Understanding Goya…

Francisco De Goya, “The Third of May, 1808”.

I try to interpret the works of Goya different from the common signification because, the works evokes the “obscurity, ugly, looseness, violence…” cannot refer to “the death”, but the “banalization of violence” among the Spain’s territory in where “brothers / sisters” were fighting for…… In other way, I understand from Goya’s works that the painter decrypts the truth / the reality of “banalization of violence” throughout the internal war in Spain in a way satiric. In this context, I scrutinize the works of Goya regarding to various perspectives that the painter illuminates / guides as the role of avant – garde for the society: the reality shown as the banality of violence throughout the black and yellow phase of the melancholy: the “human nature” and “the ambiguity of power”.

Based on that postulate, I can underline that the cruel / the violence / the anarchy on the Spain’s territory is reflecting on the toile of Goya by “the black phase of the melancholy “ that illustrates “the difficulty of share the common territory among the Spaniards such as Goya decrypts the shame of the cruel by resembling the violence between “father / child” for emphasize “the human nature throughout his work “Saturn devouring his Son”.

Francisco De Goya, “The Family of Charles IV”.

On the one hand Spanish royalty family’s eyes / regards stared fixedly by reminding the fear of decadence and on the other hand the cunny eyes of the Spanish citizens widespread the “mouvais odeur” (refers to “envy” in the sense of Nathalie Sarraute) shown by black phase of the melancholy: the fear / inquietude of social change spreads out the anarchy / the cruel that Goya illustrates this social fact throughout his works.

Francisco De Goya, “Two Old Men Eating”.

In the lights of Goya’s works, it is evident to observe / understand the “grief” of the transition period from the age of belief to the age of reason illustrated by “cruel, ugly, looseness, violence, black…” throughout the Goya’s toiles as “the enigma of reality” spreading out the “mouvais odeur” through the fight / cruel / violence among the Spaniards that is difficult to declare the fact of “internal war” in Spain such as Goya illustrated it by the black phase of melancholy as the fear of commingling / changing the social norms in Spain in a way satiric.

Nevertheless, according to the yellow phase of the melancholy, Goya decrypts on the one side the hesitation period of change and on the other side “the ambiguity of power” throughout the works. In other way, it can be observed the change on protagonist’s eyes / regards of the Goya’s toile by considering the hesitation period: from fear / fixed eyes to the hesitation / surprised eyes shown by the yellow phase of melancholy to underline the desire of luminary and peace throughout the Spanish territory.

In this context, I can emphasize that while Spain was suffering from the “internal war” and the “grief” of the transition period, the appearance of French posture in Spain’s territory occurs as offering luminary but hesitated / fearful (even suspected) regards / eyes of Spanish evokes the second phase of melancholy that I illuminate as : the desire of wake up from tired and suffered but hesitation of commingling / having confidence to the difference. The exigence of wait for rising sun instead of the distance reminded by metaphor between Saturn and Sun such as the reflection of melancholy flows by yellow color for highlight the distance, difference and ambiguity between interior and exterior.

In the light of that postulate, I interpret the work of Goya “The Third of May, 1808” beyond its common signification because the enigma of it illustrates the desire of luminary (incarnated with the French posture), among the Spaniards but at the same time the hesitation period figured out upon protagonist’s visage through the regards and the colors of clothes (yellow and white) while his entourage covered with obscurity / black phase of melancholy that exhibits the cruel / violence among the Spaniards. In other way, I can elucidate “The Third of May, 1808” by following the thoughts of Bernard Lewis that Goya decrypts the desire of luminary period and at the same time the ambiguity of power as being “orphan” that exhibited by the toile entitled “Half-submerged Dog” of Goya: between two worlds, hesitation, desire to trust / believe the luminary meanwhile ambiguity, fear and lack of confidence…

Francesco De Goya, “Half-submerged Dog”.

Therefore, Goya’s works reminds me that the cruel / violence / anarchy does not derive from the outside of the territory of such and such countries although it is difficult to declare that the citizens of the same country are arguing / fighting / humiliating one and another for…….

As a result, while I was trying to understand Goya’s works, Picasso had already emphasized the crucial role of subjectivity and the variety of meaning throughout the Guernica for make understood Goya’s famous toile as a kind of peaceful hands… Consequently, art is such deep that it is difficult to categorize and judge it according to “common signification” …. There is always beyond…  

Sociologie de l’art…

“Between You and I”, Anthony McCall.

