de la modernité solide où la quotidienneté est ancrée dans le passé que la tradition l’illustre. La preuve réside dans les films intitulés « Bandit (Eşkiya) » voire « Jeu d’Ombre (Gölge Oyunu)’ de Yavuz Turgul : la dichotomie entre la vie zoé et bios ainsi que la subordination des uns des autres prédominent dans la quotidienneté et donc dans la modernité solide. De même, la domination masculine voire celle de religion engendrent la restriction de la liberté des gens issus de hors de la famille souveraine (la vie nue). Je pourrais donc mettre en relief que la dépendance / le conformisme s’imprègne la modernité solide autant que le principe de l’immanence des vies de peuple au souverain laisse apparaitre l’écart existant entre les peuples et la famille de souveraine.

Dans ce contexte, il apparait évident que la liberté s’apparente à la famille de souveraine lorsque la dépendance s’incarne par les peuples telle que l’art de l’arrangement des espaces dans la modernité solide dévoile cette dichotomie : les châteaux – le palais symbolise l’emblème cardinal de la liberté tandis que l’espace publique se perçoit en tant que le berceau des dépendances dans la modernité solide. Je pourrais ainsi mettre en relief que le langage de la famille souveraine gouverne / cultive la vie nue à l’égard d’estime personnelle / familiale pour continuer à la longévité de dynastie de la famille souveraine voire être unicorne. En outre, le pouvoir dans la modernité solide s’incarne par la famille de souveraine lequel maitrise la langue dévoile la vie dichotomie entre les dépendants (peuples) et la famille souveraine : le coutume / l’habitus lié à l’intelligence s’identifie par la famille de souveraine en tant que l’emblème cardinal de la liberté tandis que le coutume / l’habitus lié aux servants élucide que la modernité solide définit le lieu de confidence / liberté par le château / le palais lequel est l’emblème cardinal de pouvoir s’identifiée par supériorité, singularité et solidité tandis que l’espace publique s’incarne par le lieu de déviance / dépendance que la misère de peuple l’illustrent.

Je pourrais donc déduire que la matrice de quotidienneté dans la modernité solide s’incarne par le pouvoir pastoral / le pouvoir absolu de la famille de souveraine que la maitrise de la langue, l’appartenance à la famille souveraine, la vie dans le château / palais, l’habitus lié à l’enrichissement culturelle / intellectuelle, la domination masculine / religion et l’être unicorne / singulier sont la pierre angulaire de la liberté. Vu que la langue de souveraine symbolise le pouvoir en tant que l’interlocuteur de Dieu, les peuples perçoivent comme dépendante / obéissante que David Riesman le diagnostic par la notion intitulée traditionnel directed type : obéir sans toutefois réfléchir sur le contenu puisque ce que la famille de souveraine affirme, se perçoivent comme le crédo de quotidienneté. En outre, les différences / la vie nue condamne à  ex – cepter par le cité, c’est-à-dire vaporiser puisque l’enjeu crucial de la modernité solide s’appuie sur l’être unicorne lequel ignore les différences. Dès lors, personne n’ose à déclarer l’opinion ou bien à faire commentaire à propos de décision de souverain sinon la colère en vitrine laisse apparaitre au-dessus de différences / la vie nue : ex – ception ou bien exemple puisé sous les yeux de peuples pour renforcer le pouvoir de souveraine. Je pourrais ainsi recapituler que les différences / la vie nue condamne à vaporiser dans la modernité solide car l’harmonie dans la société est dû à la langue unique de souveraine.  Parallèlement à cela, je pourrais élucider la pierre angulaire de la liberté dans la modernité solide par le triangle de « amour – esprit – honneur ». Je pourrais donc mettre en relief que les différences pourraient acquérir le respect / la visibilité/ la liberté par le truchement de la subordination de l’être / de la famille souveraine / dépendante/ assujettissante sinon les différences s’incarnent par la vie nue voire hors des normes masculin / religion telle que la vie nue condamne à vaporiser convenant au principe de « faire mourir laisser vivre » afin de procurer la longévité de la dynastie.

