L’amour inter – dite…

Résumé

C’est l’histoire de l’héritière de Madame Bovary dans la quotidienneté pour disséquer « l’énigme de l’amour » lequel ne se réfère jamais à passion ni à trahison mais à cultivation puisque l’amour est levier crucial pour se réveiller par « sleeping beauty » que la modernité solide et liquide le visionne sans cesse… c’est la raison pour laquelle je scrutine la réponse de cette question : si Virginia Woolf rédigeait l’histoire de l’amour dans la quotidienneté sa personnage principale ferait quoi à l’égard de la question de l’amour : continuer à chercher à libérer par l’état impasse de la féminité ou bien raconter la mélancolie ou bien mettre en exergue les différences culturelles à l’échelle de bigarrure type de société lorsque les habitus se rejoignent tous les sociétés ? J’interroge donc si l’amour symbolique pourrait – être convertir en la naïveté des êtres ? via la personnage principale de cette narrative Beatrice lequel est issues de hors biopouvoir – biopolitique dans la modernité liquide et est acquis sa reconnaissance social par le théâtre avec la famille huppée Swan pourtant après le divorce, elle a été castrée par l’économie et par les relations amoureuses de la part de famille huppée Swan : lorsque Edward Swan l’a castré par l’économie que Beatrice a dû perdre son travail, sa fille Nathalie Swan l’a castré par « voler son amour » Brian De Juan… Cette narrative ainsi met en scène la faiblesse voire la naïveté des femmes rompues mais en même temps ceci laisse apparaitre la recherche de l’énigme de l’amour pour se renouveler voire pour se recycler de nouveau via Beatrice… Il apparait évident que Beatrice met en scène la renaissance après la chute en éloignant par le sentiment de vengeance pourtant en se reprochant au sentiment de la mélancolie lequel entame par le réveille… Réveille… Compréhension… Perdue… Recherche… Consciemment… Négociation… Mélancolie… en conclusion l’amour est inter – dite….

Récit

« L’amour dérive de la naïveté des êtres que

 ceci laisse apparaitre l’état de consciemment »

« Questions of science… science is on progress… I was just guessing numbers putting puzzles… Running in circles… I have to find you to tell you I’m sorry… come up to meet you… You don’t know how lovely you are… I have to find you… to tell you I need you… Let’s go back to the stars… I’ll take you back to the stars… coming back as I am… » [singing coldplay’s song “scientist”]

Je me suis penchée à chanter en conduisant le yacht vers loin de théâtre… théâtre… quel ridicule que Shakespeare avait raison : le monde est grand théâtre… Je ne savais pas encore où la direction puisque je voudrais seulement être loin de théâtre… Pourtant ceci ne s’apparente jamais esquiver ni échapper car j’étais la femme faite convaincu à l’amour dérive de la dépendance ou de l’assujettissant que Jane Austen l’introduire… alors que ce n’était que le grande théâtre… peut-être je pourrais agir comme « Cousine Bête » de Balzac ou bien les femmes bordeliques de Proust pour acquérir le titre de « noblesse » … Quelle coïncidence que le nom de mon ex – marie était Swan et quelle coïncidence que sa fille Nathalie Swan faisait le théâtre avec Brian De Juan lequel m’avait convaincu que « l’amour sans intérêt » était possible alors que ce n’était que la passion ce n’était pas l’amour… Quel aveugle que j’étais…

Aujourd’hui c’est le jour de théâtre de fameuse couple Nathalie Swan et Brian De Juan et je me suis réveillée au milieu de la mer… je suis toute seul, pas d’électricité pas de téléphone même je ne sais pas encore si j’avais amené asses de nourriture pour mon voyage vers le lieu inconnu… Comme le chantait Coldplay « Running in circles… I have to find you to tell you I’m sorry » no… no… je dirais jamais désolé à ni Brian De Juan ni Edward Swan…  « I owe me myself a big sorry » à cause d’être convaincre l’amour symbolique…

***

Je suis Beatrice… peut être héritière de Madame Bovary who knows… ? Cependant je ne trahis jamais Edward Swan mais quand même je me suis rendu compte que l’amour n’avait aucun lien avec la possession des objets matériaux ou bien l’acquisition de nom Swan… Une fois j’étais Beatrice Swan… dans le théâtre de Edward Swan et Beatrice… « who cares my surname » !… Pas encore… je les rejette tous… sauf cette yacht… pourtant je l’ai acheté grâce à mon crucial métier : architecte et designer… C’est seulement nous deux démurons du théâtre… Le vestige du théâtre : yacht…, Mrs. Dalloway – le roman de Virginia Woolf – , Scientist de Coldplay et rompue / perdue Beatrice… Où que j’aille ? Si je décide à aller vers la modernité solide alors je pourrais jamais deviner l’essence de l’amour puisque l’amour est interdite que Madame Bovary le met en exergue déjà… si je décide à ancrer dans la modernité liquide cette fois – ci je dois appartenir aux Mass puisque au moment de rester en dehors de mass il est inévitable de « hearing wild opera » comme les femmes issues de la modernité solide avait fait à Madame Bovary… peut – être c’est la raison pour laquelle Madame Bovary avait dû suicider ou bien préférait à disparaitre who knows ?… Virginia Woolf le savait déjà : « Les pensées / les regardes pourraient être la cage de la liberté / réalité… »