« Home as the museum that makes possible to visit history of world. »

Özden Turhan

L’art mais pourquoi ? Quelle est l’affinité entre la société et l’art ? L’art sert à la démonstration de noblesse ou bien l’art est la guide cruciale de société ? Pourquoi l’art est la pierre angulaire de société ? Les questions à propos de l’art hantent les réflexions sociologiques puisque les gens issus de la modernité solide / liquide ont la tendance à évaluer l’art en tant que l’amusement voire la décoration en ignorant le sens… La preuve réside dans « Contemporary art Istanbul »… c’était en 2007 / 2008 que j’ai travaillé dans un Galerie de l’art français participé à « Contemporary Art Istanbul » telle que j’ai témoigné la manière de choisir des tableaux s’effectuent à l’égard de l’harmonie avec les meubles au lieu de sens propre / value propre des tableaux… De même, j’entends toujours le même discours quand je suis au muséum / à la galerie d’art… : « mais je pourrais le faire / dessiner aussi… pourquoi ce tableau est si cher ou bien pourquoi ce tableau s’expose dans le muséum… » La vulgarisation de l’art commence ainsi… c’est la raison pour laquelle je scrutine la question de l’art en tant que le fait social en suivant les œuvres de Goya et celles de Groupe Zéro pour comprendre l’affinité entre la société et l’art…

D’ores et déjà, je pourrais mettre en exergue que la perception de modernité joue le rôle cardinal en ce qui concerne la valorisation ou bien dévalorisation / vulgarisation de l’art puisqu’il apparait évident que la culture de la modernité solide / liquide ont la tendance à évaluer l’art en tant que l’enthousiasme/ décor tandis que la culture de la modernité fluide laisse apparaitre l’art en tant que le guide crucial de société. La preuve réside dans les époques de renaissance où la famille de Medici a ancré le rôle crucial de l’art dans la société : l’art s’apparente à l’avant – garde de société ». Je pourrais ainsi mettre en exergue que l’art se réfère au « miroir de société » voire à la « guide de société » afin de déboucher la voie d’évolution que la famille de Medici le dévoile dans les époques de Renaissance. En outre, l’art lève le voile la sociologie cruciale de société voire l’art permet d’envisager le futur. Je pourrais ainsi illustrer l’énigme de l’art par le pont crucial auprès de passé, présent et future que l’art me permet de faire le tour de monde voire le tour de la mélancolie convenant à la culture de la modernité / quotidienneté :

  • Goya laisse apparaitre les chagrins de révolution mais en même temps la volonté de la lumière par la phase noire / jaune de la mélancolie que ceci s’apparente à la culture de la modernité solide / liquide.
  • Hopper dévoile la dialectique entre les élites et les ouvriers mais en même temps l’espoir de construire le dialogue entre les différences par la phase jaune / rouge de la mélancolie que ceci se réfère à la culture de la modernité liquide / fluide.

Dans ce contexte, je pourrais mettre en relief que l’art ne pourrais guère s’apparenter à peintre / copier/ imiter / dessiner la nature pourtant l’art s’identifie par la sociologie de quotidienneté, c’est-à-dire l’art joue le rôle crucial en ce qui concerne la réflexion sociologique de société voire le guide cardinal de société. Je pourrais ainsi mettre en exergue que l’art joue le rôle clé de voûte auprès de passé, présent et future : la négociation auprès de différences. Partant de ce postulat, il apparait évident que l’art permet de scrutiner à la fois la culture de quotidienneté et le fait social prégnant de société. Ceci m’oriente à élucider la nuance entre la technique de l’art et la culture de l’art : la technique de l’art laisse apparaitre à la fois la manière de peinte et les innovations tandis que la culture de l’art s’apparente à la fois à la sociologie et à la modernité. En outre, la technique de l’art s’incarnée par le mouvement de l’art ne s’explique guère l’art puisque le moment de l’art définie comme cubisme, symbolisme, surréalisme, etc. ne s’identifie que la technique de peinte telle que ceci laisse apparaitre la répétition de même type de tableau que Andy Warhol l’élucide de manière satirique par le motto ainsi : « l’art pour tout le monde ». Parallèlement à cela, l’art ne pourrait jamais s’appuie sur seulement la compétence de peintre, si cela est le cas alors je pourrais mettre en exergue que l’art s’apparente à la décoration / à l’amusement que les discours des gens issus de la modernité solide / liquide l’illustrent : « Je n’ai sait pas si ce tableau est convenant au salon de la maison » ou bien « l’art sert à amuser voire passer le temps sans aucun réfléchir et de même montrer la noblesse / l’élitisme artificiellement ».

