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Résumé
C’est l’histoire de l’héritière de Madame Bovary dans la quotidienneté pour disséquer « l’énigme de l’amour » lequel ne se réfère jamais à passion ni à trahison mais à cultivation puisque l’amour est levier crucial pour se réveiller par « sleeping beauty » que la modernité solide et liquide le visionne sans cesse… c’est la raison pour laquelle je scrutine la réponse de cette question : si Virginia Woolf rédigeait l’histoire de l’amour dans la quotidienneté sa personnage principale ferait quoi à l’égard de la question de l’amour : continuer à chercher à libérer par l’état impasse de la féminité ou bien raconter la mélancolie ou bien mettre en exergue les différences culturelles à l’échelle de bigarrure type de société lorsque les habitus se rejoignent tous les sociétés ? J’interroge donc si l’amour symbolique pourrait – être convertir en la naïveté des êtres ? via la personnage principale de cette narrative Beatrice lequel est issues de hors biopouvoir – biopolitique dans la modernité liquide et est acquis sa reconnaissance social par le théâtre avec la famille huppée Swan pourtant après le divorce, elle a été castrée par l’économie et par les relations amoureuses de la part de famille huppée Swan : lorsque Edward Swan l’a castré par l’économie que Beatrice a dû perdre son travail, sa fille Nathalie Swan l’a castré par « voler son amour » Brian De Juan… Cette narrative ainsi met en scène la faiblesse voire la naïveté des femmes rompues mais en même temps ceci laisse apparaitre la recherche de l’énigme de l’amour pour se renouveler voire pour se recycler de nouveau via Beatrice… Il apparait évident que Beatrice met en scène la renaissance après la chute en éloignant par le sentiment de vengeance pourtant en se reprochant au sentiment de la mélancolie lequel entame par le réveille… Réveille… Compréhension… Perdue… Recherche… Consciemment… Négociation… Mélancolie… en conclusion l’amour est inter – dite….
Récit
« L’amour dérive de la naïveté des êtres que
ceci laisse apparaitre l’état de consciemment »
« Questions of science… science is on progress… I was just guessing numbers putting puzzles… Running in circles… I have to find you to tell you I’m sorry… come up to meet you… You don’t know how lovely you are… I have to find you… to tell you I need you… Let’s go back to the stars… I’ll take you back to the stars… coming back as I am… » [singing coldplay’s song “scientist”]
Je me suis penchée à chanter en conduisant le yacht vers loin de théâtre… théâtre… quel ridicule que Shakespeare avait raison : le monde est grand théâtre… Je ne savais pas encore où la direction puisque je voudrais seulement être loin de théâtre… Pourtant ceci ne s’apparente jamais esquiver ni échapper car j’étais la femme faite convaincu à l’amour dérive de la dépendance ou de l’assujettissant que Jane Austen l’introduire… alors que ce n’était que le grande théâtre… peut-être je pourrais agir comme « Cousine Bête » de Balzac ou bien les femmes bordeliques de Proust pour acquérir le titre de « noblesse » … Quelle coïncidence que le nom de mon ex – marie était Swan et quelle coïncidence que sa fille Nathalie Swan faisait le théâtre avec Brian De Juan lequel m’avait convaincu que « l’amour sans intérêt » était possible alors que ce n’était que la passion ce n’était pas l’amour… Quel aveugle que j’étais…
Aujourd’hui c’est le jour de théâtre de fameuse couple Nathalie Swan et Brian De Juan et je me suis réveillée au milieu de la mer… je suis toute seul, pas d’électricité pas de téléphone même je ne sais pas encore si j’avais amené asses de nourriture pour mon voyage vers le lieu inconnu… Comme le chantait Coldplay « Running in circles… I have to find you to tell you I’m sorry » no… no… je dirais jamais désolé à ni Brian De Juan ni Edward Swan… « I owe me myself a big sorry » à cause d’être convaincre l’amour symbolique…
***
Je suis Beatrice… peut être héritière de Madame Bovary who knows… ? Cependant je ne trahis jamais Edward Swan mais quand même je me suis rendu compte que l’amour n’avait aucun lien avec la possession des objets matériaux ou bien l’acquisition de nom Swan… Une fois j’étais Beatrice Swan… dans le théâtre de Edward Swan et Beatrice… « who cares my surname » !… Pas encore… je les rejette tous… sauf cette yacht… pourtant je l’ai acheté grâce à mon crucial métier : architecte et designer… C’est seulement nous deux démurons du théâtre… Le vestige du théâtre : yacht…, Mrs. Dalloway – le roman de Virginia Woolf – , Scientist de Coldplay et rompue / perdue Beatrice… Où que j’aille ? Si je décide à aller vers la modernité solide alors je pourrais jamais deviner l’essence de l’amour puisque l’amour est interdite que Madame Bovary le met en exergue déjà… si je décide à ancrer dans la modernité liquide cette fois – ci je dois appartenir aux Mass puisque au moment de rester en dehors de mass il est inévitable de « hearing wild opera » comme les femmes issues de la modernité solide avait fait à Madame Bovary… peut – être c’est la raison pour laquelle Madame Bovary avait dû suicider ou bien préférait à disparaitre who knows ?… Virginia Woolf le savait déjà : « Les pensées / les regardes pourraient être la cage de la liberté / réalité… »