La quotidienneté donc avait préparé la répétition de même circonstance de la vie que Madame Bovary devienne Beatrice… puisque bien que à la différence de Madame Bovary j’ai fait le choix de mon mari je me suis trouvée dans le vecteur de son destin ! Quel ridicule n’est – ce pas… car le destin n’existait jamais… telle que j’avais la possibilité de lire la recherche de Elizabeth London lequel est la femme idyllique et grâce à ses articles que j’avais la chance de lire les livres de Virginia Woolf… Elizabeth London comme « l’horaire de réveille » pour qui fait tomber dans leur « sleeping beauty »… London m’a fait appris que le destin n’existe pas mais existe « fate – makers » lesquels adoptent tous les clichés issus de passé à la quotidienneté… c’est comme cela que je suis sur le point de tomber la même destin de Madame Bovary si je n’avais pas lu Elizabeth London… Dès lors, cette fois je me suis enchainée par les chaines de prestige sociale son absence supprime tous que la divorce avec Swan engendre la chute inévitable… alors que j’avais l’occupation pour laquelle j’ai doué pourtant « who cares competence if you are living in modernity liquid » … Rien que prestige social… Peut – être c’était l’illusion de mon inconsciemment que le psychisme m’oriente à marier avec Edward Swan… Who knows ? C’est difficile à l’avouer mais ceci la pierre angulaire de la réalité… c’est pareille que Madame Bovary elle – même aussi se trompait à son psychisme lorsqu’elle dissèque « l’acception de l’amour »… Madame Bovary introduire l’amour comme passion et donc trahison – amour interdite » s’apparentait comme si la crucial définition de l’amour alors que ce n’était que l’illusion de l’amour quand même la découverte de la féminité par passion puisque jusqu’à cet époque – là  les femmes ne le connaissaient pas, même dans la quotidienneté les femmes suivis à la castration féminine… C’est tout ridicule que le monde visionnât ce théâtre… Ridicule !… Que change ? Seulement les costumes… c’était tout… Brian De Juan lequel est l’écrivain et optait à faire théâtre avec Nathalie Swan… ma belle-fille a tombé à l’amour à mon ami – petit ami Who knows ? Après le divorce les Swan sans cesse à me castrer : castrer par mon travail et puis castrer par Brian De Juan… Rien change… seulement les décors… les costumes… les caractères… les relations… changent – ont la mutation… A part ça, tout reste comme la modernité solide…

Ce n’était que « l’amour symbolique »… que disait London pour l’amour inhérent à la quotidienneté solide et liquide : Amour symbolique puisque « âme » ne fixait que les passion quand même il est difficile de les avouer en haut – voix puisque c’est dégoutant de l’avouer que « Oui, Nathalie Swan, je voudrais marier avec toi puisque je veux le pouvoir et toi me l’assure » pour Brian De Juan et vice versa « Oui, Brian De Juan, je voudrais marier avec toi puisque je veux la domination et toi me l’assure » pour Nathalie… ceci le résume de l’illusion de l’amour : la volonté de la liberté et du pouvoir… c’est la raison pour laquelle je ne peux pas respirer… il a fallu que je quitte cet endroit, ce théâtre – là… je dois disséquer s’il existe des différents théâtre où pas de fiction mais réalité – la nature elle – même que me disiez qu’est – ce que l’amour ?

***

Je me suis perdue au milieu de la mer et j’ai pas de destination encore… J’aurais bien aimé d’aller à l’ile où Elizabeth London habite pourtant je ne savais pas le nom de cet ile… la seul chose que j’ai su c’était près de Londres… que London y allait pour renouveler… Alors dans la prochaine quai je vais ancrer le yacht pour aller à Londres ou bien A Sussex pour se retrouver avec elle… en bien espèrent qu’elle m’accueillir sans mon prestigieuse nom Swan… Une fois j’avais la possibilité de discuter avec elle à propos de son toile intitulé « Lamour est inter-dite » sur laquelle elle a dessiné « Two Comedian »… London me disait que:

« L’amour dérive de la naïveté des êtres…. Soit vous continuer à convaincre à regarder les pièces de théâtres soit vous les saluez et décider à prendre le bateau pour découvrir la vérité pour réveiller… »

Beatrice : alors qu’est-ce que ça veut dire « l’amour inter – dite » je n’ai pas compris ?

