A Quoi Sert La Punition? (3/6)

Giorgio de Chirico

Chapitre II : Réfléchir sur la naissance de prison…

« Je pourrais faire ce que je veux, personne ne pourrait me sanctionner » … Ce discours fait réfléchir sur le triangle d’identité, de racisme et de prison puisque l’énigme de prison s’explique par ce discours que Foucault met en exergue par l’affinité entre la volonté de pouvoir et la naissance de prison. Je pourrais donc mettre en relief l’affinité entre le pouvoir et la prison élucide la phase noire – jaune de la mélancolie : la rencontre avec les différences passe par mal excessive que « la naissance de prison » le couronne. En outre, je pourrais élucider que la prison se réfère à la conséquence des jeux dangereuses des identité favorisés (élites) : accusés, stigmatisés, jugés pour créer « las meninas » … Dans ce contexte, si la naissance de prison s’apparente à la volonté du pouvoir des élites dans la modernité liquide, je m’enquiers le rôle crucial de prison : est -ce que c’est le lieu de cultivation ou bien consommation / castration convenant à la cérémonie de transfert ?

D’ores et déjà, ceci m’amène au discours de ministre de sécurité ainsi : « si un.e personne est en prison devient vagabonde ne cultivent guère. La méchanceté s’augmente le niveau auprès de prisonniers telle que ceci empêche intégrer à la vie sociale… »

A l’instar de ce discours, je pourrais défendre la thèse selon laquelle « les prisons ne sont que la mutation de camp aride de Hitler pour se réaliser la cérémonie de transfert dans la modernité liquide telle que le concept intitulé « intersectionnalité » dévoile l’énigme de prison : « créer opposer issue des identités défavorisées pour projeter toutes les fautes des élites comme le maquillage que Maurice Blanchot l’explique ». Dès lors, ceci assure sur – humaine comme superman auprès de société en tant que l’emblème cardinal de pouvoir déesse lequel est absolu telle que les élites de société fiction procure pouvoir déesse lequel légitime sur – humain par le truchement de prison où toutes les culpabilités des élites sont enterrées par la cérémonie de transfert que Foucault l’élucide ce fait social par biopolitique selon laquelle l’identité défavorisée sont chargée par les fautes / culpabilité / tricheuse des élites…

Parallèlement à Foucault, j’explique ce fait social inhérent à la modernité liquide par le concept de doubletique lequel s’apparente à l’acquisition de pouvoir au moyen de la réification des vies nues ainsi que celui de la distinction / dialectique auprès des genres à l’égard des identités afin d’effectuer l’art de transfert lequel assure la stagnation du temps / quotidienneté voire la continuité éternelle des élites. En outre, la biopolitique sert à la création de l’enfer comme la prison ou bien comme les quartier feu – Bidonville, etc. telle que ceci laisse apparaitre « la surveillance autoritaire », « la conscience identitaire » et « la distance » (symbole, genre, habitus hiérarchisés à l’égard de l’identité). Je pourrais ainsi mettre en exergue que la naissance de prison se réfère à l’enjeu crucial de doubletique afin d’assurer l’écart existante ente les identités favorisées et ceux de défavorisées dans la modernité liquide. De même, en suivant le cheminement intellectuel de Goffman, je pourrais mettre en relief que les identités défavorisées sont stigmatisées par l’imagination des élites pour bloquer / boucher l’intégration sociale telle que la recherche intitulée « outsiders » de Becker l’illustre ce fait social. Partant de ce postulat, il apparait évident que la manière de droit dans la modernité liquide s’identifie par le privilège que les élites possèdent le pouvoir absolu dans la société fiction. De même, ceci laisse apparaitre les traces cruciales de la démocratie oligarchique lequel entraine la reproduction des identiques en ignorant ce qui est diffèrent (hors biopolitique) telle que « familyice » en tant que le vecteur de « ex – ception » assure la suspension des identités défavorisée. Mais à la différence de la modernité solide, la suspension en tant que la forme punition / exception se réfère à « rendre acculturée » / « consommer » / « transférer » pour ne pas re – intégrer à la société.

Dans ce contexte, je pourrais déduire que « la naissance de prison » sert à stigmatiser / ex – cepter par la société / rendre acculture / castrer – consommer / transférer au lieu de cultiver telle que ceci laisse apparaitre le nouveau paradigme concernant la prison : rendre tributaire en tant que « agent social » évoqué les époques de la modernité solide, c’est-à-dire les prisonniers devient / sont les soldats des élites pour faire tous les méchancetés au nom des élites que Frederick Jameson l’élucide par le pouvoir des élites lequel s’apparente à la philosophie de « faire mourir faire vivre ». De l’exprimer de manière différente, la culture de la modernité liquide laisse apparaitre que les prisons servent à créer les agents sociaux en tant que les soldats / obéissants / modern esclaves des élites pour effectuer la cérémonie de transfert telle que ceci permet d’observer les traces cruciales de racisme. De même, Chirico élucide la dualité des élites par le changement de nature elle – même : la naissance de prison ne s’imprègne que la pastiche / la simulacre de la réalité sociale puisque les élites font la culpabilité / défaut mais ne sanctionnent pas puisque la cérémonie de transfert permet de remplacer les défauts / culpabilités des élites par l’innocence des identités défavorisées. La plume de Milan Kundera décrypte « aliénation en soi » en tant que le vecteur de dualité ainsi : 

« When I close my eyes I am afraid of trans… what if when I open my eyes and the person at whom I am looking modified into a monster… I am afraid of twist of fate… Tears help to clean eyes for see deeply whatever / whoever I am looking at… »

Ceci me revendique la métaphore de « larmes » dans le poème de Pessoa : le chagrin de rencontre avec les différences dans la modernité liquide où « bluring the real and fake » domine la société fiction afin de procurer la continuité éternelle des élites. Dans ce contexte, je pourrais conclure l’énigme de la naissance de prison ainsi :

  • La volonté du pouvoir
  • La cérémonie de transfert
  • La création d’opposé / l’acculturalisation voire la reproduction des agents sociaux en tant que les soldats des élites

Je pourrais donc déduire que ces trois motifs cardinaux en ce qui concerne la naissance de prison assure la stagnation de quotidienne que Jameson l’élucide en tant que le pouvoir des élites : « faire vivre laisser (faire) mourir ». Il apparait ainsi évident que la naissance de la prison s’apparente à castrer / consommer les identités défavorisées innocents et aussi ceci se réfère à la stagnation de quotidienneté / le temps linaire voire la reproduction des agents sociaux en tant que les soldats des élites pour que les élites de la société fiction continuent la dynastie éternellement. Pourtant si la prison n’a aucun rôle de cultiver alors à quoi sert la punition ? En outre, quelle est l’affinité entre la sécurité et la punition dans la modernité liquide si les innocences issues des identités défavorisées ont accusé / stigmatisé / ex – cepté par élites : je m’enquiers donc si la sécurité se réfère – t – elle à la continuité éternelle des élites en dépit des fautes / culpabilités / terreur / corruption … ? Si cela est le cas alors la punition s’apparente – t -elle à l’envie reflété ?

A Quoi Sert La Punition ? (2/6)

Giorgio de Chirico

Chapitre I : Racisme

J’élucide l’énigme de « Racisme » dans la modernité liquide par la maladie de transfert telle que le Racisme s’appuie sur l’inquiétude de la supériorité de class, d’identité et de nation c’est la raison pour laquelle le Racisme s’apparente aux actes / traitements bien calculée, envisagée et fait consciemment que Baumann le met en exergue. Dans ce contexte, je pourrais mettre en exergue que « Identité » est la force motrice de Racisme que la mise en scène des drapeaux sur le toile de Chirico l’illustre : la reproduction de même communauté en consommant / liquidant les identités défavorisées. Partant de ce postulat, il apparait évident que la matrice de « Racisme » s’identifié par « Nation », « Identité » et « Class » que Wallerstein l’élucide la distinction crée/ illusoire afin d’assurer la supériorité éternelle de tel ou tel identité telle que « Identité », « Nation » et « Class » jouent le rôle de hypnose pour faire convaincre aux mass ainsi que pour susciter hostilité violente contre les identités défavorisées en tant que la trace crucial de « Racisme » puisque la complexe de supériorité ainsi que la littérature de victime que les discours de Hitler lève le voile, élucident le piliers prégnants de Racisme.

En suivant le cheminement intellectuel de Foucault, le berceau de racisme est le biopouvoir / biopolitique que unicornetique / doubletique le laisse apparaitre par le manque de société. En outre, la communauté homogène donne les traces cruciales en ce qui concerne la démocratie oligarchique / la monarchie en tant que l’énigme de racisme telle qu’en Turquie, le media avertisse au public en ce qui concerne le sujet de marché ainsi : « Fait attention, avant d’acheter les poissons, pour éviter d’être tricher, il faut connaitre les marchandises ». Si c’était ville, le media ne pourrait guère avertir au public puisqu’il s’agit de la solidarité organique dans le sens de Durkheim dans la ville c’est la raison pour laquelle le media turque avoue que la Turquie se compose à l’égard de communauté. Ceci revendique le sujet de discrimination ainsi que manque de démocratie donc l’énigme de racisme s’avère dans la modernité ainsi : la société se ramifie en tant que les classes sociales hiérarchisés par rapport à l’identité / la nation. Je forge ainsi la notion intitulée « société fiction » afin d’expliquer la manière de regroupement dans la société : la création d’opposée de manière conscient que Baudrillard l’élucide par le concept de simulacre ainsi que celui de pastiche. Je pourrais donc mettre en exergue que classe sociale est l’emblème cardinal de racisme que société fiction l’élucide par la ramification de société : la condition de classe sociale s’appuie sur l’écart existante entre la vie politique et la vie nue en tant que le camera obscura de Marx telle que la distinction et l’habitus jouent le rôle clé en ce qui concerne la continuité éternelle, la supériorité éternelle de la vie politique lequel s’incarne par l’union de semblable en tant que communauté que la différence condamne à transférer / consommer / liquider telle que Michel De Certeau le diagnostic par la notion de stratégie – tactique lequel s’appuies sur les jeux d’envie afin de parvenir / remplacer la position sociale que Balzac l’explique dans le livre intitulé « Cousine Bête » : tactique se réfère aux jeux d’envie comme le ralentissement du temps tandis que stratégie se réfère à doubletique, c’est-à-dire la création d’opposée pour renforcer la supériorité des élites que Fragmentary / Fractionnel Reader l’élucide : les jugements, les accusations, les spéculations, le sens fragmenté et les codes / symboles inhérent à la vie politique l’avoue ainsi : « je pourrais faire ce que je veux. Personne ne pourrait me sanctionner ».

De même, Baumann élucide l’enjeu crucial de classe social par l’art de transfert : « There must be two for one’s freedom ». Ceci laisse apparaitre que « quoiqu’il arrive la vie politique est intouchable ainsi que possède le pouvoir absolu ». L’enjeu crucial de racisme donc s’identifier par la maladie de transfert. A l’instar de ce postulat, la différence entre la culture de la modernité solide et celle du liquide laisse apparaitre la cruciale nuance liée à la perception de racisme :

  • Le racisme inhérent à la culture de la modernité solide s’apparente aux distinctions physique/biologique naturelle telle que le racisme s’identifie par la distinction corporelle que le série intitulé esclave Isaure l’élucide.
  • La culture de la modernité liquide met en scène l’acception de racisme par la création d’opposée pour renforcer la supériorité des identités favorisé. Le racisme surgit sur la surface par la littérature de victime pour être la vie politique que ceci permet de diffuser / refléter aux envies sur les identités défavorisées telle que le formule de racisme inhérent à la culture de la modernité liquide pourrait se traduire ainsi : créer opposer et imiter / créer / remplacer l’histoire de victime que Bernard Lewis l’élucide par le concept de « history recovered ».

Pour conclure, je pourrais mettre en exergue que le racisme se réfère à la maladie de transfert. Pourtant je m’enquiers si le racisme est la force motrice de punition, quel est le rôle crucial de prison dans la modernité liquide ?