La quotidienneté donc avait préparé la répétition de même circonstance de la vie que Madame Bovary devienne Beatrice… puisque bien que à la différence de Madame Bovary j’ai fait le choix de mon mari je me suis trouvée dans le vecteur de son destin ! Quel ridicule n’est – ce pas… car le destin n’existait jamais… telle que j’avais la possibilité de lire la recherche de Elizabeth London lequel est la femme idyllique et grâce à ses articles que j’avais la chance de lire les livres de Virginia Woolf… Elizabeth London comme « l’horaire de réveille » pour qui fait tomber dans leur « sleeping beauty »… London m’a fait appris que le destin n’existe pas mais existe « fate – makers » lesquels adoptent tous les clichés issus de passé à la quotidienneté… c’est comme cela que je suis sur le point de tomber la même destin de Madame Bovary si je n’avais pas lu Elizabeth London… Dès lors, cette fois je me suis enchainée par les chaines de prestige sociale son absence supprime tous que la divorce avec Swan engendre la chute inévitable… alors que j’avais l’occupation pour laquelle j’ai doué pourtant « who cares competence if you are living in modernity liquid » … Rien que prestige social… Peut – être c’était l’illusion de mon inconsciemment que le psychisme m’oriente à marier avec Edward Swan… Who knows ? C’est difficile à l’avouer mais ceci la pierre angulaire de la réalité… c’est pareille que Madame Bovary elle – même aussi se trompait à son psychisme lorsqu’elle dissèque « l’acception de l’amour »… Madame Bovary introduire l’amour comme passion et donc trahison – amour interdite » s’apparentait comme si la crucial définition de l’amour alors que ce n’était que l’illusion de l’amour quand même la découverte de la féminité par passion puisque jusqu’à cet époque – là les femmes ne le connaissaient pas, même dans la quotidienneté les femmes suivis à la castration féminine… C’est tout ridicule que le monde visionnât ce théâtre… Ridicule !… Que change ? Seulement les costumes… c’était tout… Brian De Juan lequel est l’écrivain et optait à faire théâtre avec Nathalie Swan… ma belle-fille a tombé à l’amour à mon ami – petit ami Who knows ? Après le divorce les Swan sans cesse à me castrer : castrer par mon travail et puis castrer par Brian De Juan… Rien change… seulement les décors… les costumes… les caractères… les relations… changent – ont la mutation… A part ça, tout reste comme la modernité solide…
Ce n’était que « l’amour symbolique »… que disait London pour l’amour inhérent à la quotidienneté solide et liquide : Amour symbolique puisque « âme » ne fixait que les passion quand même il est difficile de les avouer en haut – voix puisque c’est dégoutant de l’avouer que « Oui, Nathalie Swan, je voudrais marier avec toi puisque je veux le pouvoir et toi me l’assure » pour Brian De Juan et vice versa « Oui, Brian De Juan, je voudrais marier avec toi puisque je veux la domination et toi me l’assure » pour Nathalie… ceci le résume de l’illusion de l’amour : la volonté de la liberté et du pouvoir… c’est la raison pour laquelle je ne peux pas respirer… il a fallu que je quitte cet endroit, ce théâtre – là… je dois disséquer s’il existe des différents théâtre où pas de fiction mais réalité – la nature elle – même que me disiez qu’est – ce que l’amour ?
***
Je me suis perdue au milieu de la mer et j’ai pas de destination encore… J’aurais bien aimé d’aller à l’ile où Elizabeth London habite pourtant je ne savais pas le nom de cet ile… la seul chose que j’ai su c’était près de Londres… que London y allait pour renouveler… Alors dans la prochaine quai je vais ancrer le yacht pour aller à Londres ou bien A Sussex pour se retrouver avec elle… en bien espèrent qu’elle m’accueillir sans mon prestigieuse nom Swan… Une fois j’avais la possibilité de discuter avec elle à propos de son toile intitulé « Lamour est inter-dite » sur laquelle elle a dessiné « Two Comedian »… London me disait que:
« L’amour dérive de la naïveté des êtres…. Soit vous continuer à convaincre à regarder les pièces de théâtres soit vous les saluez et décider à prendre le bateau pour découvrir la vérité pour réveiller… »
Beatrice : alors qu’est-ce que ça veut dire « l’amour inter – dite » je n’ai pas compris ?
London : [souris] « l’amour est inter – dite » … écoutez vous – même, vous aller trouver votre réponse… si vous avez besoin de faire discuter là – dessus prenez ma carte et n’hésitez pas à me contacter… N’oubliez pas de demander vous – même « Who I am » ?