London : [souris] « l’amour est inter – dite » … écoutez vous – même, vous aller trouver votre réponse… si vous avez besoin de faire discuter là – dessus prenez ma carte et n’hésitez pas à me contacter… N’oubliez pas de demander vous – même « Who I am » ?

Beatrice : Je me suis tout embrouillée… c’était l’honneur d’avoir la possibilité de discuter avec vous… Merci Mademoiselle London…

Je me suis trouvée ainsi dans le yacht pour disséquer la réalité en disant le grand « A Dieu » au théâtre… puisque je voudrais réveiller par mon « sleeping beauty » pour cela le faire comme la chanson de Coldplay le disait « I have to find you » où « you » se réfère à la fois à moi – même et à London… « because I want to come back to the stars as I am”… Heureusement j’ai vu la part pour vendre le yacht puisque j’ai pas beaucoup de budget et Londres c’est cher… avec Edward Swan je n’avais pas des réflexions sur le budget… je faisais des achats… des voyages… aveuglement… mais maintenant il faut que je fasse l’économie… s’ j’ose à aller loin de théâtre toute – seul alors je dois faire bien calculer l’économie… après la divorce je n’avais plus le travail… Pourtant je plains jamais à cette situation… Je sens fortement que je suis dans le bon chemin et c’est la décision parfaite… Si je réussis à le vendre le bon prix alors je pourrais rester à Sussex tout près de Mademoiselle London plus de l’années… que je l’espère ce temps – là serait suffi à trouver ma réponse à propos de l’amour et donc à la vie… pour recommencer pour retourner au commencement comme moi – même… Voilà toute est prête… le visa… le lieu d’accommodation… et le budget sauf l’envoyer le mel à Mademoiselle London pour solliciter le rendez – vous… sinon que je ferais, je ne sais pas encore… Quelle perdue !

***

Lors de voyage à Londres d’une part j’attends la réponse de la part de Mademoiselle London et d’autre part je me suis penchée sur le cas de Nathalie Swan puisque si j’agissait comme les femmes néants que Proust – Balzac les expliquaient déjà alors je n’aurais jamais du quitter la modernité liquide puisque j’avais terminé « l’art de transfert » que cette fois – ci Nathalie aurait du disparaitre… puisque la modernité liquide donne le privilège aux femmes bordeliques en vaporisant les femmes idylliques pourtant moi – aussi je suis femme idyllique c’est la raison pour laquelle je préfère d’avoir vaincu au lieu de faire « art de transfert »… No… je pourrais faire jamais… Ma chute était lié à la fausse compréhension des codes sociales… puisque la modernité liquide inculque à vivre avec les codes sociales précises par les familles comme Swan dans la société c’est comme le mathématique alors que je me suis rendu compte que la vie n’est pas le mathématique… c’est la raison pour laquelle il est difficile d’envisager le futur… Who knows… peut – être le théâtre de Nathalie Swan et Brian De Juan serait terminé comme mon cas… Who knows… je ne sais pas encore si Madame Bovary vivaient dans la quotidienneté, elle ferait quoi au nom de l’amour ? Que serait l’histoire de l’amour dans la quotidienneté ? Quand même je ferais quoi à Londres… je suis pas migrant… je ne cherche pas le travail… je voudrais jamais être la charge pour Grande Bretagne d’ailleurs Mademoiselle London ne me permettrait jamais de les faire puisqu’elle me donne sa contact pour discuter à  propos de l’énigme de la vie : « l’amour »… Ceci ne dit pas l’invitation à Sussex où London habite depuis son indépendance par Dorian…

Avant de commencer de nouveau, il faut que je trouve la réponse à propos de l’amour que la majorité des gens le fait plaisir comme si ceci est le sujet simple – banal… tandis que ceci est la clé de voûte de la vie puisque l’énigme de liberté voire de pouvoir pourrait être décoder par ce sujet que ceci ne permet jamais la chute de nouveau… donc mon visite à Londres le vaut bien… pour trouver l’énigme de l’amour…

Quelle chance ! Mademoiselle London m’a accepté pour discuter là – dessus… Maintenant je suis soulager… C’est le temps d’écouter Lisa Ekhdal lorsque je suis en train de conduire vers mon nouveau appartement tout près de Mademoiselle London à Sussex :

« I  don’t care if someone said I’m foolish cause I’m singing from my heart… There is just one life coming from that one place… There is just one face and it’s your face… There is just one life going through the one place… There is just one race and it’s human race… There is just one face and it’s God’s face… All of us coming from the same doors…»

Ni Nathalie Swan ni moi supérieur de l’un à l’autre… puisque comme dirait London « nous sommes tous spécifique et possède le culte – pouvoir dérivé de la réflexion de talent divine »… Pourtant le problème en est que après avoir vécu tous les théâtre visionné dans la quotidienneté liquide et solide, puis – je aimer quelqu’un de nouveau comme lui sans aucun intérêt mais la négociation sous le toit de la culture… Est – ce que ceci est possible ? Voila c’est la question cruciale que je voudrais discuter avec Mademoiselle London « although I have already knew her reponse » : « L’amour est inter – diter »

Mais qu’est – ce que ça veut dire : interdiction – forbidden ou bien dialogue avec soi – même pour rétablir la mélancolie ? Who knows… tout dépend de la quotidienneté…

« La passion se reflète l’illusion de l’amour en tant que l’assujettissant / la dépendance ».