A Quoi Sert La Punition? (1/6)

Giorgio De Chirico

Introduction

Je tente de passer au crible l’énigme de la punition dans la modernité liquide lors de la recherche intitulée « A quoi sert la punition ? ». « Est – ce que les gens pourraient replacer l’un à l’autre ? » lequel élucide l’énigme de la punition dans la modernité liquide. De surcroit, je mets en relief que la punition est la produit / la conséquence de deuxième guerre mondiale que le discours de Hitler lève le voile l’énigme de la punition par l’identité : « Nous (l’Hitlérienne) sommes « aride Allemagne » » que le type de cerveau la preuve, c’est la raison pour laquelle nous (les Hitlérienne) ne pourrions pas être chômage, nous sommes supérieures… ». Dans ce contexte, les discours de Hitler élucident la cible de bâtir les camps en tant que la forme de la punition pour les identités ignorées / défavorisés : le transfert… De même, la recherche intitulé « La Naissance de Prison » de Foucault explique que les identités défavorisés / ignorées sont enfermées dans les prisons… Ceci laisse apparaitre que la punition est liée au sujet de « racisme – identité » dans la modernité liquide bien que le supplice soit afférent au sujet de « biologie – famille » dans la modernité solide. En outre, je pourrais mettre en exergue que « le racisme » est la force matrice de « punition ». Je tente donc de se pencher sur la question de « racisme » lors de premier chapitre. En ce qui concerne dans le deuxième chapitre, j’essaye de passer au crible « la naissance du prison » pour illustrer les prison en tant que le centre de transfert que Chirico le décrypte dans le tableau ainsi que Foucault avait fait allusion à ce fait social à propos de la modernité liquide puisque les prisons ne sont pas les lieux de re – habilitation mais ceux de « chute – transfert » c’est la raison pour laquelle je me consacre à réfléchir sur la dialogue entre la sécurité / intimité et la punition dans la troisième chapitre. Dès lors, les prisons ne cultivent guère les gens au contraire les prisons servent à la reproduction des tributaires pour assurer la longévité des identités supérieurs…

Dans ce contexte, je me penche sur la question cruciale à propos de la punition afin d’élucider « A quoi sert la punition ? » dans le dernier chapitre que je dissèque si la punition est la tactique pour accéder au pouvoir ou la cultivation ? A quoi sert la punition ?

Réfléchir sur la sociologie de l’économie…

Edward Hopper.

Quelle est l’affinité entre la société et l’économie ? Est – ce que l‘économie (éco – nomos) se façonne la société ou bien la sociologie guide l’éco – nomos ?

Pour aborder ce sujet, je défends la thèse selon laquelle la force motrice de l’éco – nomos s’appuie sur la sociologie et donc la matrice culturelle de différents types de modernité (solide, liquide et fluide). Pourquoi ? Bien que la majorité de société se considèrent l’éco – nomos en tant que le guide de sociologie, la sociologie joue le rôle cardinal en ce qui concerne l’éco – nomos telle que la preuve réside dans « la modernité solide » ainsi : les coutumes / les traditions héréditaires représentées par les symboles de souveraineté se façonnent la disposition de société de manière dichotomique que la source de l’éco – nomos dans la modernité solide le dévoile par « agriculture » lequel permet de témoigner l’effet sociologique sur l’éco – nomos par la distinction dichotomique entre prolétariat (peuple / dépendant) et assidus (propriétaire / maitre). En outre, Dahrendorf met en exergue que la disposition de société influence l’occupation dans le giron de production que la modernité solide le dévoile par la distinction de société influence l’occupation de société : prolétariat et assidus. Je pourrais donc mettre en exergue que la sociologie se façonne l’éco – nomos telle que l’éco – nomos inhérent à la modernité solide l’illustre par la disposition de la tâche dans l’agriculture.

De même, je pourrais élucider que la sociologie de la modernité solide permet de dévoiler l’interdiction de « position social » convenant à biopouvoir que ceci laisse apparaitre l’enjeu crucial en ce qui concerne l’éco – nomos inhérent à la modernité solide : « interdire à faire ». Dès lors, la sociologie de la modernité solide laisse apparaitre l’affinité entre le pouvoir et la production pour déterminer l’éco – nomos : « ex – ception » et « unique / unicorne » sont ancrée dans l’éco – nomos que j’ai forgé la notion intitulée « l’économie exceptionnel / unique » pour élucider l’éco -nomos inhérent à la modernité solide. Du fait, l’éco – nomos inhérent à la modernité solide ignore la compétence / la culture mais couronne le biopouvoir par les métiers / occupation héréditaires en interdisant à les faire par les différences que ceci fait sentir exceptionnel et aussi unique dans la modernité solide telle que les symboles des produits représentent la famille en tant que l’emblème cardinal de la pierre angulaire de l’éco -nomos inhérent à la modernité solide : l’économie exceptionnel / unique.

Pourtant, je m’enquiers si l’économie exceptionnelle / unique engendre la tension / la restriction de production dans la modernité solide que les révolutions l’illustrent en tant que la force motrice de changement social ? En outre, les effets sociologiques en ce qui concerne la dynamique de l’éco – nomos inhérent à la modernité solide suscitent – ils les révolutions en tant que la dynamique cruciale de changement social que les révoltes et les fécondités le dévoilent ?

D’ores et déjà, il apparait évident que l’éco – nomos s’appuie sur « interdire à faire » dans la modernité solide commence à décliner que les révolutions, les révoltes et les fécondités le dévoilent telle que le discours inhérent à l’échec de l’économie exceptionnel / unique laisse apparaitre les effets nocifs de l’interdiction de la multiplication des produits : « pas de pain ». En outre la sociologie de la modernité solide permet de témoigner l’inefficacité de l’économie exceptionnel / unique lequel bouche la voie de la production par les jeux de castration. Je pourrais ainsi déduire que la fin de la modernité solide s’incarnée par les révoltes / les fécondités laisse apparaitre les crises économique en tant que l’emblème cardinal de l’absence de société convenant à cult – pouvoir puisque biopouvoir bouche la voie de l’échange des produits voire restreint la production que les révolutions engendrent le changement social que la sociologie de la modernité liquide le dévoile en tant que la période de transition voire la sociologie de la modernité fluide ‘illustre par l’émergence de société lequel s’apparente au cœur de l’éco – nomos : le commerce, c’est-à-dire l’échange des produits avec les différences.

Dans ce contexte, je pourrais recapituler que les révolutions permettent de dévoiler l’omnivalent de quotidienneté : la modernité solide, la mutation de la modernité solide en tant que la modernité liquide et la modernité fluide que les encyclopédistes l’envisagent depuis la fin de la modernité solide mais ceci est en vigueur au XXIème siècle grâce à Brexit.

Pour élucider les effets du changement social sur l’éco – nomos dans l’omnivalent de quotidienneté, il me faut mettre en exergue la divergence entre la sociologie de la modernité liquide et celle de la modernité fluide puisque la modernité liquide ne s’apparente qu’à la mutation de la modernité solide tandis que la modernité fluide se réfère au changement social convenant aux encyclopédistes que la démocratie le couronne. Partant de ce postulat, je pourrais mettre en exergue que l’éco -nomos inhérent à l’omnivalent de quotidienneté se varie à l’égard de la sociologie de bigarrure type de modernité :

  • La modernité solide laisse apparaitre l’éco -nomos par interdire à faire que l’éco – nomos exceptionnelle / unique l’illustre.
  • Vu que la sociologie de la modernité liquide s’appuie sur la distinction / la dialectique voire sur consommer, l’éco – nomos s’apparente à « laisser – faire » pour faciliter à consommer / transférer. En outre, la sociologie de la modernité liquide laisse apparaitre la dialectique, la hiérarchie et la distinction dans la société que ceci influence l’éco – nomos inhérent à la modernité liquide par les échanges antagoniste / dialectique en se recentrant sur la consommation convenant à la biopolitique que j’ai forgé la notion intitulée « l’économie antagoniste / dialectique ». Dans le sillage de Marx, je pourrais déduire que la sociologie de la modernité liquide fait naitre « l’économie antagoniste / dialectique » telle que la supériorité due à l’identité favorisée voire l’opposition économique tandis que l’infériorité due à l’identité défavorisée voire la pauvreté que le livre intitulée « Capital » voire « La condition des ouvriers en Angleterre » de Marx le mettent en scène. Je pourrais donc mettre en relief que le principe crucial de biopolitique en tant que « faire vivre laisser mourir / faire vivre faire mourir » s’insinue dans l’éco – nomos inhérent à la modernité liquide que l’économie antagoniste / dialectique l’illustrent par la philosophie de « laisser faire » en tant que l’emblème cardinal de transfert voire consommation. De même, Veblen met en exergue que l’acte de consommation se façonne la position sociale dans la modernité liquide que l’occupation hors production s’apparente au haut rang de statut telle que Veblen le diagnostic par « la classe ostentatoire » pour mettre en exergue l’économie antagoniste / dialectique se réfère à « plus – value » que Marx l’élucide telle que les symboles jouent le rôle crucial en ce qui concerne la distinction dialectique / antagoniste dans la société. De surcroit, l’économie antagoniste / dialectique suscite l’acte de consommation au lieu de production que Andy Warhol le critique par le motto ainsi : « l’art pour tout le monde ». Ceci permet de réduire les sujets aux objets que l’énigme de « plus – value » l’illustre par la dénaturalisation ce qui / qu’est la nature. En outre, « plus – value » concernant l’économie antagoniste / dialectique de la modernité liquide laisse apparaitre la pierre angulaire de l’éco – nomos : dénaturaliser ce qui / qu’est la nature, la reproduction identique / similaire, la supériorité hiérarchisée à l’égard de l’identité que ceci détermine la richesse et la pauvreté et les symboles en tant que l’emblème cardinal de la supériorité en ignorant la fonctionnalité / la qualité. La preuve réside dans le film intitulé « Why Devil Wears Prada ? » que ceci dévoile l’enjeu crucial en ce qui concerne l’éco – nomos inhérent à la modernité liquide : « laisser faire mais en même temps interdire au changement de position sociale » puisque la démocratie oligarchique laisse apparaitre l’écart existant entre les identité favorisées et défavorisées convenant au principe de biopolitique. Ceci permet de l’émergence de la mentalité de concurrence de manière ambiguë puisque la dialectique entre les différences engendre la production mais en même temps ceci permet d’effectuer « l’art de transfert » pour assurer la supériorité éternelle dès lors que l’enjeu crucial de l’économie antagoniste / dialectique s’appuie sur le sentiment d’être supérieur que le livre intitulé « Museum d’innocence » le dévoile par l’imitation / le pastiche de « haute – couture » afin d’intégrer au haut rang de société. Parallèlement à cela. L’économie antagoniste /dialectique laisse apparaitre la légitimation de l’art de transfert que Hannah Arendt le diagnostic par « la banalité de violence ». Je pourrais ainsi déduire que l’éco – nomos inhérent à la modernité liquide s’appuie sur la plus – value que ceci laisse apparaitre la dialectique come le miroir de Heraclitus pour effectuer « le camera obscura » pour assurer l’écart existant entre les identité défavorisées et favorisées telle que ceci permet de témoigner la hiérarchie sociale dans la société par le truchement de l’éco – nomos. En outre, la modernité liquide laisse apparaitre l’éco – nomos par « laisser faire » pour effectuer « art de transfert » que l’économie antagoniste / dialectique laisse apparaitre la hiérarchie et la plus-value convenant à la dialectique entre la supériorité et infériorité, l’interdiction des échanges avec les différences et l’art de transfert. Dès lors, l’économie se reflète la vitrine de la matrice cruciale en ce qui concerne (échanges avec les différences) que son absence entraine la crise économique que l’économie antagoniste / dialectique inhérent à la modernité liquide le dévoile : la rencontre avec les différences est en panne / impasse faute de l’art de transfert. Du fait, la dialectique laisse apparaitre l’enjeu cruciale de l’économie antagoniste par la consommation des producteurs au lieu de l’échanges entre les consommateurs et les producteurs que la crise économique l’illustre par l’absence de commerce telle que la philosophie cruciale concernant doubletique s’identifie par biopolitique le met en scène ainsi : « Faire vivre laisser mourir / faire vivre faire mourir ». La preuve réside dans les toiles de Chirico sue lesquels la nature est en train de liquider : « la nature mort ». Je pourrais donc recapituler que la sociologie de la modernité liquide laisse apparaitre la manière de l’éco – nomos par l’économie antagoniste lequel s’appuie sur la consommation des producteurs en ignorant les échanges / la commerce voire la plus – value pour écarter la hiérarchie sociale convenant à doubletique.
  • En ce qui concerne l’éco – nomos de la modernité fluide, je pourrais mettre en exergue que la value – complexe et donc l’économie culturel / démocratique permet d’élucider la pierre angulaire de l’éco – nomos inhérent à la modernité fluide : recycler la nature laisser créer ». Vu que la sociologie de la modernité fluide s’appuie sur le dialogue, sur la spécificité, sur la culture, sur la démocratie, sur la négociation, sur la créativité et sur la nature, la vitrine de la sociologie s’identifiée par l’éco -nomos inhérent à la modernité fluide laisse apparaitre l’émergence de commerçants en tant que l’emblème cardinal de démocratie convenant à cult – pouvoir. La preuve réside dans la philosophie de Group Zéro que le motto de Group Zero laisse apparaitre l’enjeu crucial de l’éco – nomos inhérent à la modernité fluide ainsi : « le retour de nature » puisque l’économie antagoniste / dialectique a déjà consommée la nature que « la nature mort » le dévoile par le truchement de l’art. Je pourrais donc mettre en exergue que l’éco – nomos se transforme de la supériorité que l’économie antagoniste / dialectique l’illustre à la spécificité que l’économie culturel / démocratique le dévoile par la value – complexe. En outre, l’éco – nomos inhérent à la modernité fluide permet de témoigner la transformation de l’économie antagoniste s’appuie sur la plus – value en l’économie culturel / démocratique s’incarnée par la value – complexe. Du fait, la value – complexe s’apparente au recyclage de la nature, à l’être homo – faber, à la création suis – generis découlée par l’ordre culturel et à l’échange / le commerce en accentuant la dialogue entre les producteurs et les consommateurs que ceci dévoile l’économie culturel / démocratique dans la modernité fluide. La preuve réside dans les œuvres de Group Zero voire ceux de Katrien de Blauwer (photographe sans camera) puisque ceci permet de lever le voile en ce qui concerne la pierre angulaire de l’économie culturel / démocratique ainsi : Fluider dans n’importe quelle situation que l’i – densité (j’existe avec…) l’illustre par l’enjeu crucial de production – création voire échange / commerce. En outre, cult – pouvoir permet de témoigner l’éco – nomos inhérent à la modernité fluide par l’existence au lieu de vaporiser / consommer que l’économie antagoniste / dialectique et l’économie exceptionnel le dévoilent. Je pourrais ainsi mettre en exergue que l’économie culturel / démocratique engendre la création spécifique découlée à l’égard de l’ordre culturel en accentuant l’enjeux crucial du dialogue et donc l’échange / le commerce en tant que le cœur de l’économie culturel / démocratique puisque le commerce / l’échange laisse apparaitre la démocratie : l’absence de jugement, l’égalité en / par droit et la négociation auprès des différences. Parallèlement à cela, la value – complexe renforce la spécificité lequel dérive de la compétence créatrice de Die que ceci met en exergue l’affinité entre le contexte, le contenue et la création suis – generis comme les œuvres de Hopper, de Woolf, de Arendt, de Jobs, de Blauwer, etc. le dévoilent. Je pourrais donc déduire que l’éco – nomos inhérent à la modernité fluide laisse apparaitre la ramification culturelle dans la société entière que la manière de production voire le dialogue entre les consommateurs et les producteurs entrainent la négociation auprès de différences en tenant compte le contexte, le contenu et le rôle éclaté que la culture joue le rôle clé de voûte concernant la value – complexe. C’est la raison pour laquelle le motto crucial de la modernité fluide met en relief « le sentiment spécifique – suis generis » au lieu de « sentiment unique / supérieur » telle que la création voire le recyclage de la nature sont la force motrice de l’économie culturel / démocratique dans la modernité fluide convenant à la philosophie de cult – pouvoir : « Faire recycler, laisser créer ». Je pourrais donc mettre en exergue que la value – complexe s’apparente à la démocratie que ceci permet de faire sentir spécifique comme le discours crucial concernant la démocratie illustre : « nous sommes tous gentlemen ». Dans ce contexte je pourrais élucider « complexe » par l’interprétation variée de nature ramifiée à l’égard de l’ordre culturel que ceci dévoile la spécificité des objets / sujets dès lors que la plume de Woolf éclaircit la nature ainsi : « we are for ever mixing ourselves with unknown quantities ». Il apparait donc évident que la nature s’apparente à l’infinité que la value – complexe l’illustre par la spécificité. Je pourrais ainsi recapituler que la modernité fluide laisse apparaitre l’éco – nomos par « faire recycler laisser créer » que la value – complexe le couronne par la spécificité en tant que l’économie culturel / démocratique.