Je pourrais donc déduire que l’art ne s’identifie guère par le mouvement puisque ceci laisse apparaitre la technique de l’art. Pourtant l’art s’apparente à la culture que Groupe Zéro l’illustre par la mise en scène de différents techniques de l’art inhérent à la bigarrure type de modernité telle que les artistes de Group Zéro mettent le point sur l’enjeu crucial de la culture, de la sociologie et du sens de l’art puisque l’énigme de l’art s’avère par la compétence de comprendre la culture de quotidienneté voire le fait social de société pour refléter le miroir intellectuel à la société que Group Zéro met en exergue l’énigme de quotidienne par les œuvres ainsi : l’exigence de démocratie lequel entraine l’absence de jugement voire l’égalité en / par droit que ceci assure « la multiplication de différences ». En inspirant les œuvres / la culture de l’art de Group Zéro, je forge la notion en ce qui concerne l’acception de l’art ainsi : « manière de la vibration » au lieu de « mouvement » puisque « manière de la vibration » s’englobe à la fois l’exposition de bigarrure type de modernité et la variété de sens découlé par l’ordre culturel de société, c’est-à-dire « manière de la vibration » laisse apparaitre la sociologie cruciale voire la culture de société par le biais de l’art. De même, je pourrais mettre en exergue que « manière de la vibration » encourage la création / la production suis – generis découlée par l’ordre culturel de société c’est la raison pour laquelle j’opte pour définir l’art par la culture au lieu de mots finit par « -isme » lequel suscite à la reproduction des œuvres identiques en éloignant la sociologie elle – même mais en rapprochant au style / courant / mouvement de l’idéologie prégnant des élites que ceci réduit l’art à la décoration et / ou amusement. Partant de ce postulat, en suivant les œuvres de Group Zero, je pourrais mettre en exergue que la modernité fluide laisse apparaitre la culture de l’art s’exposée à l’égard de « manière de la vibration » que ceci lève le voile à la fois l’ordre culturel et la sociologie de société telle que les articles mettent au point sur le sens c’est-à-dire, sur la variété de sens de tableaux afin de mettre en scène le rôle crucial de culture selon laquelle « manière de la vibration » illustre énigme de société ainsi que la bigarrure type de modernité : les œuvres dichotomique / dialectique / complexe dévoilent « manière de la vibration » à l’égard de l’échange / dialogue entre la société et les artistes que les tableaux l’illustrent.

Parallèlement à cela, je pourrais définir « manière de la vibration » en tenant compte « le montre de Zero » de Groupe Zero ainsi : la quotidienneté s’expose les différences d’ordre culturel juxtaposes dans la même espace de temps de manière divergeant que les vibrations donnent la naissance de bigarrure manier / art / technique de création découlée par la sociologie de société telle que ceci dévoile le temps circulaire comme le temps de peintre la sociologie de sociétés à l’égard de vibrations. Je pourrais ainsi mettre en exergue que « manière de la vibration » laisse apparaitre l’omnivalent de quotidienneté ramifiée par rapport à l’ordre culturel que ceci engendre le sens variée / complexe telle que la modernité fluide l’illustre par la spécificité en tant que « manière de la vibration ». Du fait, la culture de l’art dans la modernité fluide solide / liquide s’identifie par « mouvement » permet de témoigner la répétition de quotidienneté convenant à la dialectique entre la supériorité et infériorité que ceci lacune le sens de l’art, c’est-à-dire ceci supprime la value crucial de l’art puisque l’absence de sens / la répétition de quotidienneté engendre à réduire l’art à la simple décoration que les discours des élites issus de la modernité solide / liquide le dévoilent.

Je pourrais ainsi recapituler que l’art s’apparente à la créativité et donc à la spécificité au lieu de la supériorité représentée par les symboles inhérent aux élites issus de la modernité solide / liquide. Je pourrais donc mettre en exergue la nuance entre le symbolisme et la créativité ainsi :

  • Symbolisme s’apparente au code social s’identifie à l’égard de la famille / identité favorisé en tant que l’emblème cardinal de la supériorité convenant à la culture de la modernité solide / liquide telle que les tableaux peint dans la modernité solide / liquide permet de témoigner ce fait social par la mise en scène des personnages / panoramas sur la toile ainsi : allégorie, dialectique, dichotomique, etc.
  • Créativité débouche la voie de l’émergence des êtres culturelle par le biais de la ramification de société à l’égard de l’ordre culturel que ceci engendre la transformation de supériorité à spécificité puisque la dialogue entre les différences couronne l’enjeu crucial de la créativité que les tableaux peint dans la modernité fluide le laisse apparaitre par « manière de la vibration » : l’absence de jugement, la variété de sens, l’encouragement de « be yourself », la culture de quotidienneté voire la sociologie, etc. que Hopper, Group Zéro, Anish Kapour, Goya, Bosch, Velázquez, Chirico, Dali, Arcimboldo, Durer, etc. le dévoilent.