Par conséquent, je pourrais mettre en relief que la maitrise de la langue souverain contrôle / gouverne la quotidienne que ceci bouche la voie de la mélancolie voire construise les failles entre les peuples et la famille souveraine telle que les jeux de castration en tant que le pilier crucial de la solidité le laisse apparaitre : la langue de souverain est la chaine cardinale de la liberté au fur et à mesure que la domination masculin / religion joue le rôle cardinal en ce qui concerne le gouvernement de la vie nue. Ceci me revendique la phrase cruciale de Virginia Woolf : « Les pensées / les regardes pourrait être la cage de la réalité / liberté… »

Je pourrais donc conclure que « ce qui / qu’est solide condamne à vaporiser » telle que la modernité liquide le dévoile par le remplacement des espaces : « l’honneur » est le point achille des nobles que les bourgeois contournent la quotidienneté en liquide. De l’exprimer de manière diffèrent, « l’honneur – l’esprit – l’amour » en tant que la pierre angulaire de la modernité solide transforme en « gravitas – nobilitas – dignitas » dans la modernité liquide. Comme le met en relief Virginia Woolf « There is nothing staid nothing settles in this world”… La prévue réside dans la modernité liquide lequel hante la modernité solide…

Réfléchir sur la Modernité (1/5)

Edward Hopper

La condition cruciale de la modernité est l’être homo-faber »

Hannah Arendt

« Ce qui est fluide s’incarne par le recyclage / la métempsychose »

Ozden Turhan

Introduction

Je pourrais élucider que l’énigme de la modernité s’avère par la rencontre avec les différences lequel se représentent l’omnivalent de quotidienneté convenant à la perception de la liberté telle que je pourrais donner l’acception de la modernité par la co – existence auprès de différences si idyllique que les êtres ne sont pas subordonnés les uns des autres. Donc, la mélancolie laisse apparaitre la fusion de différences en tant que la co- existence dans la singularité. Partant de ce postulat, je pourrais mettre en exergue que la modernité s’incarne par le complexe de quotidienneté. De même, la pierre angulaire de la modernité s’appuie sur la construction de pont entre le passé et le présent que la négociation engendre la co -existence auprès de différences sous le toit de la démocratie, culture et du droit… Il apparait donc évident que la modernité se réfère à la mélancolie selon laquelle le temps coule circulaire comme le temps Heraclitus que les principes et les désœuvrements des habitus entrainent à se débarrasser par la circonstance de même destin… Je pourrais déduire ainsi que la modernité ne se reflète que le présent en négociant le passé et le présent. Ceci illustre le changement perpétuel, c’est-à-dire l’évolution infinie telle que la modernité s’exhibe la fluidité de temps ainsi que celle de quotidienneté.

Pourtant qu’arriverait – il si la négociation entre le passé et le présent sont en impasse et / ou engendrent la subordination ? C’est là où l’éloignement de présent et donc quotidienneté commence : la tradition. En faisant la référence à ma thèse de licence en sociologie « le dilemme commun dans les films de Yavuz Turgul : la tension entre la modernité et la tradition », je pourrais expliquer l’acception de tradition par le passé voire par le rétif aux changements que ceci dévoile linéaire du temps selon lequel le coutume / l’habitus et le mode de vie bouche la voie de la négociation entre le passé et le présent. Dès lors, l’échec de la négociation auprès de différences laisse apparaitre conformisme et / ou intersectionnalité que ceci illustre la mutation de quotidienneté : le basculement des espaces à l’égard de capital, c’est-à-dire la mutation de la famille à l’identité. Je pourrais donc recapituler que la tradition s’identifie par la répétition de la même quotidienneté sans toutefois reconnaitre les différences telle que le coutume / l’habitus met en scène la convergence en ce qui concerne le mode de vie entre les aristocrates et les bourgeois. La preuve réside dans la distinction des espaces de liberté… De l’exprimer de manière diffèrent, la tradition se réfère à l’amalgame de phase noire et jaune de mélancolie en tant que le passé / la fatalité de la même matrice de quotidienneté telle que ceci laisse apparaitre linéaire du temps : le remplacement, la dialectique, la dichotomie, la mutation de matrice de la quotidienneté en tant que passé.