Par conséquent, je pourrais mettre en exergue que la sociologie se façonne l’éco – nomos telle que l’éco – nomos s’apparente à la vitrine cruciale de sociologie et en même temps l’économie laisse apparaitre l’amalgame de sociologie à la mathématique que la matrice culturelle de bigarrure type de la modernité le laisse apparaitre :

  • L’économie exceptionnelle / unique s’appuie sur la value – unique pour faire sentir unique dans la société en tant que l’emblème cardinal de unicornetique
  • L’économie antagoniste / dialectique s’appuie sur la plus – value pour se sentir supérieur dans la société en tant que l’emblème cardinal de doubletique.
  • L’économie culturel / démocratique s’appuie sur la value – complexe pour se sentir spécifique dans la société en tant que l’emblème cardinal de politique donc démocratie.

Je pourrais ainsi conclure que la sociologie de l’économie par le tableau intitule « l’éco – nomos » pour dévoiler à la fois l’effet de sociologie sur l’économie et l’éco -nomos variée à l’égard de diffèrent type de modernité ainsi :

L’éco – nomos

Type de modernitéModernité SolideModernité liquideModernité fluide
ProductionAgricultureIndustrieTechnologie, culture, commerce, boutique
Éco – nomosExceptionnel – Unique Value – UniqueAntagoniste Plus – valueCulturel – démocratique (dialogue) Value – complexe
SociologieInterdire à faire Symbole unique UnicorneLaisser faire Symboles supérieurs SupérioritéRecycler – créer Création / production spécifique, suis – generis Spécificité

Faire recycler laisser créer…

Corinne Mercadier

Je me revendique la réflexion cruciale à propos de l’économie inhérent à Marx : « Bien que la révolution industrielle soit en vigueur pourquoi la vie se dispose de manière dialectique ? » se demandait Marx que ceci lui oriente vers l’énigme de l’économie s’appuie sur la plus-value. De l’exprimer de manière diffèrent, la question à propos de classe sociale de Marx fait réfléchir sur l’enjeu cruciale de l’économie antagoniste – dialectique lequel lève le voile de plus – values : dénaturaliser ce qui / qu’est la nature, la reproduction identique / similaire, la supérieure hiérarchisée à l’égard de l’identité que ceci joue le rôle déterminant en ce qui concerne le hiatus entre la richesse et la pauvreté. Je pourrais ainsi mettre en exergue que l’économie antagoniste -dialectique permet de témoigner la philosophie cruciale de « laisser faire » en tant que l’emblème cardinal de transfert voire consommation telle que Veblen met en relief que l’acte de consommation se façonne la position sociale que l’occupation hors production s’apparente au haut rang de statuts. La preuve réside dans les symboles lequel s’apparente à l’appartenance de classe ostentatoire pour accentuer l’enjeu crucial de la consommation et de même l’écart existante auprès de class puisque les symboles laissent apparaitre prêt à porter la reconnaissance sociale autant que les gens désirent de consommer en ignorant la fonctionnalité / la qualité des produits voire le contexte / le contenu lié à propre trajectoire de vie que ceci dévoile habitus lequel est l’héro secret de l’économie antagoniste – dialectique. Partant de ce postulat, je m’enquiers si la culture voire la sociologie de la quotidienneté permet de scrutiner « la circonstance de l’économie » : la valeur attribuée à gagner de l’argent – l’enjeu de production / consommation dévoilée par le marché – l’innovation / l’échange que bourse laisse apparaitre l’invasion voire la conséquence ? De l’exprimer de manière diffèrent, comment peut – on identifier la circonstance de l’économie lequel est en panne dans la quotidienneté bien que l’intervention en technologie et la destruction des frontières que Beck le met en exergue est en vigueur ? Pourquoi l’économie est en panne bien que l’intervention entre les différences soit en vigueur voire l’intervention en technologie est son sommet ?

J’aimerais bien accentuer le rôle crucial de la psychologie en tant que le complément de pièce cardinal de l’économie telle que je pourrais le dévoiler par la circonstance de l’économie. Il apparait évident que la psychologie se constitue le berceau de l’économie que les discours de Steve Jobs le dévoile ainsi : « Les gens voudrait se sentir propre /nouveau / en progrès – avance, c’est la dynamique cruciale de choix de la consommation. » Steve Jobs recapitule l’énigme crucial de l’économie par l’accentuation de l’enjeu crucial de la psychologie lequel engendre la volonté de consommation et la volonté de consommation se façonne la production : se sentir nouveau lequel s’apparente à faire baigner les sentiments affligeants. Je pourrais le développer par l’exemple crucial en art : les gens souhaitent à acheter les classiques pour se sentir dominant – pouvoir de crainte d’être inferieur et donc ceci laisse apparaitre le lien crucial entre l’économie – politique – société et psychologie car la force motrice de l’économie s’appuie sur la psychologie lequel influence la culture / la sociologie lequel est illustrée dans le domaine de l’économie.

Dans ce contexte, il apparait évident que l’économie – antagoniste – dialectique créait son néant que le simulacre le laisse apparaitre en tant que l’enjeu cruciale de l’économie – politique telle que le film intitulé « Parasite » de Bong Joon Ho dévoile comment l’intervention en technologie supprime les frontières en offrant le marché simulacre. De l’exprimer de manière diffèrent, les mondes entiers apprennent à « produire » puisque la production s’identifie par l’imitation et la pastiche que l’industrie le dévoile : la production identique – similaire en série comme les machines. De même, Andy Warhol met en exergue la reproduction / la capacite d’imiter / la copie définit comme l’emblème de supériorité et que la dénaturalisation de nature s’identifie en tant que la manière de production inhérent aux élites issus de la société fiction telle que le film intitulé « Le Temps Modern » le dévoile par Charlie Chaplin : aliénation c’est la raison pour laquelle Marx met en exergue que l’industrie bouche la voie de l’émergence des homo – faber puisque les gens sont aliénée à la totalité de production. De l’exprimer de manière diffèrent, la culture industrielle inhérent à la modernité liquide engendre l’imitation / les simulacres / les illusions / pastiche que Baudrillard l’élucide. Réfléchissons sur les programmes sur la cuisine ou bien sur l’architecture et même sur la manière de marketing dans la vie quotidienne : la recherche de création s’impose par l’accentuation de nature, créativité suis – generis ceci laisse apparaitre que le monde est au seuil de dilemme que la vitrine / window de sociologie c’est-à-dire l’économie l’illustre. Dans ce point – là, il est convenant de faire une citation de Milan Kundera: « When I close my eyes I am afraid of Trans… what if when I open my eyes and the person at whom I am looking modified into monster. I am afraid of twist of fate… tears help to clean eyes for see deeply whatever / whoever I am looking at… ». Ceci construit le point achille de l’économie antagoniste -dialectique lequel est au sommet de crise.

Je pourrais ainsi mettre en exergue que l’énigme crucial de la crise économique s’appuie sur le simulacre lequel détruit à la fois l’habitus et le mécanisme de confiance telle que les gens se transforment en comme les inspecteurs de produits en tant que l’indice crucial de paranoïa que ceci bouche la voie de consommation mais ceci engendre self – construction où self n’a aucun rapport avec narcisme quand même ceci laisse apparaitre le manque de confiance. Je pourrais recapituler que la crise économique pourrait expliquer par le simulacre et l’aliénation voire globalisme que la corruption, la manque de confiance, et les paranoïas dans le monde entier bouchent la voie de l’échange / du commerce telle que ceci détruit la balance entre la consommation et production.

Si nous pourrions bien diagnostiquer l’énigme crucial de la crise économique lequel n’a aucun lien avec l’absentéisme de source ni production mais ceci laisse apparaitre les nouveaux paradigmes en ce qui concerne l’économie. Dès maintenant, il apparait évident que la chimie voire les recherches sur la Space seraient la capital prochain siècles puisque le secteur de l’énergie, de la santé, de l’agriculture, etc… ont déjà gaspillée. Pourtant pourquoi la circonstance de l’économie est toujours stagnée ? Quel est le rôle de l’argent dans ce période – là : acquérir le pouvoir / la supériorité ou la découverte ? Ceci ne jamais pourrais s’incarner par le biais de Pouvoir ni la supériorité que le commerce le dévoile en tant que le pilier crucial de la démocratie. Je pourrais ainsi mettre en exergue que le commerce en tant que la clé de voûte de l’économie est absente dans la vie quotidienneté car le simulacre détruit la confiance et ceci entraine le changement de la mentalité de concurrence : de la production – créativité au bouleversement par les jeux d’envie. De l’exprimer de manière diffèrent, ceci suscite l’émergence de la bourse noire lequel s’appuie sur Pouvoir Pastoral. Alors il apparait la question cruciale : quel est l’effet de l’omnivalent de quotidienneté sur l’économie ? Est – ce que ceci construit la raison cruciale en ce qui concerne la crise économique mondiale ?

Le pilier crucial de l’omnivalent de quotidienneté diagnostique par la distinction / l’exception que la modernité solide le dévoile, par la consommation / liquidation comme la modernité liquide l’illustre et par la culture / la cultivation que la modernité fluide le laisse apparaitre.  Ceci laisse apparaitre la période de transition… c’est l’arrêt : soit régression soit progrès hantent la quotidienneté… De l’exprimer de manière diffèrent, si la modernité fluide pourrait s’imprégner la culture dans la société alors la manière de la concurrence se bascule de la dialectique au dialogue que ceci engendre la valorisation de la culture puisque la culture permet de multiplier les différences et en même temps de ramifier à l’égard de l’ordre culturelle que Anselm Strauss le diagnostic par le rôle éclaté et la singularité.

Pour conclure, « Grounded Theory » est la cure cardinale pour l’économie telle que ceci supprime les attachements – dépendances mais ceci engendre association / symbole sous le toit de principes lequel sont robuste et donc fluidité dans l’économie s’impose au lieu de liquider : « Ce qui est fluide s’incarne par le recyclage / la métempsychose ». Je pourrais ainsi mettre en exergue que l’économie culturel / démocratique engendre la création spécifique découlée à l’égard de l’ordre culturel en accentuant l’enjeux crucial du dialogue et donc l’échange / le commerce en tant que le cœur de l’économie culturel / démocratique.