Beatrice : Je me suis tout embrouillée… c’était l’honneur d’avoir la possibilité de discuter avec vous… Merci Mademoiselle London…
Je me suis trouvée ainsi dans le yacht pour disséquer la réalité en disant le grand « A Dieu » au théâtre… puisque je voudrais réveiller par mon « sleeping beauty » pour cela le faire comme la chanson de Coldplay le disait « I have to find you » où « you » se réfère à la fois à moi – même et à London… « because I want to come back to the stars as I am”… Heureusement j’ai vu la part pour vendre le yacht puisque j’ai pas beaucoup de budget et Londres c’est cher… avec Edward Swan je n’avais pas des réflexions sur le budget… je faisais des achats… des voyages… aveuglement… mais maintenant il faut que je fasse l’économie… s’ j’ose à aller loin de théâtre toute – seul alors je dois faire bien calculer l’économie… après la divorce je n’avais plus le travail… Pourtant je plains jamais à cette situation… Je sens fortement que je suis dans le bon chemin et c’est la décision parfaite… Si je réussis à le vendre le bon prix alors je pourrais rester à Sussex tout près de Mademoiselle London plus de l’années… que je l’espère ce temps – là serait suffi à trouver ma réponse à propos de l’amour et donc à la vie… pour recommencer pour retourner au commencement comme moi – même… Voilà toute est prête… le visa… le lieu d’accommodation… et le budget sauf l’envoyer le mel à Mademoiselle London pour solliciter le rendez – vous… sinon que je ferais, je ne sais pas encore… Quelle perdue !
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Lors de voyage à Londres d’une part j’attends la réponse de la part de Mademoiselle London et d’autre part je me suis penchée sur le cas de Nathalie Swan puisque si j’agissait comme les femmes néants que Proust – Balzac les expliquaient déjà alors je n’aurais jamais du quitter la modernité liquide puisque j’avais terminé « l’art de transfert » que cette fois – ci Nathalie aurait du disparaitre… puisque la modernité liquide donne le privilège aux femmes bordeliques en vaporisant les femmes idylliques pourtant moi – aussi je suis femme idyllique c’est la raison pour laquelle je préfère d’avoir vaincu au lieu de faire « art de transfert »… No… je pourrais faire jamais… Ma chute était lié à la fausse compréhension des codes sociales… puisque la modernité liquide inculque à vivre avec les codes sociales précises par les familles comme Swan dans la société c’est comme le mathématique alors que je me suis rendu compte que la vie n’est pas le mathématique… c’est la raison pour laquelle il est difficile d’envisager le futur… Who knows… peut – être le théâtre de Nathalie Swan et Brian De Juan serait terminé comme mon cas… Who knows… je ne sais pas encore si Madame Bovary vivaient dans la quotidienneté, elle ferait quoi au nom de l’amour ? Que serait l’histoire de l’amour dans la quotidienneté ? Quand même je ferais quoi à Londres… je suis pas migrant… je ne cherche pas le travail… je voudrais jamais être la charge pour Grande Bretagne d’ailleurs Mademoiselle London ne me permettrait jamais de les faire puisqu’elle me donne sa contact pour discuter à propos de l’énigme de la vie : « l’amour »… Ceci ne dit pas l’invitation à Sussex où London habite depuis son indépendance par Dorian…
Avant de commencer de nouveau, il faut que je trouve la réponse à propos de l’amour que la majorité des gens le fait plaisir comme si ceci est le sujet simple – banal… tandis que ceci est la clé de voûte de la vie puisque l’énigme de liberté voire de pouvoir pourrait être décoder par ce sujet que ceci ne permet jamais la chute de nouveau… donc mon visite à Londres le vaut bien… pour trouver l’énigme de l’amour…
Quelle chance ! Mademoiselle London m’a accepté pour discuter là – dessus… Maintenant je suis soulager… C’est le temps d’écouter Lisa Ekhdal lorsque je suis en train de conduire vers mon nouveau appartement tout près de Mademoiselle London à Sussex :
« I don’t care if someone said I’m foolish cause I’m singing from my heart… There is just one life coming from that one place… There is just one face and it’s your face… There is just one life going through the one place… There is just one race and it’s human race… There is just one face and it’s God’s face… All of us coming from the same doors…»
Ni Nathalie Swan ni moi supérieur de l’un à l’autre… puisque comme dirait London « nous sommes tous spécifique et possède le culte – pouvoir dérivé de la réflexion de talent divine »… Pourtant le problème en est que après avoir vécu tous les théâtre visionné dans la quotidienneté liquide et solide, puis – je aimer quelqu’un de nouveau comme lui sans aucun intérêt mais la négociation sous le toit de la culture… Est – ce que ceci est possible ? Voila c’est la question cruciale que je voudrais discuter avec Mademoiselle London « although I have already knew her reponse » : « L’amour est inter – diter »
Mais qu’est – ce que ça veut dire : interdiction – forbidden ou bien dialogue avec soi – même pour rétablir la mélancolie ? Who knows… tout dépend de la quotidienneté…
« La passion se reflète l’illusion de l’amour en tant que l’assujettissant / la dépendance ».
« La trahissons s’apparente à l’aliénation en soi au sein de grand théâtre ».
« L’amour se projette l’état de consciemment voire celui de cultivation et donc mélancolie que l’amour est inter – dite ».