Dans ce contexte, je pourrais mettre en relief que la matrice de la quotidienneté ancrée dans le passé / tradition s’exhibe à la fois la solidité et la liquidité telle que la rencontre avec les différences condamne à passer par mal excessive… De l’exprimer de manière diffèrent, la tradition s’identifiée par l’ironie de quotidienneté engendre la société de la colère que ceci illustre les jeux de castration / d’envie afin d’assurer la robustesse de familles et / ou celle d’identités dans l’espace dès lors que la modernité solide ainsi que la modernité liquide exposent la quotidienneté en tant que l’union des identiques c’est la raison pour laquelle les différences se perçoivent comme la menace / le danger pour la longévité de la famille au pouvoir et / ou de l’identité prégnante dans la modernité solide / liquide telle que la plume de Woolf le dévoile ainsi : There are distinctions… There are order in this world… » pourquoi ?

“Gracias por todo ‘poeta del tenis’”!

I really would like to write this post in Spanish for present my respect to “poeta del tennis” Rafael Nadal nevertheless my Spanish knowledge let me to write only its title! “Perdòn por eso!”

It has been how many years that I am contemplating the art of Rafael Nadal’s playing tennis, I don’t know – I even ignore to count it for emphasize his eternality on the courts… Personally I owe him a lot not only for improve tennis level but also for illustrating how discipline, principles and ritual allow to flow in a way robust wherever he is! Yes, I am talking about his ritual of putting water bottle equally during his matches because I can highly assert that it is not easy to adapt every week in a different city / country and also variety of courts! He managed it such delicately that he is not only expert of clay court but also every different type of courts that he managed to crown them with grand slam triumph!

In addition to this, Nadal permit to illustrate how important to think quickly / to take right decision in the right moment in seconds for deal with every kind of shots in tennis and every kind of circumstance in daily life which is uncertain and unpredictable that Ulrich Beck emphasizes it.

In anyhow, as adage says so “every beginning has an end….” Unfortunately, this is the last season for Nadal, and this was the last poetry of him ended with melancholy: joy, tears, enthusiasm commingle one and another… He accentuates it like: “If This is the last time, I enjoyed it….” Yet, hopefully in his speech he declared that he will be in Roland Garros again for the Olympic Games 2024 in city of light, Paris.

Consequently, I could recapitulate that “Gracias por todo ‘poeta del tenis’”!

“Oldies But Goldies” Colliding!

Tonight Andy Murray and Stan Wawrinka has just been illustrated an incredible match that allows to affirme Murray’s classical sign “life in the old dog yet”. By considering both player’s age and their art of playing in this high level tennis permit me assert that “age is nothing!”.

Thank you Wawrinka and Murray for that great match and also for illustrating how tennis engenders variety of games depending on intelligentsia that Wawrinka’s crucial sign after getting point showed it by stressing mental / brain competence! Although after two sets down against Wawrinka, Sir Andy Murray unfortunately gave up the fight! Yet at the end “vintage” variety of game won!

In any case, it is always so pleasure to contemplate Sir Andy Murray on the courts after having those nightmares injuries occurred in his idyllic tennis career… Therefore, in every meaning and context Murray prove that he is “wisdom of return”. I really wish from bottom of my heart that Murray would crown his retirement with Wimbledon triumph… Why not? Nothing is impossible!

Waiting for Roland Garros 2024…

It was the beginning of 2011, and I had a chance to have my PhD degree in France where I was dreaming to live for short term since my childhood! In my 30th ages I made it realized! And in my “to do list” there were Roland Garros and rebegin to play tennis… but unfortunately, I could realize none of them, because of non sensical “violence symbolic/identitarian” that I had to face with! It was like “yesterday’s ghosts desire to take their revenge by innocents” … In other way, it can be justified ongoing xenophobia exercised by such and such “identities” as if “right to do cruelty / right to take revenge” … reminding “Hitler’s speech” too! Anyway, past is Past…: take lessons and not forget and try to tolerate the cruelty but never stuck in it! Although that coast a huge coup in my idyllic life – academic carrier, I keep continue to “back to my life” that I used to… By trying to come back to my idyllic life – carrier, I had to rebegin from the beginning, my childhood period, such as tennis had a huge place in my childhood even though in Constantinople there were not any place to play tennis… I thereby could only watch it! Hence, Roland Garros and Wimbledon tennis tournament means a lot for me that I am so pleased to write something about tennis after many years…  