« La trahissons s’apparente à l’aliénation en soi au sein de grand théâtre ».

« L’amour se projette l’état de consciemment voire celui de cultivation et donc mélancolie que l’amour est inter – dite ».

Pied nu…

Corinne Mercadier

Résumé

C’est l’histoire de vie issus de la culture de la modernité fluide pourtant condamne à vivre auprès des cultures de la modernité liquide et solide : comparaison… concurrence… wild opera… history recovered… les zombies… black-hole… la fluidité… résurrection…

Récit…

« Be careful… whoever steal shoes, because that means black – hole

is on the verge of construction to consume the life…»

Chère Madame Woolf,

Je me permet de vous rédiger la lettre concernant « les femmes exterminées » pour vous solliciter le coup de main en ce qui concerne la question de la politique puisque je témoigne la disparition des femmes issus de l’identité défavorisées ainsi que la vaporisation des femmes issus de l’identité défavorisées depuis 40 ans sous le prétexte de l’identité, de la supériorité et de l’être unicorne convenant à doubletique alors que la politique engendre la co – habitation, la co – existence des différences sous le toit de la culture, de la démocratie et de l’égalité en / par droit… n’est – ce pas Madame Woolf ? J’aimerais vous demander comment peut – on vivre ensemble en dépit des différences ? Lorsque les identités favorisées se soulèvent les vagues au-dessus des femmes issues de l’identité défavorisées, comment puis – je demander les droits des femmes exterminées depuis 40 ans, Madame Woolf ? s’agit – il la question de doubletique ou de politique ?

Vous, Madame Woolf, mettez en relief l’énigme de la vie par la phrase cruciale illustrée le dilemme entre doubletique et politique : « There are distinctions, there are order in this world… » Soit la distinction / l’ordre s’établit à l’égard de la disparition des différences que doubletique le préconise, soit la ramification / l’harmonie s’imprègne la société par la démocratie, l’égalité en / par droit et la culture que politique le dévoile.

A l’instar de votre phrase cruciale lequel englobe tout le différent art de vivre, je pourrais discerner la vie liquide de la vie fluide que vous passez au crible l’intersectionnalité de quotidienneté / de l’art de vivre dans le livre intitule « The Waves » : d’un côté Louis tente de d’imiter Bernard pour se réaliser « art de transfert ». D’autre côté Bernard se penche sur la question de l’existence pour découvrir la spécificité par la question de « Who I am » selon laquelle la quotidienneté s’avère la solidité ou la liquidité ou la fluidité…

Distinctions… Remplacements…. Supériorité… Doubletique….

Différences…. Co – habitation… Spécificité… Politique…

Vous avez forgé la nuance auprès de différents quotidienneté / modernité (solide / liquide / fluide) par la psychologie de société : malaise, aliénation en soi et cultivation en soi telle que votre livre intitulé « The Waves » démontre politique afférente à la cultivation en soi lequel assure la co – existence que Nancy l’illustre par la notion de singulier – pluriel : « j’existe avec où avec n’est pas subordination de l’être ». De même, si j’ai bien compris votre phrase cardinale concernant la volonté de la démocratie, de l’égalité en / par droit et l’absence de jugement, l’acception crucial de politique expose ainsi : « as a woman I have no country but I belong to whole world » lequel ignore biopouvoir / biopolitique mais couronne le cult – pouvoir que Mrs. Dalloway a la tendance à vaincre les murs de la domination masculine, de langage et de l’identité par les fleurs, n’est – pas Madame Woolf ?

Pourtant, Louis, le personnage dans le roman Waves, exhibe les indices de Maurice Blanchot du fait que la théorie de Blanchot met en exergue : « la rencontre avec les différences passe par mal excessif ». La preuve réside dans la rencontre avec Louis et Bernard, lequel illustre la modernité liquide… « The Waves » fait allusion à la liquidité du temps n’est – ce pas, Madame Woolf ?

D’un part, les imitations burlesque, les jeux, les démagogies et history recovered d’autre part, la réalité, la création / la production, la compréhension et history invented se heurtent dans la même passage de votre livre… Intersectionnalité se réfère ainsi à la vie liquide que ceci pourrait élucider le dilemme / la tension en ce qui concerne la rencontre entre les identités favorisées et défavorisées, autrement dit, la chagrin de la co – habitation / co – existence des femmes exterminées issus de l’identité défavorisées avec les femmes néants appartenant à l’identité favorisées puisque les femmes néants ne cessent jamais à soulever les vagues au bord des vies des femmes exterminées…

Madame Woolf, j’ai témoigné le changement du passé, l’art de transfert, les jeux de castration / d’envie, le supplice, la violence, etc. par les femmes néants depuis mon enfance… telle que j’ai déclaré la réalité sociologique et en même temps politique par la métaphore de « aspirateur ».