Glo – culturalisation (5/5)

Edward Hopper, The City.

Conclusion

« Les deux choses / sujets / objets semblable ne pourraient guère s’apparenter à l’identique » que je le rédige pour mettre en exergue le hiatus / le rôle éclaté entre I-dentité (je ressemble à … / je suis supérieur de …) et I – densité (j’existe avec … où avec n’a aucun subordination). A l’instar de ce postulat, je me permet de mettre en relief que la notion utilisée pour décrypter « la manière de la mondialisation », globalisation / glo – localisation reflétée la monopolisation convenant à la culture de la modernité liquide où les différences (homo – fabers / hors biopouvoir / hors biopolitique) ont exclu / discriminée / stigmatisée par la société reflète la piège de I – dentité que la conséquences catastrophique de monopolisation le dévoile par la crise économique mondiale que ceci laisse apparaitre les rapports avec les différences est en panne / impasse.

Parallèlement à cela, la culture de la modernité fluide débouche la voie d’être société par l’absence de jugement que Nancy l’illustre par « Désœuvrement des Habitus » pour prôner le rôle crucial du « principe » et de la « culture » que je forge nation de I – densité selon laquelle la reconnaissance social est acquis par la création / production suis – generis en tant que l’emblème cardinal de cultivation en / de soi, culture, conscience en / de soi que ceci suscite la co – existence de différence et donc l’être société dans le sens de Weber telle que la notion de Nancy intitulé « singulier – pluriel » dévoile le rôle cruciale de culture. Donc, ceci engendre le nouveau paradigme en ce qui concerne la manière de la mondialisation en tant que gloculturalisation. Ceci permet de séparer le bon grain d’ivraie : les effets nocifs de mondialisation recapitule par tautologie / la ressemblance / la simulacre se sépare par le truchement des recherches culturelles que gloculturalisation dévoile par la ramification des mondes sociaux à l’égard de l’ordre culturelle issues de bigarrures type de quotidienneté puisque la quotidienneté laisse apparaitre que le temps n’est pas linéaire ni stagné que Ulrich Beck l’élucide par l’impossibilité d’envisager le futur dès lors que « le simulacre mort » et « la nature renait » que Group Zéro le dévoile. En outre, l’omnivalent de quotidienneté élucide la juxtaposition de réalité au pastiche que ceci nécessite la vraie tâche de séparer ce qui est la réalité en pastiche.

 Je pourrais ainsi mettre en exergue que la manière de la mondialisation inhérent à la culture de la modernité liquide s’identifiée en tant que monopolisation cède à l’illusion de croyance aveuglement aux tautologie lequel engendre les troubles inopinée c’est-à-dire la conséquence de jugement / accusation / tautologie causent le trouble que dès les années révolutionnaire jusqu’à la quotidienneté liquide on a témoigné l’anarchie / les troubles/ la chute injuste des Homo – fabers / différences… : De la chute de Marie Antoinette à la chute de Marilyne Monroe, de la crise économique mondiale à la crise sociale faite par les communistes / fascistes, des tensions entre le simulacre et la nature… Il apparait donc évident que monopolisation lequel ignore les représentations sociales des différences dans l’arène mondiale engendre l’aliénation dans le monde entière autant que les crises socio – économique – politique mondiale ne diminuent pas… Ceci donc laisse apparaitre les recherches faites par les socio – espacalogues / socio – familialogues ne projettent que « imagination sociologique » loin de la réalité sociale afin de créer « le camera obscura » pour renforcer la supériorité. Je pourrais ainsi déduire que monopolisation s’apparente à la manière de la confiance à l’égard de prêt à porter reconnaissance sociale symbolique en ignorant le contexte, le contenu, la manière de production / création et tautologie / identité engendre l’insécurité, l’aliénation, les crises et les troubles successive que la quotidienneté le dévoile.

Néanmoins, gloculturalisation se projette l’existence de société dans le sens de Weber telle que société complexe inhérent à la culture de la modernité fluide laisse apparaitre l’omnivalent de quotidienneté ramifie à l’égard de l’ordre culturel puisque l’infrastructure de l’interaction sociale s’appuie sur culture, conscience en / de soi, manière de production / création en tant que l’emblème cardinal de la sensation intérieur de soi que ceci laisse apparaitre la confiance s’établit à l’égard de l’interaction symbolique dans le sens de Goffman que principe, contexte, contenu manière de production / création jouent le rôle crucial en ce qui concerne la ramification culturel des sociétés dans l’arène mondiale. Ceci engendre la co – existence de côté cours / côté jardin sous l’égide de droit, démocratie et de l’absence de jugement que la value – complexe ainsi que spécificité le dévoile au lieu de plus – valus et supériorité lesquels engendrent la discrimination / l’anarchie sociale.

Je pourrais donc déduire que gloculturalisation, lequel était en vigueur dès les époques pré-industrielles englobé aux ententes royales et les commerces faits dans la modernité solide mais prend sa forme mondiale dans la modernité fluide, permet d’observer la richesse culturelle variée à l’égard de la culture des bigarrures type de modernité dans l’arène mondiale que mondes sociaux le dévoile par convenant au rôle crucial de principe au lieu de l’habitus/ de la coutume. Partant de ce postulat, je pourrais dévoiler les enjeux cruciaux de gloculturalisation ainsi :

Gloculturalisation

Type de ModernitéModernité solideModernité LiquideModernité Fluide
Phase de mélancolieNoireJauneRouge – Rose
Type de sociétéSociété traditionnelle (Groupe sociaux)Société Fiction (Communauté)Société Complexe (Société)
Manière de sociabilitéSociabilité tributaire Sollicitude personnelleSociabilité inavouable Estime socialeSociabilité singulier – pluriels Estime universel
L’éco-nomosValue – uniquePlus – valueValue – complexe
La vieSacréPolitiqueSpécifique
La cultureCoutume DichotomiqueHabitus DialectiquePrincipe Dialogue
Interaction socialeInteraction royale (familiale)Interaction identitaireInteraction pacifique discours (Interaction symbolique dans le sens de Goffmann)
Confiance« J’issus la famille de… » « Je ressemble à… » « Je suis unique… »« Je ressemble à… » « J’issus de l’identité / de la famille… » « Je suis supérieur de… »« J’existe avec… » où avec n’a aucune subordination « Je crée / je produis suis – generis… » « Je suis spécifique… »
La manière de mondialisationEntente royale Commerce BazaarMonopolisation Marketing MarchéGloculturalisation Boutiques Commerce
GloculturalisationEntente royale / commerce Stricte dans local en ignorant les peuples (la vie nue)Unions identitaires / géographique Marketing stricte dans la communauté homogène en ignorant les différencesAlliances / rôle éclaté à l’égard de l’ordre culturelle issue de bigarrure type de quotidienneté en montrant toutes les variétés culturelles possible
TempsLinéaireLinéaireCirculaire

Par conséquent, je pourrais mettre en exergue que gloculturalisation s’englobe toutes les différentes manières de la mondialisation issus de la bigarrure type de la modernité qu’entente royale inhérent à la culture de la modernité solide, monopolisation relative à la culture de la modernité liquide et gloculturalisation lie à la modernité fluide le dévoilent. Dès lors, la culture de la modernité fluide prône la dialogue auprès de différences que la notion singulier – pluriels de Nancy l’illustre par l’accent sur l’absence de jugement que ceci engendre la multiplication de différences que I- densité ou bien la phase rouge – rose de la mélancholie l’illustrent. Micheal Kenna met en scène « désœuvrement des habitus » par le photographe désordonné de sunflowers pour mettre le point sur l’illusion des yeux en ce qui concerne les similarités / la tautologie. Du fait, même les sunflowers projette des nuances à l’égard de la prise de position par rapport au soleil que Virginia Woolf le dévoile ainsi : « There is nothing staid nothing settled in this univers » autant que gloculturalisation permet de l’observer par la mise en scène de toutes les variétés culturelles possible dans l’arène mondiale.

Je pourrais ainsi conclure que gloculturalisation projette la réalité sociale au lieu de l’imagination sociologique autant que l’ordre culturelle à l’égard de bigarrure type de quotidienneté débouche la voie d’être société en empêchant la stigmatisation / discrimination que ceci cesse l’anarchie / la crise économique mondiale pourtant ceci suscite les rapports avec les différences sous le toit de création / production suis – generis en ignorant la dialectique entre la supériorité et infériorité attribues à l’appartenance géographique / identitaire / familiale mais en convenant à la culture , au contexte , au contenu, au principe, à la manière de la production / création et à la conscience en /de soi autant que ceci engendre la confiance liée à la sensation intérieur de soi. De l’exprimer de manière diffèrent, gloculturalisation couronne la vie spécifique au lieu de faire la distinction tautologique sans toutefois réfléchir sur le contenu, le contexte, la manière de création / production et le principe lesquels reflète la culture d’appartenance par rapport à la bigarrures type de modernise :

  • Les boutiques – magasines héritier de famille revendique entente royale
  • Les pastiches / l’imitation / la simulacre des magazines revendique monopolisation
  • Les boutiques suis – generis spécialisé sur les domaines précisés en englobant tous les variétés possible revendique gloculturalisation.

Dans ce contexte, je pourrais mettre en exergue que gloculturalisation entraine à couronner de nouveau la tâche sociologique voire socio – anthropologique en éliminent les socio – espacalogues / les socio – familialogues pour saisir les mondes sociaux dans l’arène mondiale.

Glo – culturalisation (4/5)

Otto Pienne.

III. Glo – culturalisation…

    Le dilemme commun dans la manière de la mondialisation coincée par les notions globalisation et glo – localisation lèvent le voile que tautologie voire prête à porter reconnaissance social faite par le simulacre / la pastiche / l’imitation se constituent le piège / l’écueil crucial en ce qui concerne d’être universelle que monopolisation le dévoile. De l’exprimer de manière différente, ce fait social engendre à réveiller tout – le – monde par « sleeping beauty » puisque la populaire culture – masse ne pourrait jamais s’apparenter à globalisation ni glo – localisation au fur et à mesure que communauté – groupe sociaux homogène s’enroulent dans le monde entier puisque ceci ne se réfère qu’à la monopolisation. Si cela le cas, alors je m’enquiers si glo – culturel et / ou glo – culturalisation pourrait permet de définir / comprendre la manière de la mondialisation ? Dès lors, globalisation / glo – localisation a déjà échoué dans le piège de tautologie et donc monopolisation lequel ignore / discrimine l’existence de différences que la crise économique mondial le dévoile dans le sens macro. Je voudrais donc mettre en exergue que si on parle de gloculturalisation, est – ce que ceci s’apparente à l’homogénéisation culturel ou bien ceci met le point sur la variété culturel co – existe dans la même espace de / du remps convenant à être société dans le sens macro et micro ? Qu’est – ce que c’est gloculturalisation ?

    Pour traiter ce sujet, il me faut élucider ce que j’entends par l’acception de culture en suivant les pas de Terry Eagleton, Maurice Gaudelier, Sassure et Virginia Woolf. D’ores et déjà, il apparait évident que la culture ne se réfère guère à la coutume ni à l’habitus mais la culture s’apparente à la nature lequel symbolise la variété infinie voire spécifique que la plume de Virginia Woolf l’explique ainsi : « We are for ever mixing ourselves with unkonwn quantities ». Je pourrais ainsi mettre en exergue qu’en suivant le cheminement intellectuel de Saussure voire Maurice Godelier, la culture laisse apparaitre l’interprétation de nature lequel découle par la manière de discours voire de celle de sociabilité telle que ceci laisse apparaitre la variété au lieu d’homogénéité. De même, Anselm Strauss met en relief le rôle culturel en ce qui concerne « grounded theory » par l’accentuer l’ordre culturel lequel permet de ramifier pas catégoriser – discriminer – distinguer les gens telle que ceci permet d’empêcher aliénation de société dans le sens de Durkheim voire ceci suscite à découvert de soi que les gens pourraient se retrouver la spécificité c’est la raison pour laquelle culture ne s’apparente jamais l’homogénéisation – la même stéréotype pourtant les recherches sur la culture engendre à comprendre la société à l’égard de l’interprétation de la nature. Ceci donc entraine à la multiplication des différences au lieu de l’homogénéisation de la société. En outre, la culture permet de diagnostiquer la manier de sociabilité découle par les discours voire les procédés et ceci entraine à la cultivation / conscience en / de soi au lieu de l’aliénation en / de soi que la culture populaire l’illustre par l’homogénéisation de société / de monde. De l’exprimer de manière différente, la culture supprime les regards dialectique / dichotomique mais prône la dialogue par l’absence de jugement puisque la nature pourrait s’interpréter d’infiniment que le tâche crucial des sociologues s’appuie sur les découverts / les diagnostiques / la compréhension de l’existence de bigarrure type de l’interprétation commun variée à l’égard de l’ordre culturel pour ramifier la société pas pour stigmatiser – discriminer par rapport à la dialectique entre supérieur et inferieur. Ce postulat m’amène à la recherche de doctorat selon laquelle j’ai fait la ramification de sociétés à l’égard de l’ordre culturel convenant à cult – pouvoir que j’ai forgé la notion intitulée « mondes sociaux » pour élucider à la fois le temps ne coule pas linéaire ni stagné mais le temps coule circulaire comme le temps de Heraclitus et la quotidienneté se varie à l’égard de culture lequel s’apparente à la nature que la notion intitule complexe le dévoile : l’amalgame de différente qualité / quantité découlé par la nature en tant que l’emblème cardinal de spécifique autant que ceci engendre la value – complexe lequel suscite la multiplication de différences voire le rôle éclaté à l’égard de l’ordre culturel. Partant de ce postulat, il apparait évident que les êtres ne sont plus se distingue l’un à l’autre comme la vie nue – la vie politique puisque cult – pouvoir inhérent à la modernité fluide où la société se ramifie à l’égard de l’ordre culturel, prône la spécificité et donc value complexe que ceci permet de recycler la qualité – la conscience – la cultivation en / de soi projetée à la manière de discours / sociabilité / créativité suis – generis autant qu’il s’agit la négociation ente le côté cours et le côté jardin au lieu de la séparation entre coulisse et la scène que l’interaction pacifique discours inhérent à la culture de la modernité fluide l’illustre ainsi : le sens varié, l’absence de jugement, la multiplication de différences et la création suis – generis.