In two days, Roland Garros 2024 will be legally started as most of the tennis lovers looking forward to contemplating this gorgeous tennis tournament. When I examined the schedule of the first round in the men side, there is so interesting matches made feel like surveying final… Sure I am mentioning about the eventual Zverev – Nadal match which will be hold in the first round. In fact, this evidence reminds me Heraclitus time! Honestly, it seems to me so strange that time really flows circular – spiral… two years ago, Zverev suffered gruesome injury during his Roland Garros semifinal against Rafael Nadal therefore he was forced to retire and did not play again the rest of the season! Yet now both tennis player will be on the court again that really sounds like “back to the future”! In a word, Heraclitus time works perfectly! From now on I am already so exited to contemplate this gorgeous match which makes me feel like early final…

Besides that, Andy Murry and Stan Wawrinka will be meeting in the first round! That match probably will be reminded “oldies but goldies” clashes but also guaranteed the tennis intelligentsia on the court. In addition to that the matches of “magician of the court” Gael Monfils are always worth to watch! Although his way of playing tennis is so extra – ordinary, he should temperate the show with the serious, if he can manage to do it, there is nothing to stop him even his age which is just a biological factor and have no relate to physical performance even it can be engendered advantage as experience and as easily reading opponents’ game! So, it is always pleasured to watch him on the courts… And also, I would highly desire to watch the art of playing tennis of the invisible Jeremy Chardy and Pablo Carreño Busta– I even do not know if they get retired or not – ! According to schedule, I could not see their names! Anyhow, men side of the tournament seems so vivid – competitive – dynamic from the first round!

What about lady’s side?

 I am wondering the question on future candidate of legend after the wind of William sisters! In fact, I observe a non-sensical “curse” on lady’s side such as approximately every year championship is changing! In anyhow, I was thought that my favorite Gabriñe Muguruza and Angelique Kerber supposed to be next legend as the same as William sisters but unfortunately unexpected injury periods cut off their well-deserved future! Besides that, Svitolina’s back on the court makes me so happy! As she stresses that “she is also fighting for Ukraine”! Consequently, I could predict that Coco Gauf, Iga Swiatek and so on (sorry every time most of the lady tennis player changes so it is not easy to memorize their name!) have light to be next legend if there are not any “unexpected” moments!  

As a result, tennis is tennis which commingles everything inherent to daily – life…

Good luck for everyone and hoping to have wonderful two weeks throughout the Roland Garros 2024! Play like a Parisian!

NB: I really miss to listen Barbara Schett, Mats Wilander and of course John McEnroe’s comments on tennis… if you are related in tennis, I highly recommend listening to them that helps to improve your game!

NB: sometimes it would be better do not pursuit childhood dream! Or do “analyze it if the situation is the same or not!” And last one, whatever happens always protect your “soul” to not allow them to transfer non-sensical revenge / hate to you! In every condition keep do your crucial work for which you dedicate your life! I dedicate myself to writing and being sociologist and keep doing it!

The enigma of “living” ….

Photo by Özden Turhan

What does it mean living?

To breathe in and to breathe out or it is all about the feeling derived from existence?

Will you continue to ignore someone else’s existence?

So, what is the difference to kill someone and to ignore someone else’s existence?

Nothing…

Will you still resist to ignore recognizing someone else’s talent which is the crucial emblem of existence?

If so, what is your difference to the murderer who eliminate / disappear the voice of someone else’s that murderer do not want to listen?

Nothing…

Are not we all specific and worth to be recognized by the society?

So, living is passed by declaring “I am exist” in contrast of “I am nothing” which has no any difference to die…

Existence is crucial part of living… because that allows you to…

Feel to be useful for the world…

Feel to be understood by the society…

Feel to be able to involve into society by lacking all kind of worry…

After all, the enigma of living hide behind gorgeous memories to endure every circumstance of “Dorian”…

Existence…

“Attraversiamo!”