Madame Woolf, puis – je avoir les droits des femmes exterminées par les fleurs, l’art, la science, les poèmes, la littérature, en un mot la culture lorsque les jeux dangereux des femmes néants continuent à supprimer / balayer que Chirico le dessin par la métaphore de piscine ? Comment la vie liquide se transforme en celle de fluide, Madame Woolf ? Par conséquent, pourriez-vous me guider afin de cultiver les femmes néants lesquelles ne connaissent que les jeux dangereux au lieu de la production / de la création ?

Comment nous (vous et moi) pourrions cultiver les femmes néants Madame Woolf ?

Bien Cordialement à vous,

Elizabeth Proust

***

Je me suis allongée sur les feuilles des arbres avec Chris pour contempler les étoiles la lune le ciel dans le creux de la nuit… J’ai réfléchit sur l’obscurité de la nature dans la nuit et sa danse avec la lumière grâce aux étoiles et à la lune… Le ciel me laisse apparaitre la possibilité de la co – existence entre les différences… La lune et l’obscurité de l’atmosphère sont liés par les étoiles autant que les étoiles jouent le rôle de clé de voûte ou bien du pont…. Ceci m’entraine à réfléchir sur les circonstances que Chris me disait ainsi :

Chris : Le ciel et son ambiance se ressemble à la vie elle – même, n’est -ce pas Elizabeth ?

Elizabeth : Comment ?

Chris : Toutes les différences diluent dans l’espace que quelqu’un est visible – brillant pourtant quelqu’un est invisible ou bien quelqu’un se déguise derrière des stars brillants… Toutes les différences prennent leur place dans l’espace de manière démocratique mais pourquoi la société – le monde ne pourrait pas le réussir à faire ?

Elizabeth : C’est étonnant n’est – ce pas Chris ? La nature lequel ne pourrait pas parler / communiquer de même pas de conscience mais quand même réussit à trouver son balance / équilibre bien que tous les effets négatives que les humains font à la nature… Chaque moment catastrophique en nature, la nature connaisse délicatement à mener toutes les ruines par les fleurs / les rivières / les océans…

Chris : C’est délicatement idyllique à la contempler…

Elizabeth : Absolument tu as raison… Quelle chance pour Einstein pour Hawking n’est pas… C’est comme « la magie » que la nature est en train de faire et cette magie a bien concrétisée par Einstein et par Hawking comme ce que tu, Chris, fait en Sociologie – architecture et comme moi ce que je fais en histoire de l’art… C’était quoi alors ta formule pour détruire illusion de la culture de la modernité liquide lequel se représente comme « magie » ?

Chris : Cérémonie de transfert / consommation = diluer les mensonges + préparer les intentions publiques convenant aux mensonges + s’insinuer dans la maison / appartement pour convertir ce qui est réel au parodie / pastiche + préparer les décors convenant aux mensonges…

Elizabeth : Donc, E=mc2 [les souris] … c’est la magie des bêtes et leur dépendantes « Las Meninas » que Velázquez a déjà fait le point là – dessus… Cérémonie de transfert… Oh là là … est – ce que tu entends les bruits venant par le ciel comme nous avertir pour le pleuvoir… il vaut mieux qu’on aille…

Chris : Alors tiens les mains pour se lever…

Elizabeth : C’est gentil… Mais oh là là Où sont les chaussures ? Où ? Je n’ai plus les chaussures… je n’ai que les pieds nu…

J’ai ainsi dû marcher par les pieds nu jusqu’à chez moi… Chris et moi sommes tous sous le choc en ce qui concerne les jeux sans cesse des bêtes ou bien c’était leur meninas who knows ? Lorsque Chris et moi se penchions sur la science, les bêtes et les meninas optaient à jouer les jeux d’envie / castré… Ceci me revendique les conseils de l’adage nomme Oysho ainsi : « Il faut remercier aux voleurs ! »

Chris : Comment ? J’ai compris rien du tout !