    Dans ce contexte, je pourrais élucider que la culture de la modernité fluide permet de diagnostiquer ce qui / que est invisible / ignoré par la culture de la modernité solide / liquide par le truchement de la culture découlée par les discours / sociabilité / créativité suis – generis des gens que ceci me permet de ramifier la société turque en trois différent types de sociétés convenant à l’appartenance culturelle inhérent à la bigarrure type de quotidienneté : société traditionnelle s’apparente à la culture de la modernité solide où la manière de sociabilité s’effectue à l’égard de la « sollicitude personnelle », société fiction s’incarne par la culture de la modernité liquide où la manière de sociabilité s’effectue à l’égard de « l’estime social » et société complexe inhérent à la culture de la modernité fluide laisse apparaitre la manière de la sociabilité par l’estime universelle. Je pourrais ainsi élucider que la ramification culturelle de sociétés permet d’observer ce que – qui est raté / invisible  par la société en ignorant la quantité mais en accentuant la spécificité / la variété que ceci engendre à déboucher la voie d’être société où les différences co – existent sous le toit de la volonté générale que Weber l’explique. En outre, à la différence d’effectuer des recherches convenant à biopouvoir / biopolitique, les recherches se recentrant sur la culture permet de diagnostiquer toutes les différences dans la société que ceci assure l’harmonie sociale au lieu de l’anarchie se nourrit par les regards dichotomique / dialectique.

    Pourtant quel est l’impact des recherches culturelles sur le monde ? De l’exprimer de manière diffèrent, est – ce que la recherche de doctorat ne reflète que le cas local ou universel par la notion de « mondes sociaux » se ramifiées à l’égard de l’ordre culturel découlé par les bigarrures type de quotidienneté ?

    La recherche intitulée « l’usage social de la consommation de médicaments : l’analyse comparative entre la France et la Turquie » a déjà dévoilé l’affinité entre la manière de la sociabilité et glo – culturel auprès de l’usage social de la consommation de médicament. D’après cette recherche, bien que ces deux pays sont divergeant, j’ai observé la même manière de la sociabilité à l’égard de l’usage de médicament pourtant il me faut bien accentuer que ceci n’englobe pas entier de France ni entière de Turquie, ceci ne reflète que l’existence de société fiction selon lequel les médicaments laisse apparaitre la value – complexe de l’usage de médicaments voire l’enjeu mondiale en ce qui concerne la manière de sociabilité lequel joue le rôle cruciale concernant l’autonomie des gens. Cette recherche ainsi permet de définir glo – culturel lequel ne projette pas l’homogénéisation ni ressemblance ni équivalence des pays / des sociétés mais ceci laisse apparaitre l’affinité entre la manière de la sociabilité et la culture dans le monde entière que ceci permet d’observer la variété de l’interprétation de la nature s’arrangé à l’égard de la culture que « mondes sociaux » le dévoile dans le sens micro et glo – culturalisation l’illustre dans le sens macro. En outre, glo – culturalisation s’apparente à la co – existence de la variété des cultures s’identifié par rapport à la bigarrure type de quotidienneté découlé par la sociabilité, les discours et la création / production suis – generis des gens que soit la culture de la modernité liquide – soit celle de solide – soit celle de fluide -, gloculturalisation met en scène toutes les différentes manières de sociabilité à l’égard de l’ordre culturelle que le film intitulé « Parasite » l’illustre. Boog Joon Ho, le réalisateur du film, met en scène l’art de la cultivation inhérent à la modernité solide et liquide de manière glo-culturel, bien que ce film issu de South Korea. De l’exprimer de manière diffèrent, glo – culturalisation laisse apparaitre que l’art de la cultivation variée à l’égard de différent type de quotidienneté sont en commun dans le monde entière telle que ce film permet d’observer que la culture de la modernité solide voire liquide s’imposent dans le monde entière que les métaphores de « pierre » et « d’art de transfert » dévoile l’énigme de quotidienneté s’appuie sur solide représentée par « pierre » et « liquide » représentée par la consommation / remplacement. En outre, sociabilité tributaire et sociabilité inavouable sont en vigueur de Turquie à South Korea que ceci laisse apparaitre la notion intitulée gloculturalisation telle que gloculturalisation permet de témoigner les procédés communs à l’égard de l’appartenance culturelle dans les différents mondes sociaux que sociabilité tributaire et sociabilité inavouable l’exposent du film intitulé « Parasite ».

    Dans ce contexte, je pourrais définir glo – culturalisation par l’affinité entre sociabilité et culture lequel permet de disséquer la variété des cultures commun partagée la même espace de temps de manière divergeant que sociabilité inavouable et sociabilité singulier – pluriel laisse apparaitre glo – culturalisation s’englobe les bigarrure types de cultures ramifiée à l’égard de quotidienneté et sociabilité. En outre, glo – culturalisation permet de mettre en scène tous les différences culturelles possible partage la même espace de temps de manière divergeant que l’omnivalent de quotidienneté l’illustre par le temps de Heraclitus puisque le temps n’est pas linéaire pour que l’homogénéisation soit en vigueur. Le temps est circulaire et donc il est impossible de parler mondialisation mais glo – culturalisation que ceci s’étends au monde entier variée à l’égard de l’ordre culturel. La preuve réside dans l’observation participante préliminaire ainsi :

    • En 2005 à Paris : J’étais à Paris pour participer le « cours de la civilisation et de la langue française » et j’avais observé dans l’arrêt de châtelet convenant au fait de sentir dans l’aéroport où toutes les différences issues de bigarrures type de quotidienneté s’accumulent / co – existent revendiquant le côté cours et le côté jardin.
    • En 2007 à Kawloon : J’étais à Kawloon pour le travail de mon père que mon père avait observé la co – existence de différences se retrouvé dans la même boulevard / rue en tant que la réflexion cruciale de l’omnivalent de quotidienneté… Chaque représentant de bigarrure culture de quotidienneté partage de la manière de sociabilité commun varie à l’égard de culture.
    • En 2011 – 2012 à Bordeaux : J’étais à Bordeaux pour faire des études en doctorat que j’avais observé dans la rue de Saint – Catherine le cas d’ordre culturel ramifié à l’égard de la manière de la production / création : du simulacre à l’haute – couture / suis – generis que ceci permet de diagnostiquer le cas glo – culturel même dans cette rue puisqu’il s’agit de la juxtaposition des variétés issus de bigarrure type de quotidienneté.
    • En 2019 Laver Cup : Ceci permet de constater la réalité de la recherche de doctorat voire la notion intitulée glo – culturalisation par l’exhibition de la manière de la ramification à l’égard de l’ordre culturelle voire la manière de la sociabilité singulier – pluriels. Donc gloculturalisation du monde laisse apparaitre partout ailleurs autant qu’il est impossible de généraliser par un seul type de culture puisque ceci projette la variété commune dans le monde entier.

    A l’instar des études de terrain voire les observations participants préliminaire, je pourrais mettre en exergue que gloculturalisation englobe tous les variété culturels possible et ses manière de sociabilités possibles du sens micro au sens macro à l’égard de bigarrure type de quotidienneté que ceci laisse apparaitre la value – complexe dans l’économie puisque l’absence de jugement permet de la multiplication de différences voire variété de sens que l’usage social de la consommation de médicament l’illustre : les médicaments consomment aussi pour conformer les normes sociaux que parallèlement à la recherche faite en 2012 dans le collègue intitulée « les chercheurs en campagne », le film de frères Dardannes intitulée « Deux Jour une Nuit » laisse apparaitre la value – complexe des médicaments lequel s’apparente à cette recherche et donc gloculturel. En outre, le film de frères Dardanes laisse apparaitre à la fois le changement social concernant la deuxième – la troisième génération de la classe ouvrier en France par l’individualisation inconsciemment et le rôle de médicament lequel s’intercale le hiatus entre la dépression et l’intégration à la vie sociale que ceci me permet de diagnostiquer le rôle crucial de principe au lieu de habitus pour saisir / comprendre le fait gloculturel. La preuve réside dans le point commun entre la recherche à propos de médicament et le film de Dardannes selon lesquelles les gens appartenant à la culture de la modernité liquide ont le but de consommer les médicaments pour conformer aux normes sociale que ce principe inhérent / encadré par / en l’usage de médicament s’effectue ainsi dans l’arène glo – culturel :

    • En Turquie (représentant de pays en train de développer / sous développer) dévoile les gens inhérents à la culture de la modernité liquide par l’usage de médicament pour conformer les normes sociales.
    • En France (représentant de pays développé) dévoile les gens inhérents à la culture de la modernité liquide par l’usage de médicament pour conformer / intégrer aux normes sociales que le cas de l’usage de médicament « médiateur » lequel est le médicament utilise pour diabète pourtant les gens inhérents à la culture de la modernité liquide l’utilise pour maigrir. Parallèlement à cela le film de frère Dardanne laisse apparaitre la manière de la sociabilité des ouvriers se rapprochent à ceux de système banquier en Turquie que l’usage social de médicament le dévoile pour intégrer à la vie sociale.

    Partant de ce postulat, il apparait évident que gloculturalisation laisse apparaitre à la fois la variété culturelle découlé par les bigarrures type de quotidienneté voire la manière de la sociabilité commune mais de manière [a]symétrique en ce qui concerne l’usage social de médicament : lorsqu’en Turquie société fiction se réfère dans lato sensu aux groupes sociaux bureaucrates / banquiers, en France son vecteur s’apparente dans lato sensu aux groupes sociaux ouvrière. Ceci laisse apparaitre de manière idyllique [a]symétrique pas de rapprochement ni équivalence entre les deux pays divergeant néanmoins ceci laisse apparaitre gloculturalisation lequel met en scène principes découlé par les discours ou bien par la manière de la sociabilité ou bien par la manière de la créativité / production c’est la raison pour laquelle gloculturalisation évite à tomber dans les pièges de tautologie ou bien prêt à porter reconnaissance sociale diagnostiqué par rapport à habitus et / ou coutume. Au contraire, gloculturalisation met l’accent sur le rôle crucial de principe et celui de contexte – contenu – creation / production en tant que l’emblème cardinal de sensation intérieur de soi afin de ramifier les mondes sociaux telle que société fiction en Turquie se réfère à la même groupes sociaux en South Korea que Boog Joon Ho le dévoile par sa film « Parasite » alors que société fiction en Turquie s’apparente à la classe ouvrière en France et donc [a]symétrique mais se réunissent sous le toit de la culture lequel permet de diagnostiquer « l’interprétation de nature » à l’égard de bigarrures type de quotidienneté.