Dans ce contexte, je pourrais mettre en exergue que « manier de la vibration » fait surgit sur la surface le rôle crucial de la créativité dans l’art au lieu de symbolisme puisque « manière de la vibration » se réfère à l’art crée à l’égard de différents types de technique de l’art convenant à la tissue sociologique de quotidienneté que les œuvres de Group Zéro le dévoilent par la mise en scène de l’omnivalent de quotidienneté dessinée à l’égard de différentes techniques de l’art. Je pourrais donc déduire que « manier de la vibration » s’appuie sur les différents types de technique de l’art voire sur la culture de l’art que ceci préconise la spécificité au lieu de la supériorité. Du fait, « manier de la vibration » fomente la renaissance de nature / la recyclage de nature que le motto inhérent à la modernité fluide le laisse apparaitre : « be yourself » ; « image est rien, l’importance est le soif » etc. Ceci laisse apparaitre la pierre angulaire de « manière de la vibration » en tant que la spécificité et la créativité puisque la culture de l’art engendre l’évolution, le progrès, le changement perpétuel au lieu de la création des stéréotypes, de la reproduction et de la dénaturalisation que « manière de la vibration » l’illustrent.

Par conséquent, je pourrais mettre en exergue que « manière de la vibration » s’apparente à la création suis – generis, la spécificité, la recyclage de nature, la culture de quotidienneté, les faits sociaux prégnants de société, la variété de sens, le temps de Heraclitus, la complexe, l’omnivalent de quotidienneté, les bigarrures type de technique de l’art, l’harmonie, la mélancolie, la co – existence de différences, etc. donc la sociologie de l’art pourrait s’expliquer par la notion de « manière de la vibration » lequel permet de construire le pont entre les artistes et la société que la preuve réside dans les vibrations des artistes dessinées sur les toiles c’est la raison pour laquelle l’art n’était / n’est / ne serait jamais la simple décoration / amusement que la famille de Medici l’illustre par la valorisation de l’art / l’artiste dans les époques de Renaissance. Je pourrais ainsi conclure que « manière de la vibration » en tant que la culture de l’art permet de dévoiler l’omnivalent de quotidienneté de manière si suis – generis / créative / spécifique que ceci bouche la voie de répétition / imitation puisque le sens prime d’avant dans l’art. En outre, la sociologie de l’art laisse apparaitre à la fois la culture et les faits sociaux en ce qui concerne l’omnivalent de quotidienneté que « manière de la vibration » le dévoile par les bigarrures type de technique de l’art afin de refléter / comprendre / envisager la matrice cruciale de quotidienneté à l’égard des bigarrures aspects / versants possible comme la mélancolie.

Great Expectations…

I was at college, when I was delving into reading Charles Dickens’ novel Great Expectations…It was the threshold moment of my life and I was dreaming to pursuit my education in one of the greatest university in Constantinople… Yes, I had wonderful dreams in those days for my future and I was unconscious about bourgeois’ “mouse” game to reach their goal… As a little lady grown among nobles, I had only “great expectations” for my future… I thought that having diploma from “greatest” university and being competent & specific in your job are the crucial sesame for life: having a wonderful job… living in dream house… visiting lots of country… having lots of real friends… having own family & child… creating… working…

Nevertheless, I did not know that how bourgeois could be as dangerous as “Prisoner / Lusting” (Robert De Niro) like Charles Dickens projects a satiric mirror to that social fact…

“Time is cruel and has no any compassion”

Twenty five years later, when I watched the film adaptation version of this classic novel of Charles Dickens, directed by Alfanso Cuarón, bourgeois culture dawned on “alienation”, “art of transfert” and also “power of language” incarnated by “marketing”, strikes first as social facts… such as the dialogue between Estalla (Gwyneth Paltrow) and Finn (Ethan Hawke) illustrate that postulate as :

Finn: What’s it like not to feel anything?

Estella: Let’s say there was a little girl, and from the time she could understand, she was taught to fear… let’s say she was taught to fear daylight. She was taught that it was her enemy, that it would hurt her. And then one sunny day, you ask her to go outside and play and she won’t. You can’t be angry at her can you?

Finn: I knew that little girl and I saw the light in her eyes, and no matter what you say or do, that’s still what I see.

Estella: We are who we are. People don’t change.

“We are who we are. People don’t change.” that phrase constitutes mile stone for two reason: first because it criticizes stuck of self – development and second because it engenders “there is no miracle which turn you into dream one as the same as tales”…

Besides that, art plays a crucial role to illustrate the art of transfer and the perception of bourgeois to the life of aristocracy / noble : richesse, giving party, presentation / marketing, “history recovered” convenient to “tale story” and connections… and competence confused with the ability…Instead, art never ever refers to simply dessin that is what satirizes during the film in a way implicit… such as the discourse elaborates that social realty : “The important thing is connections…” Although Finn has talent to draw / dessin, it is not enough to become painter / artist such that all his paints bought by Prisoner / Lusting albeit marketing / “history recovered” before the exposition where Finn rejects totally his past and ignore to recognize Joe (Chris Cooper)… In other way to explicit it, Finn becomes alienation of himself for reach the desired object / subject:

 “I did it! I did it! I am a wild success! I sold ’em all, all my paintings. You don’t have to be embarrassed by me anymore. I’m rich! Isn’t that what you wanted? Aren’t we happy now? Don’t you understand that everything I do, I do it for you? Anything that might be special in me, is you.”