Elizabeth : Moi aussi j’ai réagi comme toi… c’est ridicule à les remercier puisque c’était les voleurs qui nous rendre manque c’est la raison pour laquelle pourquoi je les remercie ! c’est pas logique ! Pourtant avec le temps la vie me laisse apparaitre que chaque cas de vol est à la fois le test crucial de la résistance contre le malaise / l’envie et la prise de la précaution… Tu sais Chris ce n’était pas la première fois que les bêtes et leurs dépendants Meninas ont volé les chaussures… Ceci commence par le visite de famille Meninas lequel sont les dépendants de Bete#1 chez la maison de vacance… J’étais petite et j’avais fouillé partout les chaussures blanches… Mais je n’ai pas pu les trouver… comment j’aurais su que Bete#1 les manipule / provoque par les « comparaison » contre moi que ceci ne sèment que la haine… l’envie… pour détruire ce qui est idyllique… c’était en 1995 que je me suis trouvée dans la première test en ce qui concerne la vie par la manque… Quand même, j’ai bien passé cette examen – là puisque j’étais sur le point d’arriver à réussir mon rêve au moment où les chaussures perdues apparaissent comme la magie que las meninas disait après vingt ans ainsi : « C’est ici vos chaussures… »

Chris : Oh Jésus Christ… c’est comme le film horreur… et ce qui est dégoutant c’était las meninas étaient ta cuisine… quelle méchanceté… quelle envie…

Elizabeth : C’était comme la mise en scène du roman « Cousin Bête » de Balzac… Alors que j’avais pensé que ce type des méchancetés restaient en la modernité solide… pourtant je me suis trompée… Tu sais quoi Chris… Comment peut – on comprendre les racines du mot « Cousine » dérive de « cuir »… ? Est – ce que ceci est la coïncidence ?

Chris : Je ne pense pas que ceci serait la coïncidence… « Cou – sin »… « Cuir » ça pourrait être donner aux mains…

Elizabeth : ou bien ça pourrait être bloquer / transférer de nouveau la dichotomie est sur la table…

Chris : Ceci me revendique l’historien nommé M. Hippolyte lequel disait la tension entre les modernes et les traditionnelles serait sur la table jusqu’à l’infinité…

Elizabeth : que j’espère la fluidité puisse trouver la bonne solution pour convertir cette circonstance de la vie… depuis des siècles les scenarios sont pareille… puisque la fluidité de temps permet de témoigner les femmes néants (bêtes – meninas) en tant que les sources des catastrophes que les guerres civils, les guerres mondiales et le culte réactionnaire du passé l’illustrent… Bluring the real and fake… cible un.e personne / famille… s’insinuer dans la famille… créer les codes sociales mythes… se déguise derrière de colère mystère… maquiller les fautes par identité…

Chris : Las Meninas et leurs maitres Bêtes se traduisent par Maurice Blanchot comme « communauté inavouable » autant qu’il est difficile à saisir d’où vient la méchanceté ! Magie [souris] ! C’est ainsi les femmes néants contournent la société en communauté / tribu telle que la majorité des sociologues – sommes-nous – dévoilent les ruines de société fiction lequel font la magie par stigmatisée, par distinguée, par rendre fou, par suscitée à suicider, par détruire comme le symbole de malaise – envie que ta cousine t’a fait…

Elizabeth : Ceci laisse apparaitre le triangle crucial des femmes néants : être unicorne, doubletique et transfert….

Chris : A l’intérieur de ce triangle ne laisse apparaitre que black – hole… Que Jésus Christ nous protège… combien des vies des innocences sont gâchés pour que Bêtes survivent… Ce n’est que l’effet de black – hole…

Elizabeth : Pourtant, n’oublie pas les théories de « Nothing » de Stephen Hawking… chaque circonstance similaire se rejoindre l’un à l’autre que ceci constitue le black – hole mais néanmoins black – hole ne dure jamais jusqu’à l’infinité… ceci condamne à disparaitre dans le temps que je défends la thèse que ceci permet de recycler la nature par son apparence original…

Chris : « nothing cannot exist forever » comme le disait Stephen Hawking…

Elizabeth : In addition, « If black – hole engulfed you, do not give up…because everything turns into its nature… its original shape… as every circumstance of game of envy illustrates it…»

Chris : Tu crois que cette circonstance va achever ? Ceci dit le travail crucial des femmes néants s’identifie par fate – makers afin de consommer la vie des homo – fabers / innocences au moyen des jeux dangereuses pour assurer la longévité de Dynastie, va achever ?

Elizabeth : Who knows ? Ceci dépend de la compréhension concernant « Nothing » c’est là où l’histoire de la résurrection commence auprès des cultures liquide et solide que les femmes néants le s’incarnent…

Chris: because in sociology « nothing » englobes « pain, hope and existence » such as it permits to engender « l’objectivity, fludity and beginning »

Elizabeth : Quand la société arrête à poser « Qu’est-ce qu’il se passe ? / Qui ? »… Black – hole entame à se métamorphoser / se disparaitre puisque « comment ? » et « où » permet de regagner « la conscience » lequel est le déclencheur crucial d’achever le destin / la magie que les bêtes et las meninas ont l’accoutumée de le faire… n’est – ce pas Monsieur London ?

Chris : Alors, le temps de Heraclitus commence par le réveille de « sleeping beauty » au moyen de questions ?