    Je pourrais ainsi  mettre en exergue que les recherches faites à l’égard de l’habitus – de coutume constituent les pièges de tomber dans tautologie en quotidienneté puisque le monde entière est ouvert par la destruction des mûrs / frontières – par l’intervention d’internet – par l’intervention de technologique que tous ces découverts engendre l’interaction sociale parmi les différences que ceci permet d’influencer et / ou diffuser les cultures variées à l’égard de la bigarrures type de quotidienneté. De même, même dans les pays sans technologie on pourrait constater le partage de variété culturel commun puisqu’il y a la circulation / le voyage destine à ces pays et aussi ces pays constituent les lieux de production que la majorité des fabriques possède les atelier / fabriques/ usines … là-bas. Donc l’interaction social avec les différences ne sont pas seulement due à l’internet / à la technologie mais aux lieux de fabrication des fabriques international aussi continuerait à diffuser l’interaction culturelle dans l’arène global / mondiale que gloculturalisation le dévoile. Dès lors, l’infrastructure de la gloculturalisation s’appuie sur principe et culture pour diagnostiquer la variété culturelle découlée par les bigarrures type de quotidienneté que ceci bouche la voie de faire tautologie voire « je ressemble à… » / « comme… » / « prêt à porter reconnaissance sociale » / « identité – géographie » convenant à l’habitus / au stéréotype / à la coutume / à la hiérarchie géographique que l’échec de mondialisation le dévoile par la conséquence catastrophique dans la vitrine de société représenté par l’économie lequel est en crise mondiale. Je pourrais donc recapituler que gloculturalisation ne vise pas de rendre le monde entière par l’homogénéisation d’une seul culture – l’homogène d’une seul culture au contraire gloculturalisation permet d’observer tous les variété culturel possible dans le monde entier soit négocier soit prendre rôle éclaté doit allier avec l’un à l’autre dans l’arène mondiale en tant que les réflexions de diffèrent phase de la mélancolie c’est la raison pour laquelle gloculturalisation ignore aux tautologie faite par rapport aux habitus aux coutumes à l’identité, à la famille … etc. puisque les humaines ne sont jamais l’objet a ne pas changer ceci dit les humaines sont les sujets vivant et change (que soit mutation, que soit développement / progrès , que soit biologique…) constamment pourtant principes sont robuste ne changent pas permet de diagnostiquer l’appartenance culturel des gens sans toutefois tomber dans le piège de fragmentary / fractional reader, code sociale, tautologie,… etc.

    Par conséquent, je pourrais déduire que la modernité fluide laisse apparaitre par mondes sociaux l’enjeu crucial de culture voire principe pour disséquer la variété possible dans la société / le monde entière que la confiance laisse apparaitre « manners of vibrations » découle par la sensation intérieure de soi à l’égard de bigarrures type de quotidienneté dans l’arène mondiale que gloculturalisation l’illustre ainsi :

    Glo – culturalisation

     Modernité SolideModernité LiquideModernité Fluide
    ConfianceFamiliale (je ressemble à …) CoutumeIdentitaire (je ressemble à … / je suis supérieur de …) HabitusCultivation / création suis – generis, culturel (j’existe avec…) Principe
    SociabilitéSociabilité tributaire Sollicitude personnelleSociabilité inavouable Estime socialSociabilité singulier – pluriels Estime universel

    Je pourrais donc conclure que gloculturalisation dévoile la richesse culturelle dans le monde entier au lieu de la culture homogène que monopolisation / mondialisation laisse apparaitre par la domination / l’homogène de la culture de la modernité liquide en ignorant la culture de la modernité solide et en empêchant l’existence de la culture de la modernité fluide par les tautologies faite identitaire / géographique / familiale. En outre, gloculturalisation englobe toutes les variétés culturelles possibles issues de l’omnivalent de quotidienneté dans l’arène mondiale. C’est la raison pour laquelle ceci nécessite la vraie tâche sociologique voire socio – anthropologique de ramifier la variété culturelle possible dans le monde entier pour éviter de tomber les pièges des socio – espacalogues / socio – familialogues faites par tautologie en lacunant le contexte, le contenu, la création et le principe. Alors que, les piliers cruciaux de diagnostiquer la culture s’appuie sur le principe, le contexte, le contenu et la création pour identifier les mondes sociaux dans gloculturel. Cela dit alors imagination sociologique faite par socio – espacalogues / socio – familialogues est « mort » comme « la simulacre mort » puisque la réalité sociale surgit sur la surface que gloculturalisation le laisse apparaitre : on ne pourrait jamais stigmatiser les gens par rapport à leur identité / à leur famille mais ramifier à l’égard de l’ordre culturel issus de bigarrure type de quotidienneté puisque le temps coule circulaire comme le temps de Heraclitus que Group Zéro le dévoile.

    Glo – culturalisation (3/5)

    Andy Warhol.

    II. Le Dilemme Commun Dans la Manière de Mondialisation : Globalisation et / ou Glo- localisation ?

    L’histoire de la manière de la mondialisation permet de témoigner les rapports avec les différences faite sans aucune dénaturalisation des sujets que la négociation voire les alliances robustes le dévoile. En outre, les rapports avec les différences ne se reflète que la société dans le sens de Weber c’est la raison pour laquelle il apparait la question cruciale concernant la manière de mondialisation : s’agit – il imitation burlesque que l’homogénéisation assure globalisation et / ou glo – localisation ? Je m’enquiers donc si globalisation et / ou glo – localisation pourrait s’apparenter à l’hétérogénéité du monde ou bien à l’homogénéisation du monde ? Dès lors, « globe » se réfère à « l’univers » où il existe des différences autant qu’il serait utopique d’affirmer l’homogénéisation en ce qui concerne les rapports avec les différences englobé la même façon pour tout le monde… Ceci est d’emblée irréel puisque la nature du monde s’établit à l’égard de différences. De surcroit, local s’incarne par le lieu déterminée / particulier pourtant ceci ne s’agit pas l’homogène par contre il s’agit l’étroitement de lieu dans l’espace. La preuve réside dans le film intitulé « Captain Corelli’s Mandolin » : le film passé dans le lieu local pour mettre en scène les effets de seconde guerre mondiale voire l’interaction sociale avec les différences en dépit du local, on témoigne la co – existence de différence que la culture de médecin se diffère à celle des habitants de ce lieu… Parallèlement à cela, la culture de Captain Corelli se diffère à celle de la famille de médecin… Je pourrais donc mettre en exergue que n’importe local ou global, l’homogénéisation de la totalité est irréelle que la culture populaire le dévoile par son invasion ne limite qu’aux masse.

    Rappelons aux débuts des années 1980 que la majorité du peuple tentaient à imiter Madonna par la manière d’habilement – de procédés en tant que la démonstration de la culture populaire que l’Ecole de Francfort a déjà diagnostiquer par masse culture lequel s’adosse à stéréotype – genre – imitation / pastiche / simulacre… Dans ce cas, est-ce qu’on peut parler la globalisation ou bien la glo -localisation lorsque la majorité des gens tentaient à imiter Madonna ?

    D’ores et déjà, il apparait évident que ceci n’a aucune l’affinité avec globalisation ni glo – localisation puisque l’imitation burlesque de Madonna est encadrée sous le toit de la populaire culture et donc ceci s’intéresse seulement aux groupes sociaux lesquelles suivent de près Madonna pas celui de monde – entière. Pourtant, par l’intervention de satellite voire d’internet à la quotidienneté, on a constaté simulacre de Madonna partout ailleurs de l’Amérique à Turquie que ce fait sociale constitue le piège et notamment l’illusion de la manière de la mondialisation s’identifié en tant que globalisation voire glo – localisation puisque « simulacre de Madonna » n’était pas en vigueur pour l’entière de pays ni l’entière de ville… Ceci joue le rôle crucial en ce qui concerne la séparation de bon grain d’ivraie : sépare ce qui est monopole à ce qui est global. De l’exprimer de manière diffèrent, ceci met en scène, prêt à porter reconnaissance sociale lequel s’appuie sur interaction identitaire / symbolique selon la culture de la modernité liquide. Alors que l’interaction symbolique s’apparente à la fusion créativité de symbole que les instruments cruciaux lié à l’acte de production se réfère à la symbole lequel facilite à communiquer avec les différences en construisant le mécanisme confidente dans l’urbaine bien que la culture de la modernité solide voire liquide interprètent l’acception de symbole par rapport au image – allure en ignorant le contenu – le contexte – la créativité telle que Veblen le diagnostic par la notion intitulée « class de loisir » lequel assume la symbole mais refuse à maintenir à la processus de créativité puisque l’acte de production / créativité perçoivent en tant que la tâche inhérent aux vies nues, c’est la raison pour laquelle la dialectique entre la symbole et la créativité renforce à la fois la hiérarchie sociale et la communication homogène. Je pourrais donc mettre en exergue que la culture populaire engendre tautologie voire masse en tant que la manière de l’interaction pour assurer la confiance mais notamment pour convaincre aux symboles sans toutefois les intérioriser que les simulacres de Madonna dès les années 1980 le dévoile dans le monde entier en tant que le cas monopole pas celui de global ni glo – local.

    De même, le livre intitulé « Auprès de Moi Toujours » de Kazou Ishiguro met le point sur le sujet de l’imitation burlesque voire tautologie par le caractère du livre nommé Ruth qui imite inconsciemment ce que le film / série de TV illustre afin de maintenir à la société c’est-à-dire pour être membre de masse. Parallèlement à cela, le caractère du livre intitulé « Waves » de Virginia Woolf, Louis, tente d’imiter Bernard pour être accepte par la société. Dans ce contexte, il apparait évident les effets nocifs et notamment dangereuse de la volonté de l’homogénéisation du monde est les tautologies que masse – la culture populaire le dévoilent : aliénation de société dans le sens de Durkheim et en même temps aliénation de / en soi dans le sens de Marx. Je pourrais ainsi mettre en exergue que les quantités – les nombres représentés par la masse – la culture populaire, ne pourraient jamais l’emblème de globalisation ni glo – localisation mais ceci laisse apparaitre la monopolisation lequel ignore ce qui / qu’est hors – biopouvoir / hors – biopolitique voire bouche la voie des rapports avec les différences que Xénophobie – Discrimination – Violence Symbolique… etc. l’illustrent les conséquences nocives de la monopolisation.

    Cependant, il me faut mettre en exergue que monopolisation soi – même aussi est trompeuse puisqu’il est difficile à dupliquer la nature que la variété infinie de la nature l’illustre telle que « Le Petit Prince » l’élucide par le cas de « roses » c’est-à-dire quand le petit prince a témoigné l’existence de tas de roses semblable à sien, il se demande ainsi : « pourquoi ma rose est spécifique par rapports à ces roses – là ? quelle est la différence entre eux ? » La réponse c’était simple : la manière de cultivation que le petit prince a dédié / a passé le temps pour sa rose. Ce passage permet de mettre en scène que l’homogénéisation du peuple même l’homogénéisation de nature est impossible puisque ceci tout lie à l’interaction social et donc la manière de sociabilité. C’est la raison pour laquelle quantité ne s’apparente jamais à la définition de la réalité sociale que l’illusion de globalisme voire glo – localisation le met en scène par monopolisation autant que Virginia Woolf l’élucide ainsi : Lorsque Bernard ignore la quantité par se demandant les questions existentialistes lui – même, Louis ignore qualité par essayant d’être comme Bernard symboliquement.

    Ceci pourrait se ressembler à la différence entre « héro » et « légende » : lorsque héro s’incarne par Hitlérisme pour être gouverner de société que ceci suscite l’admiration en ignorant la quantité, légende s’apparente par la qualité en ignorant être gouverneur de société que Coldplay le met en relief ainsi « I don’t want to be hero but I want something to misss » puisque le héroïsme joue le rôle piège que l’admiration aveugle laisse apparaitre la volonté de l’imitation lequel cause l’aliénation en / de soi que ceci entraine la chaos / l’anarchie dans le monde – entier. Je pourrais ainsi mettre en exergue que globalisation voire glo – localisation n’existait jamais, ceci n’est que le camouflage de monopolisation lequel ignore les différences mais engendre la dichotomie / la dialectique que multitude de Negri & Hardt l’élucide. Dans ce cas, il apparait évident que monopolisation bouche la voie d’être société où les échanges entre les différences s’effectue sous le toit de la démocratie et de légalité en / par droit pourtant si monopolisation continue à favoriser les tautologies faite par les identités favorises afin de réaliser « l’art de transfert » convenant à l’estime sociale inhérent à la culture de la modernité liquide, il est difficile à établir la communication avec les différences que la crise économique mondiale laisse apparaitre les conséquences nocifs de monopolisation.

    Je pourrais ainsi recapituler que le dilemme commun dans la manière de la mondialisation en ce qui concerne globalisation et glo – localisation s’appuie sur le manque de démocratie, de droit et de société pour que les rapports avec les différences s’effectuent. Dès lors, la culture de la modernité liquide favorise l’héroïsme rappelant la période de Hitler que le film intitulé «Captain Corelli’s Mandolin » fait fi l’héroïsme par « Hi Wagner » lorsque le soldat italien salue Correlli par « Hi Hitler ». De l’exprimer de manière différent, l’homogénéisation du monde ne laisse apparaitre que « Mille Plateau et Schizophrénie » de Deleuze et Guattari telle que la crise économique mondiale le dévoile par le manque de confiance lequel bouche la voie de l’interaction sociale puisque « I – dentité » lequel s’identifie par « Je ressemble à … » lève le voile en tant que « traiteur » …

    Par conséquent, je pourrais déduire que tautologie est le piège cardinal de confiance selon laquelle les interactions sociales s’effectuent puisque « je ressemble à … » ne projette que l’aliénation et donc trouble mental. Je pourrais ainsi conclure que globalisation / glo – localisation existait / existe / existerait jamais… ce n’était que la monopolisation…

    Glo – culturalisation (2/5)

    Corinne Mercadier.