Values replace with wealth… with lifestyle… That is what Dickens depicts throughout the novel “Great Expectations” in a way poetic… Consequently, I can state that Dickens depicts in a way implicit and poetic bourgeois’ cruelty, unfeeling, and “upstart” throughout the novel. I can thereby conclude that the director of the film drew attention regarding the dilemma between symbol and creativity such as Finn recovers his past and likewise ignores his family… Moreover “wealth could make all dreams come true” this idea –  is caricatured by Dickens as “Great Expectations”…

L’art mais pourquoi ? (5/5)

Conclusion

En guise de conclusion, je pourrais mettre en exergue que l’art laisse apparaitre la vie elle – même à l’égard de tous les versants que le triangle de sociologie, de politique et de psychologie de l’art le dévoile. En outre, l’art permet de mettre en scène l’énigme cruciale de la réalité sociale de quotidienneté projetant l’envisage de de futur.

 J’élucide donc l’art par la théorie de « manière de vibrations » ainsi : « La manière de vibrations s’englobe à la fois l’exposition de bigarrure type de modernité et le sens varié découlé par l’ordre culturel de société ». Je pourrais ainsi conclure que l’art expose la bigarrure type de modernité par la compréhension de la réalité sociale et par la projection de futur….

L’art mais pourquoi ? (4/5)

Chapitre III : La question de la littérature sur l’art…

Je pourrais mettre en exergue que « la littérature est le jumeau de l’art » puisque le versant psychologique est prégnant au-delà de triangle de l’art. Parallèlement à cela, Nathalie Sarraute élucide la question de l’envie en faisant la référence aux tableaux de Arcimboldo telle que ceci permet l’acteur de rédiger ce qui / qu’est non – dite / interdite à dire / implicite de manière poétique. Il apparait donc évident que l’art assure à la fois la paix implicitement et la mise en scène de la réalité socio – politique – psychologique que quotidienneté que la plume de Paul Auster, David Riesman, etc. le laissent apparaitre par les œuvres…

L’art et la littérature procure le levier afin que les gens puissent maintenir à la vie sociale, c’est-à-dire l’art voire la littérature affirment que « vous n’êtes pas seul… on vous comprend… c’est la vie… ». Je pourrais donc recapituler que l’affinité entre l’art et la littérature est inséparable l’un à l’autre que la métaphore de jumeau l’élucide. La preuve réside dans les tableaux de Stephen Chambers lequel mélange l’art et la littérature dessine les œuvres de William Blake et aussi les proverbes flamande…

Dans ce contexte, je pourrais conclure que l’art laisse apparaitre les réflexions de mélancolie à l’égard de quotidienneté telle que la littérature s’apprente à la version écrite de l’art…

L’art mais pourquoi ? (3/5)

Chapitre II : La question d’être femme sur l’art : « Woman in Gold » …

Je tente de me pencher sur la question d’être femme auprès des tableaux de Gustave Klimt lequel expose de manière idyllique l’ambiguïté d’être femme. Il apparait évident que les tableaux de Gustave Klimt permettent de scrutiner la difficulté de l’être femme dans la modernité solide / liquide c’est la raison pour laquelle je mets en exergue que l’art est le guide idyllique afin d’ouvrir la voix d’évolution telle que Gustave Klimt dévoile l’ambiguïté de la question d’être femme ainsi : les enfants décryptés par allure contente alors que les femmes dessinées par l’état de sommeil, triste et la juxtaposition des corps féminin en tant que rien. En outre, Klimt expose le versant politique de quotidienne par l’absence de corps féminin dans la modernité solide / liquide autant que « Woman in Gold » illustre l’étouffement de la vie huppé et en même temps l’absence de corps féminine reflétée sur la toile par le visage triste voire désespoir puisque la féminité dérive de la fertilité (accouchement) et / ou le mariage dans la modernité solide / liquide. De même, la quotidienneté solide / liquide laisse apparaitre que les femmes pourraient maintenir à l’espace publique par les gestes « e – masculiner » ainsi que par les jeux de castration / d’envie en tant que l’emblème cardinal de pouvoir convenant à  biopouvoir / biopolitique.