Elizabeth : Questions pour comprendre pas pour contrôler…

Chris : On ne parle plus « versus » donc ! d’après ton point de vue…

Elizabeth : « versus » est la force motrice de la dichotomie voire de la dialectique que malaise et envie se nourrisse par la comparaison, par la concurrence avec l’imaginaire « autrui », par les paroles comme « Wild Opera » que ceci laisse apparaitre la scène du monde comme « history recovered » où les zombies en tant que le culte réactionnaire du passé que les Bêtes#2 les représentent s’occurrent dans le monde par le truchement de tomber aux autrui définies / mystère » en black – hole… Regardez les planètes – les étoiles… et dit-moi si tu vois « versus » ? Rien que co – habitation et élimination naturel pas par la force extérieur… ceci comme le mort naturel des humaines…

Chris : Pourtant il existe plusieurs Bêtes comme Bête #1 lequel comparent / provoquent ; comme Bête #2 lequel exige la vengeance / projette la haine ; comme Bête #3 lequel voudrait être unicorne ; comme Bête #4 lequel convertir la réalité en simulacre que History Recovered l’illustre ; comme Bête #5 lequel est le culte réactionnaire du passé comme zombies et comme Bête #6 lequel construisent les black – hole pour gâcher la vie…

Elizabeth : Quand tous les black – hole se réunissent alors ceci laisse apparaitre que la fluidité est sur le point de renaitre….

« Left behind the past but especially the feeling of past to surf against the waves of envy and / or malaise to reach the life in present / beginning (existence)…»

Le culte réactionnaire du passé : L’illusion de l’urbain-e…(2/2)

Giorgio De Chirico

 «When I close my eyes, I am afraid of trans… what if when I open my eyes and the person at whom I amlooking modified into monster… I am afraid of twist of fate… Tears help to clean eyes for see deeply whatever / whoever I am looking at…» was written by Milan Kundera in the novel entitled «Identity» for emphasize the crucial enigma of living in Bourg where « Identity » and « Family » decide the future of communities… Mademoiselle Spécifique could understand Kundra’s escape from his own country to France, because Mademoiselle Tributaire and Mademoiselle Unicorn has just exhibited the life in Bourg by « lucidity »…

« Lucidity » or « sleeping beauty »… Blanchot underlines intersection among homo – faber and Bourg – ois through the dilemma between « lucidity » and « sleeping beauty » in the Bourg… Therefore, Mademoiselle Spécifique was so happy to be refused by the Bourg’s doors… and she continued to write « illusion de l’urbain – e » by following the path of Albert Camus who accentuates « the illusion of identity » in Urbain (Bourg)… Doubletique and also Unicornetique rule the community as the emblem cardinal of modernity solid and liquid. Camus points out throughout the novel entitled « Chute » the ambiguity of « Identity » by underlining the crucial tradition inherent in Bourg: « exigence of replacement » and « ceremony of transfer »…

In this context, Mademoiselle Spécifique figure out the enigma of « migration » throughout the Bourg – ois: Mig – ration means for Bourg – ois « the cult of invasion ». In other way, « le culte réactionnaire du passé » refers to « disease of transfer » by disguising behind the « identity » as « social virus » in Bourg… The evidence shown by the period of gentrification in Bourg because gentrification engenders to modify history as Bernard Lewis emphasizes: « History recovered » according to biopower / biopolitics… Hence, « le culte réactionnaire du passé » diagnostic as « social virus » related to the tradition of Bourg for legitimize « ceremony of transfer » such as the attitudes / behavior of Madame Tributaire at the « café de l’Art » demonstrates that « les vies des femmes exterminées sont gâchés par le pouvoir des Mademoiselle Unicorns » in Bourg. Therefore, Mademoiselle Spécifique wanted to quite immediately « Café de l’Art » which is so close to Bourg, for walk through the path of Urbaine / Ville… Mademoiselle Spécifique could hear the voice of peace / creation / trust / confidence of living among the differences as « real society » in city / urbaine…. Because the « citadin » considers the migration as « enrichment of cultural fusion » by respecting the culture and rights of the city / urbain – e which are common for entire of the society that Rousseau emphasizes it by « la volonte générale »…

Edward Hopper

Finally, Mademoiselle Spécifique could see the city’s doors which were also close until crucial response of Mademoiselle Spécifique … When she declared that she is sociologist and writer by demonstrating her works / creations as the emblem cardinal of  « I – densitiy » /  Cult -power  the city’s doors were immediately open for Mademoiselle Spécifique… who finds her «Home» as Kundera, Sarraute, Ishiguro, etc… Than she was / is walking through the city / ville / urbaine …

Les Mirages de l’urbain…(1/2)

Edward Hopper

« Qui êtes-vous » demandait Monsieur Supérieur…

« Je suis sociologue – écrivaine » disait – elle Mademoiselle Spécifique…

Pourtant Mademoiselle Unicorne répondait ainsi : « Je viens de la famille « De Arrogant » … Ma mère est issue de « Space », mon père vient de « Ciel » …