“Change was incessant and change perhaps would never cease.”

Orlando, Virginia Woolf.

It has been for a long time that I watched the film entitled Eat, Pray, Love… Yesterday I preferred to watch it again to try to understand ongoing resistance / insistence of “being in the past” and also “totally closed to all kind of changement”. How can be understood the scare / fear of people against changement which is a part of life? In daily life “changement” considered as something weakness / bad sign such as most people around the world are so proud to remain “same” / “robust”. This evidence is illustrated by the discourse as:

“I am still the same and resist against all kind of changement.”

“Nobody can replace me from here.”

“I born here and I will die here.”

etc.

According to those discourse, it is evident that “changement” is perceived as weakness / being loser / lack of character…Does it really refer to weakness or being looser or lack of character….? For sure, it is necessary to highlight the crucial difference between “mutation” and changement: changement is similar to flow into the time convenient to principes like water which flows in every different form by not changing its content whereas mutation refers to become something extremely different / opposite of its original like chameleon which camouflage itself by transferring. Because being robust and same is related to the principes which can be developed with respect to every condition and “changement” permit to engender development / evolution of character as “grow up” and also as “recognition of yourself”! Drawing on the film Eat, Pray, Love, this evidence is elaborated throughout the letter / e-mail written by protagonist of the film Elizabeth Gilbert (Julia Roberts) to her boyfriend David (James Franco) as:    

“Octavian Augustus built it to house his remains. When the barbarians came, they trashed it along with everything else. The great Augustus, Rome’s first true great Emperor, how could he have imagined that Rome, the whole world as far as he was concerned, would one day be in ruins? It’s one of the quietest and loneliest places in Rome. The city has grown up, around it over centuries, feels like a precious womb, like a heartache you won’t let go of…as it hurts too good. We all want things to stay the same, David. Settle for living in misery because we’re afraid of change, of things crumbling to ruins. Then I looked around this place, at the chaos it’s endured, the way it’s been adapted, burnt, pillaged then found a way to build itself back up again and I was reassured. Maybe my life hasn’t been so chaotic, it’s just the world that is and the only real trap is getting attached to any of it.

Ruin is a gift. Ruin is the road to transformation.

Even in this eternal city, the Augusteum showed me that we must always be prepared for endless waves of transformation. Both of us deserve better than staying together because we’re afraid we’ll be destroyed if we don’t.”  

Although it is hurting, it is difficult to accept unexpected ruins / disasters / subversion in the life, they incite to the changement by holding tightly principles and if it is necessary, it arouses development personal. By referring to the novel Siddhartha of Hermann Hesse, I can barely assert that changement is the journey to discover self – recognition and also in the way of everyone else all kind of obstacles or difficulty or something else play a crucial role to reach your main goal as soon as you stop to resist / complain / regret / depress towards it. Otherwise, it turns into “mutation” that means you are at stage of far away from yourself in where alienation engulf you…. As Ulrich Beck points out the crucial property of modernity by “unexpected disasters” which are impossible to calculate therefore instead of resisting against changement it would be better to find out your “own words” to break the chains of dependence…

 So, what is your word?

“Little Prince” of the courts: Alex – Sascha Zverev

Do not know where to begin to describe Alex – Sacha Zverev’s history of return… Rise… Fall… Injury break… Must begin from the beginning… Adaptation… Try to find rhythm that he is used to play… Come back… Try to not to think about the injury moment when he was so focused and managed to develop his art of play tennis… Finally reach the level where he was before the injury… This evidence is illustrated at the end of match by his speech: “The last two years have been extremely difficult… coming from injury that I did not know if I ever going to be on this stage regardless of winning or losing so this moment is extremely special!”

In addition to this, Zverev never gives up asking himself “what does make different me among the other players?” reminding Little Prince’s discourse on his rose “what makes different my rose to the others which are similar to each other” … That is the milestone of getting up from the bottom to the top: to recognize your specificity….