Dans ce contexte, je pourrais déduire que la question d’être femme fait surgir sur la surface le droit que Klimt le dévoile par le tableau intitulé « Woman in Gold » puisque le droit des femmes est dû au nom de famille donc la puissance d’homme dans la modernité solide / liquide que ceci met en scène la question de biopouvoir / biopolitique. Alors que « être femme » s’apparente tout simplement aux facteurs biologiques, c’est-à-dire l’évolution de corps c’est la raison pour laquelle l’attribution des sens (péjoratif/négatif/jugés) à être femme ne laisse apparaitre que la réalité sociale de quotidienneté : les femmes n’existent pas dans la modernité solide / liquide y compris les femmes issues de classe huppée… Peut-être c’est la raison pour laquelle Virginia Woolf rédige ainsi : « Mrs. Dalloway achètent les fleurs elle-même » afin de se rappeler qu’elle est femme et ceci n’est pas quelque chose embarrassante ni faiblesse ni tristesse… c’est seulement biologique que les femmes se séparent par les hommes. Je pourrais donc recapituler que la question d’être femme serait sur le bureau au fur et à mesure que la quotidienneté s’identifié par solide et liquide telle que « Woman in Gold » projette le désespoir à propos de droit par le visage triste.

Par conséquent, je pourrais mettre en exergue que Klimt décrypte le tissu science politique de quotidienneté par le corps féminin convenant au triangle de l’art pourtant Klimt envisage le désespoir en ce qui concerne l’acquisition de droit dans la modernité solide / liquide que le visage des femmes le reflète par la tristesse / l’état de sommeil… Je pourrais ainsi conclure que la question d’être femme fait réfléchir sur la réalité de quotidienneté grâce à l’art : l’absence de droit dans la modernité liquide / solide.

L’art mais pourquoi ? (2/5)

Chapitre I : La question de « valeur » sur l’art : Mona Lisa

La valeur pourrait être mesurer par l’héritage familiale, l’identité ou la mélancolie ? C’était l’été 2005 que j’étais à Paris… Vu que l’art se réfère à respirer pour moi je me suis trouvée au muséum de Louvre où le tableau de Da Vinci intitulé « Mona Lisa » est exposé… En effet, c’était dur de contempler ce tableau puisque la majorité des visiteurs ont tenté de prendre photo de Mona Lisa sans connaitre l’énigme du tableau… Rien que le bruit, la foule et les flashes devant le tableau de Da Vinci. Dès cet instant jusqu’au aujourd’hui, je me pencher sur la réflexion de la question de valeur et son lien avec Mona Lisa puisque l’art me permet de trouver tous les solutions / réponses ambiguë : Pourquoi le tableau de Da Vinci intitulé « Mona Lisa » est importante ?

Je pourrais mettre en exergue que l’art se lève le voile la sociologie cruciale de société en se reflétant la société elle-même mais en même temps en donnant les traces cardinales à propos de futur autant que les vibrations de ce tableau permet de rejoindre différents mondes sociaux issues de bigarrure type de modernité… D’ores et déjà, il apparait évident que « Mona Lisa » reflète la sociologie elle – même inhérent aux différents types de quotidienneté que la question de valeur voire l’existence de société devant ce tableau le dévoilent. En outre, « Mona Lisa » s’identifié le versant sociologique de l’art que ceci permet d’observer comment la question de valeur varié à l’égard de bigarrure type de modernité :

  • Les gens inhérents à la modernité solide se demandent eux – même : Mona Lisa est ni appartient à la famille aristocrate ni femme de l’homme aristocrate ni fille de l’homme aristocrate, alors la raison pour laquelle Mona Lisa était dessine par Da Vinci ?
  • Les gens inhérents à la modernité liquide s’interrogent eux – mêmes : Mona Lisa n’a aucun héritage noble ni personnage politique (identité) mais Da Vinci donne la valeur à Mona Lisa par son soutien n’est – ce pas… sinon Mona Lissa est rien… ?
  • Les gens inhérent à la modernité fluide n’optent pour interroger le tableau de Da Vinci mais préfèrent à contempler la magie que Da Vinci a découvert : la possibilité de co – existence de la phase noire et rouge de mélancolie reflète en tant que la couleur jaune sur le visage de Mona Lisa dans la modernité liquide / solide où la co – existence auprès de différences est impossible et interdite telle que main sur le main, le visage décrypté à la fois la joie et la tristesse, la robe noire et simple, etc,,, ce n’est que la magie de l’art pour élucider la volonté de l’évolution de manière implicite… Mona Lisa est la mélancolie…