Monsieur Supérieur a ouvert la porte de l’urbain pour Mademoiselle Unicorne … C’est ainsi la subordination de l’être l’un à l’un commence que Monsieur Supérieur et Mademoiselle Unicorne se sont mis à bavarder en jetant les regardes lucides l’un à l’un … Pourtant Mademoiselle Spécifique était début devant la porte et attendait la réponse de Monsieur Supérieur afin de prendre la permission d’entrer dans l’Urbaine… Mademoiselle spécifique a témoigné le sésame de l’Urbain lequel passe par biopouvoir voire biopolitique au lieu de cult – pouvoir… telle que la porte de l’urbain était fermée sur la face de Mademoiselle Spécifique sans aucun explication… Mademoiselle Spécifique a tourné le dos et puis lors de voie vers le café de l’Art, elle s’est plongée dans la réflexions sur la question de l’urbain – e…

Dans le café de l’Art, Mademoiselle Spécifique a remarqué Mademoiselle Tributaire lequel issus de bourg, a tenté de faire les pratiques afin d’être « Las Meninas » des Mademoiselle Unicornes dans l’urbain. C’est la raison pour laquelle Mademoiselle Tributaire ne parlait pas mais surveillait de près les points achille des homo – fabers dans le café de l’Art… Cependant Mademoiselle Spécifique était sous le choc en ce qui concerne le sésame de l’urbain puisque l’urbaine se réfère à la fusion des différences… De même, l’étymologiquement l’urbaine s’identifie par la fusion / le management au lieu du regroupement des identiques. En tenant compte le procédé de Mademoiselle Tributaire afin d’intégrer à la vie urbain, il apparait donc évident que la porte de l’urbain n’était pas celle de l’urbaine dans laquelle Mademoiselle Spécifique voulait entrer. Etant donne que Mademoiselle Tributaire avait l’accoutume de castrer les points – achille, elle s’est mise à faire fi de la faute d’orthographe de Mademoiselle Spécifique puisque Mademoiselle Spécifique avait rédigé deux diffèrent version de l’urbain : l’urbain – l’urbaine… Pourtant, comment elle aurait su que Mademoiselle Spécifique s’est penchée sur la rédaction des « mirages de l’urbain » : bourg et ville… Voilà l’énigme de différence entre l’urbain et l’urbaine du fait que l’urbain s’incarne par bourg dans lequel biopouvoir / biopolitique est prégnant tandis que l’urbaine se réfère à la ville où cult – pouvoir s’imprègne la société entière…

Essay of essays…

Corinne Mercadier

Yesterday evening, I was scrutinizing about what else I can write except ongoing articles… so I enumerated all the different domains that I have been writing… as poetry, or as sport… or as art… etc. Firstly, I dare to write the essays than I continued to write on various domain as I cited… Nevertheless, there is always a little bit hesitation on writing stories & scenarios although I participated short course seminaries on cinema & literature. I wish to write story or scenario but then I said myself “come on you are sociologist and lonely person how can you create the dialogues as the same as real life” … Then I thought “shall I write a story or scenario speechless” Does it possible? I didn’t decide the exact answer for that question yet…. But as Coldplay sing that “If you never try never know” through the song entitled “Fix you” … Therefore, I present my sincere excuse to all the greatest writer and scene writers for daring to write about stories & scenarios… Even I do not know how to write a better story because I thought that Virginia Woolf, Proust, Maupassant, Nathalie Sarraute, Georg Perec, Jack London, Charles Dickens, Paul Auster, etc. have already written the best stories ever… which is why as Umberto Eco emphasize that “I just admire to write” … I adore writing so, “why I have to stop myself with those questions”. That reminds me my university period that I was studying on sociology, and I said myself “Oh my God! How can I observe the society as scientific as Durkheim, Weber, Marx, Simmel, Becker, Baumann, etc.” After a while, when I was studying my PhD. degree on sociology, finally I managed to achieve it. It takes many years but at the end I achieved my dream as being one of the sociologists. Hence, I know that writing stories & scenarios is also very difficult, especially without society… Nevertheless, suddenly I took paper and pencil from my bag to write some notes about my probably first story on scenario. Actually, I didn’t decide it yet…. The only thing that I am sure about it, is: I wish to write stories & scenarios… I just wanted to “try” that’s the point of achievement… I have no any idea what will look like my stories & scenarios but the only thing that I know is the way of achievement which pass through hardworking, never ever give up, cultivation en soi let the pencil flowing on the paper….

As a result, I give myself a permission to try to write stories & scenarios by following the intellectual thoughts of greatest writer… Thank you for your existence…. So why not the topic about “pied nue”? I do not know the topic of my first story & scenario yet but that’s a good idea…