Finally, today he has proved his return by crowing it well-deserved champion triumph in Rome 2024…

Congratulations Alex-Sacha Zverev….

A Quoi Sert La Punition ? (6/6)

Corinne Mercadier

Conclusion

La sécurité dérive de la punition ou la cultivation ? L’intimité pourrait être le point achille des gens ou bien l’intimité devrait être protéger par les droits ? Lequel est important : la longévité / continuité éternelle des élites ou bien la volonté générale de société ? Le racisme ou bien l’humanité ? La culture assure -t – elle l’harmonie sociale ? Pourtant pourquoi existe – t -elle la prison ? La prison est le lieu de réhabilitation / cultivation sans stigmatiser les gens ou bien la prison sert à produire reproduire les tributaires ou bien la prison assure l’écart existante entre les élites et les autrui dans la modernité liquide ? Or, la prison n’est que l’acquisition du pouvoir absolu ? A quoi sert la punition ? Punir se réfère à sanctionner – castrer ou bien punir s’apparente à comprendre – cultiver ?

Tout au long de cette recherche intitulée « A quoi sert la punition ? », je me penche sur la question de punition en tenant compte tous les versant que je pourrais envisager… Je forge la notion de biopolitique ciblée et celle de biopolitique ad – hoc pour mettre en scène la nuance de racisme / violence des élites à l’égard de diffèrent type de quotidienne : De la violence identitaire / religieuse / familiale à la violence psychologique. De l’exprimer de manière diffèrent, biopolitique ciblée se réfère à la mutation de biopouvoir que les prisons sont considérées les lieux des exemples puisés pour inculquer le pouvoir absolu des élites tandis que biopolitique ad – hoc s’apparente à l’art de transfert que Baudrillard l’élucide par simulacre puisque les prisons sont devenues les lieux de reproduction / production des esclaves / tributaires / agent sociaux en tant que « quiet cat » des élites. Vu que la pierre angulaire de biopolitique ad – hoc s’appuie sur les créations des obstacles comme si naturelle, « quiet cat » permet de cacher le racisme / la violence / la supplice des élites voire convertir le fait politique en celui de fait divers. A la différence de biopolitique ciblée, biopolitique ad – hoc ne cible donc que l’individu / la famille que le culte réactionnaire du passé laisse apparaitre le pouvoir déesse des élites dans la modernité liquide.

Dans ce contexte, il apparait évident que la punition est la pierre angulaire de pouvoir absolu et / ou pouvoir déesse des êtres dans la modernité liquide telle que « le dilemme commun de biopolitique » le laisse apparaitre « la création des canyons entre les élites et les autrui que ce soit par habitus ou art de transfert.»

D’ores et déjà, il apparait évident que la punition sert à castrer / consommer / sanctionner le parasite lequel s’identifie par la menace pour la longévité / la continuité éternelle des élites. Le racisme donc est la force motrice de la punition dans la modernité liquide…

Comme la photographe Corinne Mercadier illustre la dissolution des jeux psychologiques des élites que biopolitique ad – hoc le dévoile : du symbole de racisme définie par l’emblème de l’éternité au ruban. Ceci laisse apparaitre que la culture pourrait résoudre la nœud des élites symbolisée par l’emblème de l’éternité puisque biopolitique ad – hoc s’avère en même temps le nouveau vague de racisme faite par les jeux psychologiques que je l’élucide par envie reflété lequel bouleverse tous les jeux dangereux des élites… Ainsi le symbole d’éternité contourne en ruban…

Par conséquent, l’énigme de racisme exercée par les jeux psychologiques des élites surgit sur la surface par le concept intitulé « biopolitique ad – hoc » et « Art de transfert » que les élites les font pour procurer / acquérir le pouvoir que la punition le dévoile… Ainsi c’est le temps de changement dans la modernité fluide : de la punition à la cultivation telle que la transformation de symbole d’éternité en ruban fait allusion à la fin des jeux dangereuses des élites…. Grace à la science, la punition pourrait se remplacer par la cultivation dans la modernité fluide puisque le chiffre de biopolitique est décodé par envie reflétée et art de transfert…