    I. L’histoire de la manière de mondialisation : Des époques royal aux époques technologique

    L’histoire de l’humanité a déjà témoigné la volonté de communiquer, qui projette le désir d’établir les rapports / l’interaction sociale avec toutes les existences dans le monde. C’est la raison pour laquelle j’opte pour le mot « mondialisation » pour décriver cette volonté utopique, laquelle finit par la globalisation, ou par la glo – localisation, ou par la glo – culturalisation.

    D’ores et déjà, il apparait évident que les rapports sociaux avec toutes les différences s’appuient sur la confiance voire la paix qu’en histoire, on l’a témoigné par Charlemagne le Great lequel le dévoile par la négociation auprès des divergents sous le toit des cérémonies religieuse pour construire les liens robustes que ceci laisse apparaitre l’enjeu cruciale de culture. Parallèlement à cela, les mariages royal faite par l’union des différents royalité permet d’assurer à la fois la confiance et la paix que les différences co – habitent sous la même toit telle que le mariage Marie Antoinette avec Louis XVI laisse apparaitre l’enjeu crucial de la culture et aussi du principe pour construire les liens robustes entre les différences au lieu des habitus et du simulacre / de la pastiche / de la ressemblance artificielle que cette alliance amenait les innovations, les changement sociaux de la musique à la mode, et la réhabilitation de nature mais en même temps l’aliénation que tautologie s’insinuait ainsi dans la société. De l’exprimer de manière diffèrent, les échos de l’aliénation ainsi que la tautologie si s’étendait que le bouleversement et / ou la régression s’imposait dans le monde entier que les conséquences des révolutions (française et industrielle) permettent de constater la variété due à la culture. La preuve réside dans les plumes de fondateurs de la sociologie lequel laissent apparaitre la variété au lieu de l’homogénéisation de monde entière. En outre, les fondateurs de la sociologie mettent en exergue l’impossibilité de généralisation des cas et donc tautologie est le point achille des sociétés que la chute de Louis XVI et Marie Antoinette l’élucide par leur vie : ce qui était sacrée devient nu. De même, leur refus d’échapper de pays laisse apparaitre l’enjeu crucial de principes s’adossés à la fidélité et à la confiance auprès d’eux. Bien qu’ils aient été issus de différents royalité, leurs relations s’établissaient sur la négociation et la création au lieu de l’obéissance l’un à l’autre. Lorsque Marie Antoinette suscitait à l’enrichissement culturelle dans le domaine de la musique, de la mode et de la réhabilitation de nature, Louis XVI assurait la paix entre les deux pays. Je pourrais ainsi mettre en exergue que l’histoire permet d’assister les indices des alliances et / ou unions culturelles que ce soit religion soit musique soit mode soit nature et soit entente avant les époques de la révolution.

    Parallèlement à cela, les Vikings lequel ne s’occupait pas l’agriculture mais le commerce que ceci entrainait le voyage de l’Est à l’Ouest du monde en tant que l’emblème cardinal de l’existence de l’interaction sociale entre les différences sous le toit de la manière de production et de création que ceci permet d’observer les traces glo – culturel dès les époques pré – révolutionnaire bien que son invasion n’englobât pas le monde entier dans la même vitesse.

    De plus, on a témoigné l’existence de « Kervansaray » et les « Han (auberge) » dans l’Empire Ottoman. C’étaient les lieux des arrêts des commerçant pour circuler le monde entier par ses moyens convenant à cette époque royale. Les Bazars ainsi s’incarnait en tant que la vitrine de la réalité des interactions sociale parmi les communautés / les groupes sociaux et / ou les pays divergents que ceci illustre le rôle crucial de production / création en ce qui concerne les rapports avec les différences.

    Dans ce contexte, je pourrais recapituler que dès les époques pré – révolutionnaire glo – culturel existait déjà mais on l’a nommée par le commerce ou bien l’entente royal telle que l’énigme de l’infrastructure de l’interaction social s’appuie sur culture, sur manière de production / création et sur conscience en / de soi. De surcroit, le cas d’être universelle n’était en vigueur que par la famille royale et par les commerçants à part ça les peuples étaient enfermés / distinguée par rapport à l’appartenance familiale que diversité dans le sens de Negri et Hardt l’illustre. Partant de ce postulat je pourrais le dévoiler ainsi :

    La Manière de la Mondialisation

    La modernité solide (époques royales / époques pré – révolutionnaires)Royal et donc famille royale voire les commerçants s’appuie sur le principe de fidélité, de principe, de confiance et de production / création que les Bazar le dévoilent.

    Je pourrais ainsi recapituler que les époques pré – révolutionnaires permettent de témoigner les rapports avec les différences lié à la culture, à la manière de production / création et à la conscience de/en soi convenant aux indices cruciaux de glo – culturel telle que ces rapports sociaux et donc les alliances entre les différents, durent jusqu’à la quotidienneté. Dans ce contexte, il apparait évident que le rôle culturel laisse apparaitre la pierre angulaire de confiance que son existence laisse apparaitre le soleil sur les royalités robustes… Par conséquent, glo – culturelle permet de constater les alliances robustes et les royalité fluide durerait jusqu’à l’infinité au fur et à mesure que le principe convenant glo – culturel est en vigueur.

    D’ailleurs, les découverts géographiques et les recherches / découvertes scientifique engendrent l’augmentation de vitesse à diluer aux innovations et même à circuler que le début des époques industrielles, ceci dit la culture de la modernité liquide, permet de dévoiler interaction social parmi les différences pays, pas seulement stricte par la famille royale mais aussi par les représentants des pays que c’est là où la culture de masse et donc l’autre versant de tautologie, s’insinuent dans l’arène mondiale. De l’exprimer de manière différente, je m’enquiers si les époques industrielles réussissent à amener la torche des indice glo – culturel à la culture de la modernité liquide ou bien se sont trompées aux pièges de tautologie et donc masse que ceci engendre le rôle crucial de l’identité au lieu de culture en ce qui concerne l’interaction social avec les différences ?

    Quant aux époques industrielles et donc la modernité liquide, il apparait évident que la manière de la mondialisation s’appuie sur l’identité – « je ressemble à … » que la deuxième guerre mondiale l’illustre par le rôle crucial des découverts technologiques pour diluer / hypnotiser les masses en grande vitesse. De l’exprimer de manière différente, la transition de la modernité solide à la modernité liquide engendre « la fin de l’idéologie » : de « je pense que… » à « nous pensons que… ». Ceci recapitule l’énigme crucial en ce qui concerne « la fin de l’idéologie… ». Pourtant, il me faut mettre en exergue que « la fin de l’idéologie » ne se réfère guère la vaporisation de l’idéologie mais ceci s’identifie par la transformation : de la singularité à la masse, c’est-à-dire « je » se transforme en « nous » telle que le bilan de « la fin de l’idéologie » élucide par le livre intitulé « Kafka is on the Beach » lequel met en relief la déculturalisation ainsi que la popularité. Il apparait donc évident que la fin de l’idéologie fait naitre la popularité et donc la culture de l’industrie que « Ecole de Francfort » l’illustre par le stéréotype, la répétition, l’imitation et la dialectique entre la consommation et la production.

    Partant de ce postulat, je pourrais mettre en exergue que le rôle éclaté entre la culture et l’identité s’impose en ce qui concerne la modernité liquide autant que ceci engendre l’éloignement de glo – culturel vers le glo – local où la diversité est en vigueur. En outre, les rapports sociaux avec les différences subis à la hiérarchie identitaire et donc la confiance se transforme en « je suis supérieur de … » voire « je ressemble à … » que doubletique ainsi que biopolitique ad – hoc / ciblé le dévoilent. Je pourrais ainsi mettre en relief que l’idéologie s’identifie par le dialogue, le respect et les recherches scientifique à propos de tel ou tel sujet / objet se transforme en « fanatisme des idées » dans la modernité liquide autant que la conséquence de première guerre mondiale amenait le communisme et la conséquence de deuxième guerre mondiale amenait le fascisme en tant que « fanatisme de l’idéologie » alors que ceci ne se référait que l’aliénation en soi donc le trouble mental que Durkheim a déjà le diagnostiqué par la notion de « aliénation » de société. Parallèlement à Durkheim, Marx met en exergue « aliénation de/en soi » par le manque de participer à la totalité de création / production que ceci engendre acculturalisation et donc masse que David Riesman l’élucide par « other directed type ». Etant donné que la chute de roi Louis XVI et Marie Antoinette s’incarne la transformation de la vie sacrée à la vie nu, l’aliénation de société voire l’aliénation de / en soi suscite à la vie politique que communisme voire fascisme le dévoile dans la modernité liquide que je pourrais l’illustre par le schéma ainsi :

    La modernité Solide :  La vie sacré se transforme en nu. La vie nue se transforme en la vie politique.   La modernité Liquide : La vie nu devient la vie politique. La vie sacré devient la vie nue.

    Je pourrais ainsi mettre en relief que le rôle éclaté entre la culture et l’identité engendre le nouveau type de rapports avec les différences s’identifié par dialectique et donc par « je suis supérieur de … » voire « je ressemble à … » en tant que prêt à porter la reconnaissance sociale que ceci se constitue le mécanisme de confiance dans la modernité liquide. Néanmoins, ceci engendre la réification des sujets aux objets que Virginia Woolf le dévoile ainsi : D’une part les imitations burlesques, les jeux, les démagogies et history recovred et d’autre part la réalité, la création / la production, la compréhension et history invented se heurtent dans le même passage du roman « Waves ».

    A l’instar de ce postulat, je pourrais déduire que les effets de la déculturalisation suscitent à se distinguer la société aux pôles opposées convenant à la culture de la modernité liquide où la dialectique et la hiérarchie s’imprègnent la société que les discours de Hitler le mettent en scène : « je suis supérieur de… », « je ressemble à… ». Alors que ceci ne reflète que communal allégorie lequel s’apparente à la solidarité lucrative selon laquelle la manière de la solidarité s’effectue à l’égard de relation ad – hoc condamné à se liquider telle que l’irréalité de l’homogénéisation de monde / société que glo – local / global tenté de l’identifier est sur la surface de manière naturelle bien que Hitler eût tenté de le réaliser.

    Parallèlement à cela, la manière de commerce – échange avec les différences se bascule de la production / création à l’image supérieur / identité supérieur que Marx le diagnostic par plus-value lequel laisse apparaitre la pierre angulaire de l’eco – nomos inhérent à la culture de la modernité liquide : dénaturaliser ce qui / que est la nature, la reproduction identitaire / similaire, la supériorité hiérarchisé à l’égard de l’identité que ceci détermine la richesse et la pauvreté et les symboles en tant que l’emblème cardinal de la supériorité en ignorant la fonctionnalité / la qualité. Andy Warhol le critique par le motto ainsi : « l’art pour tout le monde » ceci permet de réduire les sujets aux objets ou bien ceci laisse apparaitre « l’art de transfert » que Hannah Arendt le diagnostic par « la banalité de violence » telle que les discours des élites le dévoile ainsi : « Je ne permets pas le changement de position social pour des identités défavorisé bien que les identités défavorisées créent / produisent les produits idyllique ».

    Ceci permet de témoigner l’impasse des rapports entre les différences voire l’irréalité de globalisme / glo – localisation mais ceci dévoile la monopolisation lequel s’apparente au privilège exclusif voire à maitre de l’offre sur le marché que le marché – marketing se transforme de qualité en la quantité / la représentation : « si les chinois produisent la même produit ça doit être pas chère si l’un de pays fétichisé produisent la même produit ça doit être chère » cette tautologie est ancré dans la mentalité des consommateurs que le film intitulé « Devil Wears Prada » le critiquent. De surcroit, le marketing des produits change son costume par l’accentualisation de l’identité de l’entreprise au lieu de sa qualité que dans le marché tous les produits présentés par les identités que ceci rend :

    Ce qui est objet en sujet : produit présenté par l’identité
    Ce qui est sujet en objet : masse – la déculturalisation

    Je pourrais donc recapituler que la culture de la modernité liquide laisse apparaitre monopolisation au lieu de globalisation / glo – localisation pour garder la distance / la distinction / l’écart existante voire pour évaluer la plus – values c’est la raison pour laquelle les rapports avec les différences finissent par les larmes que Pessoa l’explique, c’est-à-dire la culture de la modernité liquide laisse apparaitre la volonté utopique de homogénéisation de monde global voire glo – local l’élucident. Pourtant ceci ne reflète que la monopolisation lequel déclin à se liquider comme le cas utopique de Hitler que la destruction des murs aux années de 80s – 90s laisse apparaitre « le simulacre mort » c’est-à-dire la vie politique se transforme sa nature en tant que la vie nue que Milli Vanilli le dévoile : ‘le roi simulacre est nu’. De l’exprimer de manière différente, ceci laisse apparaitre à la fois l’art de transfert et l’aliénation en soi.