Dans ce contexte, je pourrais élucider la question de valeur par le tableau de Da Vinci intitulé « Mona Lisa » en tant que l’égalité et la volonté d’être société. Je pourrais ainsi déduire que la valeur ne s’apparente guère à mesurer l’héritage familiale ni par l’identité mais la valeur s’identifié la mélancolie en tant que le vecteur cardinal de l’égalité telle que la robe noir et simple de Mona Lisa illustre ce fait social inhérent à la modernité solide /liquide où l’égalité n’existe pas. De surcroit, en se penchant sur le tableau de Da Vinci intitulé « Mona Lisa », je pourrais mettre en exergue que l’art permet de boucher la voie d’évolution ainsi que satire les faits sociaux concernant la quotidienneté de manière poétique et implicite autant que même la majorité des historiens de l’art que j’ai lu / écoute par les livres / les programmes / les séminaires ne pourraient avouer / découvrir l’énigme de Mona Lisa… En outre, Mona Lisa est si important que ceci laisse apparaitre la mise en scène de quotidienneté en projetant la volonté concernant le futur : égalité lequel est absent pour ceux / celle qui est hors biopouvoir / hors biopolitique. En outre, je pourrais mettre en exergue que le titre de tableau laisse apparaitre les traces cruciales à propos de la philosophie de Da Vinci : « Mona Lisa » s’apparente à spécificité au lieu de supériorité / unicorne dès lors qu’il est évident de constater la spécificité de Mona Lisa par l’atmosphère voire par l’habillement de Mona Lisa sur le tableau : loin de la vie ostentatoire voire l’absence de regard / posture arrogante…

Mona Lisa symbolise la vie modeste, tranquille et équilibre par les regards reflète paix / espoir… Je pourrais ainsi élucider que la valeur décrypté / dessiné sur le toile de Da Vinci se réfère à la spécificité telle que Da Vinci envisage l’énigme crucial de la modernité fluide dès la modernité solide / liquide… Parallèlement à cela, il apparait évident la tâche / le rôle des peintres dans la société : être avant-garde au lieu de dessiner simplement, c’est-à-dire la tache cruciale de peintres laisse apparaitre en tant que la compréhension de quotidienneté en se projetant ce qui / que est manque / absent de manière poétique comme la tâche des sociologues… C’est la raison pour laquelle Da Vinci lequel expose le triangle de l’art sur ces tableaux, est devient l’artiste spécifique alors que simplement dessiner ne suffit jamais à être peintre avant-garde telle que le tableau intitule de Da Vinci intitulé « Mona Lisa » résume l’enjeu crucial de la modernité fluide par la volonté de l’égalité.

Par conséquent, je pourrais recapituler que la question de valeur ne pourrait pas mesurer par l’héritage familiale, ni par l’identité ni par littérature de victime mais la spécificité élabore la valeur en tant que la réalité sociale de quotidienneté voire envisage le futur…

L’art mais pourquoi ? (1/5)

Introduction

L’art se situe au cœur de société dès lors que l’idéologie / la culture prégnante de pouvoir convenant à différents types de modernité s’explique par l’art implicitement telle que Bosch, Velázquez, etc. élucident les indices cruciaux concernant l’idéologie / la culture de la modernité solide tandis que Chirico illustre l’idéologie / la culture de la modernité liquide, or Hopper envisage la possibilité de la co – existence dans la modernité fluide. De même, Goya, Arcimboldo, Stephen Chambers, etc. se penchent sur la psychologie des êtres les toiles de Goya décryptent tous les méchancetés des êtres par le truchement de l’art. Ceci me revendique la phrase cruciale de Susan Santog « Combien de temps pourriez-vous regarder la méchanceté ». Bien que Goya reflète toute la vérité sociale par les méchancetés des êtres, il est difficile de les regarder… Je pourrais donc mettre en exergue que l’art se réfère au cœur lequel permet de saisir la réalité comme le disait le Petit Prince : « L’essentiel est invisible pour les yeux, on ne voit bien que par le cœur ».

Dans ce contexte, je pourrais élucider le rôle de l’art dans la quotidienneté par le triangle de psychologie, de sociologie et de politique telle que le cœur s’apparente à la psychologie de l’art que Arcimboldo, Goya, Stephen Chambers, etc. l’illustrent. De même, l’idéologie de pouvoir se réfère à la politique de l’art que Dali, Velázquez, Bosch, Hopper, etc. le dévoilent par la mise en scène des caractères sur les tableaux. En ce qui concerne le versant sociologique de triangle de l’art, la culture de quotidienneté s’expose par le versant sociologique que les artistes l’exhibent sur les toiles. En outre, je pourrais mettre en relief que « la manière de vibration » permet de dévoiler les bigarrures versants de quotidienneté en tant que la projection de différentes phases de mélancolie ou bien mélancolie elle – même.

Je pourrais ainsi déduire que l’art sert à la compréhension de quotidienneté lequel englobe le passé, le présent et envisage le future… Partant de ce postulat, j’envisage à me pencher sur la valeur lequel dérive de nom d’artiste ou bien est lié à la capacite de comprendre l’énigme de triangle concernant l’art. Pour cela faire, j’opte pour l’analyse de tableau intitulé « Mona Lisa » de Da Vinci lequel laisse apparaitre les traces cruciales concernant la mélancolie… Parallèlement à Da Vinci, je dissèque la question d’être femme lors de tableau de Klimt lequel illustre l’absence d’être femme en dépit de la vie huppé que ceci m’oriente à réfléchir s’ l’art ose à dessiner ce qui / que est tabou / non – dite par la société dès lors que les œuvres de Hopper l’élucide ce fait social par le manuscrit de plein de page / de livre sur un tableau que Paul Auster l’illustre. Dans ce cas, puis- je mettre en exergue que l’art est la littérature sans lettre et illimité ? En outre, tout au long de ces thèmes crucial concernant l’art comme la valeur, l’être femme et la littérature, je scrutine l’énigme de l’art : l’art mais pourquoi ?

A Heartbroken Story for Alex – Sascha Zverev in Roland Garros 2024…

I remember as if it happened yesterday the final match of US Open 2020 when Alexander Sascha Zverev was fighting against Dominic Thiem such as just after the match I noted that:  

Passed away like wind… US Open 2020 tennis tournament has just closed the courts by a “heartbroken story” … I had tears in my eyes… almost about crying because of witnessing again and again how “pressure” could engulf creativity and confidence… the crucial question of “Who I am” thereby let to understand enigma to get rid of the pressure unless: Once you figure out the crucial question of “Who I am” there will be no any Dorian to prevent the way…”

Years by years Zverev grow up and managed to deal with pressure, “demagogies shown during the game by his opponents”, non – sensical accusations… by inquiring his specificity among the other players…The result of it and of his hard-working, in Roland Garros 2022 he reached high moment in his game nevertheless this time unexpected injury blocked his way through to get the grand slam championship…. Therefore, unfortunately, Zverev had to retire not only for that match but also entire of that season… and he had to rebegin after the injury period to access his rhythm again… It was not such easy because the next gen has already begun to play high level tennis crowning with championship… In this context, Zverev’s job was getting harder…

Nevertheless, Zverev, who is also diabetic, managed to come back to his rhythm again such that in Rome 2024 he crowned his return to the courts with championship then after as French says it is like a “déjà vu!” he came into the match with Rafael Nadal in Roland Garros 2024 reminding Heraclitus time…which illustrates / proves that time flows spiral and circular and it depends on our ability to get rid of the same circumstances…. The journey of Zverev brings me to the door of Hermann Hesse from whose novel Siddhartha I can recapitulate Zverev’s case as :

“Well, Govinda, are we on the right road? Are we gaining knowledge? Are we approaching salvation? Or are we perhaps going in circles — we who thought to escape from the cycle?”.

By his look confident and calm, Zverev incarnates in a way idyllic his “salvation” from pressure, demagogies, accusations… such as Zverev manage to cultivate ball with his spin, very well constructs the points, moves very quickly and sustainable, shortly he illustrate fantastically how to dictate / construct every point as if playing chess…

Although, Zverev’s journey throughout the Roland Garros 2024 was not easy, he manage to recover himself for the next round such as after his victory of quarter final, Zverev gives the crucial trace of his return as :

“You recover in the off-season, and you do the work in the off-season that tennis becomes easy. And I think for me, I have a mindset that you have to work harder than everyone else to be the best player and I think the best players are all doing that. For me, I like to work to my absolute limit and, if I do that, then playing five sets, all of a sudden, is not that difficult. And, I mean, I’ve been doing that over many, many years now and I’m happy it’s paying off, still paying off and I’m happy to be in another semi – final. Hopefully I can win one.”

As a result, it is evident that consistency, hardworking, discipline and recognizing own specificity to deal with all kinds of unexpected moments are the key crucial to success and also to salvation from the repetition of same circles…

Nevertheless, Zverev could not get out of the repetition of same circles because at the end of the final match he gave up…

Hope that next time Zverev get what he well deserves….

Thank you Zverev…

La vie est poésie…

L’intersectionnalité entre la modernité liquide et la modernité fluide cause ambiguïté entre l’aliénation et la cultivation.

 Le rire ironique découlé du bonheur donc laisse apparaitre l’envie ne transfère pas,

Je protège le soul, le cœur ouvert.

Je me suis ainsi réveillé par sleeping beauty…

Réveille commence par le consciemment lequel est la pierre angulaire de la cultivation.

Si l’obscurité tombe, il vaut mieux laisser la parole aux poésies pour respirer au milieu de l’obscurité par l’espérance de la lumière…

La vie est poésie…