     Par conséquent, je pourrais déduire que la culture de la modernité liquide s’appuie sur la distinction dialectique voire simulacre ne pourrait guère projeter globalisation ni glo-localisation mais monopolisation par les attentes de l’homogénéisation de société / monde que la destruction de mûres laisse apparaitre « la société du risque » que Ulrich Beck a déjà fait allusion aux effets nocifs de tautologie que Hannah Arendt a déjà averti le monde entière dès la fin de deuxième guerre mondiale et que Edward Hopper a aussi déjà met le point sur ce fait social par la métaphore de « fin de théâtre » et donc « le simulacre mort » lorsque la nature re – nait. Je pourrais donc conclure que la manière de la mondialisation inhérente à la modernité liquide ainsi :

    La Manière de la Mondialisation

    La Modernité Liquide (les époques de l’industrie)Identitaire et donc monopole – homogénéisation voire marketing s’identifié par la distinction dialectique convenant à plus – value que marché le dévoile par les habitus, « simulacre / imitation / pastiche » et prêt à porter reconnaissance social acquis par « je ressemble à … ».

    A l’instar de ce postulat, je pourrais conclure que la modernité liquide engendre le rôle éclaté à ce qui/que est universelle / différence par la volonté de l’homogénéisation voire la distinction dialectique dans le monde entière que monopolisation le résume : « je suis supérieur de… » voire « je ressemble à… » se constituent la pierre angulaire de mécanisme de confiance et donc tautologie et la hiérarchie faite par rapport à l’identité sont envahi la culture de la modernité où les rapports avec les différences est impasse puisque « monopolisation » engendre la solidarité lucrative c’est-à-dire les unions ad – hoc que ceci condamne à liquider telle que la destruction des mûrs naturellement fait naitre le fait social inopiné : « le simulacre est mort » que ceci dit la vie politique retourne à sa nature « la vie nu » par la réalisation sociale sur la surface.

    Pourtant, que change par la destruction des mûrs ? Est – ce que ceci laisse apparaitre le nouveau paradigme dans le monde entier que Anselm Strauss le diagnostic par « Grounded Theory » selon laquelle la culture joue le rôle clé de voûte comme l’indice crucial d’être société dans le sens de Weber/Simmel ? De l’exprimer de manière différente, je m’enquiers qu’arriverait-il si la confiance se transforme de « je ressemble à … » en « j’existe avec… » où « avec » n’est pas subordination de l’Etre que ceci engendre les rapports avec les différences basés sur la culture et donc glo – culturel dans les époques technologiques que la modernité fluide le met en scène ?

    Pour traiter ce sujet, il me faut faire la référence aux discours d’un homme scientifique que je regardais par la chaine National Géographique où il y avait le documentaire à propos de changement social concernant aux années 80 : « ‘1980s … The years that made us’ élucide que « envoyer satellite à la lune n’est pas seulement l’acte technologique mais plutôt sociologique ». Je pourrais ainsi mettre en exergue que l’évènement d’envoyer satellite à la lune se constituent le point tournant dans le monde entière puisque ceci facilite à communiquer avec les différences autant que les années 90s l’illustre par sa caractère ‘The years which connect us’ et en même temps ceci laisse apparaitre cult -pouvoir dès lors que la guerre froid entre USA et Russie se termine par la culture : les différences se négociaient sous le toit de la production et la création que Jean Luc Nancy le diagnostic par la notion intitulée singulier – pluriels. Je pourrais donc mettre en exergue que la querelle entre les différences se terminaient par la négociation culturelle au lieu de guerre. La preuve réside dans l’alliance créatrice entre le créateur de « Tetris » et celui de « Game Boy » juste après la déconstruction des mûrs voire l’envoie le satellite à la lune entre les pays différents : Amérique et Russie.

    Parallèlement à cela, aux années de 1990 laisse apparaitre l’alliance sous le toit de la production dans le sens micro voire macro par la co – existence entre Bill Gates et Steve Jobs lesquels sont représentés deux compagnie concurrent / rival mais à la fin les génies de science / technologie se sont négocies sous le toit de la création / production suis – generis convenant à la théorie de Nancy que ceci laisse apparaitre l’éloignement de « Diversité » mais le rapprochement à la co – existence inhérent à cult -pouvoir et donc la démocratie dans le sens de Tocqueville. De l’exprimer de manière diffèrent, la poésie de politique (les chansons) laisse apparaitre le changement social concernant la culture de quotidienneté : à la différence de la culture de la modernité solide / liquide, la modernité fluide s’imprègne la culture complexe doucement pour que la société entière puisse adapter / découvrir la culture suis – generis lequel empêche l’anarchie mais suscite la démocratie.

    Je pourrais donc souligner que la culture complexe fait naitre de nouveau « je pense donc je suis » ainsi : « j’existe avec… » où « avec » n’est pas subordonne de l’être que Nancy l’explique par singulier – pluriel. La preuve réside dans l’énigme de la culture inhérent à la modernité fluide par la chanson intitulée « Love Génération » de Bob Sinclar & Gary Piane puisque ceci revendique la transition de l’enfant terrible à l’enfant conscient – culturel que la trajectoire musical de Justin Bieber le dévoile de manière idyllique telle que la chanson de Bieber intitulée « Holly » voire « Lonely » mettent en scène le rôle crucial de consciemment en / de soi et donc cultivation lequel engendre la confiance pour établir le dialogue avec les différences que le vidéo clip de Bieber intitulé « Holly » ou bien « intentions » laisse apparaitre « estime universelle » au lieu de « estime sociale » que la culture de la modernité liquide tente de contourner le monde en monopole distingué de manière dialectique que la concurrence entre Britney Spears et Christine Auguleria le dévoile ou bien la concurrence entre George Micheal et Micheal Jackson l’illustre. Alors que la modernité fluide permet de témoigner la culture complexe en lacunant les effets nocifs de narcisme / aliénation en / de soi par la co – existence de singulier – pluriel sous le toit de la création / production suis – generis que le duo entre Shown Mendes et Justin Bieber voire celle de Justin Bieber et Ed Sheeran laissent apparaitre l’enrichissement culturelle permet d’ouvrir la voie de création suis – generis. De même, le duo entre Beyonce et Shakira dans la chanson intitulée « Beautiful Liar » fait le point crucial en ce qui concerne « le simulacre mort » par l’alliance culturelle entre les deux chanteuses à la différence de cas Britney Spears versus Christina Agularie. Vu que j’ai déjà diagnostiqué la philosophie cruciale concernant la culture de la modernité liquide par ce qui / qu’est liquide condamne à se liquider, Britney Spears voire Christina Agularia a déjà perdu leur popularité tandis que Beyonce et Shakira existe et aussi existerait jusqu’à l’infinité puisque la philosophie cruciale de la modernité fluide s’incarne par ce qui/que est fluide s’incarne par le recyclage / le métapsychisme en tant que l’emblème cardinal de cultivation en soi.

    Dans ce contexte, il apparait évident que la modernité fluide laisse apparaitre les indices culturelle – conscience en / de soi et la production / création suis generis comme le passeport des rapports avec les différences dans le sens micro voire celui de macro que ceci engendre « le simulacre mort » et « la renaissance de nature » comme le met en exergue Andy Murray « Keep it Réel » lequel pourrait s’interpréter par le consciemment en la théorie de Baudrillard à propos de « simulacre ». Partant de ce postulat, je pourrais recapituler que la dissolution des mûrs, l’intervention technologique et les innovations dans la quotidienneté suscite à la renaissance des sujets par délibérément des chaines de l’identité – de prêt à porter reconnaissance social – de fétichisme lesquels réduits aux sujets en objets que la modernité liquide le dévoile. La preuve réside dans la recherche intitulée « L’usage social de la consommation de médicaments : l’analyse comparative entre la France et la Turquie » selon laquelle je constate la participation des patients à leur propre santé que Wettel le diagnostic ainsi : « les patients ne sont plus l’objet de leur maladie mais le sujet ». Et le nouveau paradigme que je le diagnostic par la notion intitulée glo- culturalisation pour accentuer l’impact culturel : la culture divergent de deux pays différents se rapproche de manière [a]symétrique en ce qui concerne l’usage de médicaments lequel s’apparente à l’intégration à la vie quotidienne. Cette recherche se constitue le point tournant de la transition de quotidienneté : de la modernité liquide, où l’identité – lieu fétichisé acquis la représentation convenant à Biopolitique, à la modernité fluide où la culture engendre la négociation auprès des différences que cette recherche laisse apparaitre par l’usage social de médicament utilise par d’être dans les normes sociale de quotidienneté.

    Pourtant, les échos de cette recherche me fait réfléchir sur le sujet de glo – culturel lequel ne pourrait pas s’identifier à tout le monde comme identiques puisque la culture permet de se différencier l’un à l’autre à l’égard de l’interprétation de nature. Il vaut mieux de donner l’acception de culture que Terry Eagleton l’élucide par la racine de mot : « to cult » lequel est due à la manière de sociabilité des gens. Dès lors, la sociabilité se réfère à l’art de l’acquisition de connaissance et / ou l’élimination des connaissance en ce qui concerne l’art de vie telle que je l’explique par la métaphore de « valise » : les gens le prépare à l’égard de culture c’est la raison pour laquelle l’environnement social n’a aucun rôle / effet sur l’art de l’interaction sociale puisque les gens éliminent – absorbent – séparent tous les connaissances concernant l’art de vie à l’égard de culture que la métaphore de « valise » le dévoile par la variété. Partant de ce postulat, il apparait évident que glo – culturel permet de diagnostiquer la variété en ce qui concerne la manière de mondialisation que les différents mondes sociaux le dévoilent : sociabilité tributaire inhérent à la société traditionnelle issues de la modernité solide, sociabilité inavouable relative à la société fiction issues de la modernité liquide et sociabilité singulier – pluriel relative à la société complexe issues de la modernité fluide. C’est la raison pour laquelle glo – culturel permet d’élaborer toutes les variétés culturelles issues de bigarrures type de quotidienneté. Ceci ainsi permet d’observer la chute de la vie politique : ce qui / qu’est la vie politique devient nu.

    De surcroit, la manière de l’économie inhérent à la modernité fluide suscite à la multiplication de différence convenant à cult – pouvoir que la value complexe lequel s’apparente au recyclage de la nature, l’être homo – faber, la création suis – generis découlée par l’ordre culturel et l’échange / le commerce en accentuant la dialogue entre les producteurs et les consommateurs, dévoile l’économie culturel / démocratique. De même, la value – complexe renforce la spécificité lequel dérive de la compétence créatrice de Dieu que ceci met en exergue l’affinité entre le contexte – le contenu – la création suis – generis autant que ceci fait sentir suis – generis   – spécifique – sujet au lieu de l’objet de masse telle que l’ouverture des boutiques spécialisé sur les différents domaines en donnant l’accent sur la spécificité laisse apparaitre la renaissance de commerce dans la quotidienneté que technologie permet de diffuser au monde entière en tout grand vitesse mais en variété de culture que glo – culturel l’illustre.

    Par conséquent, je pourrais recapituler la manière de la mondialisation inhérente à la culture de la modernité fluide ainsi :

    La Manière de la Mondialisation

    La Modernité Fluide (les époques technologiques)Glo – culturel varie à la manière de la sociabilité issus de bigarrure type de modernité et prime d’avant la renaissance de nature et de commerce s’appuie sur le principe de fidélité – principe – confiance – production / création suis – generis – spécifique – contexte – qualité – culture que boutique et technologie le dévoile.

    Je pourrais donc conclure que la modernité fluide laisse apparaitre l’omnivalent de quotidienneté juxtaposé dans la même espace de temps que culture permet de ramifier les différents monde sociaux à l’égard de la manière de la sociabilité que ceci laisse apparaitre la manière de rapports avec les différences dans la monde entière autant que la modernité fluide engendre la value – complexe afin de se délibérer les chaines de plus – value notamment les pièges de tautologie pour avouer « nous sommes tous gentlemen » que ceci entraine la spécificité lequel dérive de talent Dieu : la vie universelle au lieu de la vie politique. Je pourrais ainsi mettre en exergue que la culture rend :

    Ce qui / qu’est politique en la vie nue
    Ce qui / qu’est Homo – faber / la vie nue / hors-biopolitique / hors biopouvoir en la vie universelle

    Par conséquent, je pourrais recapituler que l’histoire de la manière de la mondialisation permet d’observer l’enjeu crucial de confiance varié à l’égard de bigarrure type de quotidienneté que la culture voire la manière de sociabilité permet de diagnostiquer : de local – royale à la glo – culturel que ceci permet de changement de Homo Sacer en Homo Spécifique / Fable autant que cult – pouvoir le dévoile par la négociation entre côté cours et côté jardin sous le toit de la production / création suis – generis dans le monde entière.

    Glo-culturalisation (1/5)

    Edward Hopper, Hotel Lobby.

    Introduction

    Je forge le concept « glo-culturel » pour définir à la fois l’enjeu crucial de l’interaction sociale et la circulation de l’économie puisque le commerce s’incarne par les commerçants lequel ne jamais s’apparente seulement à l’économie mais en même temps l’interaction sociale c’est la raison pour laquelle la confiance est la clé de voûte… Partant de ce postulat, il apparait évident que la confiance est la force motrice cruciale de l’économie mondiale pourtant je m’enquiers si la confiance s’apparente à l’homogénéité de mondes partagée la même stéréotype en lacunant le contenu que la masse l’illustre par la globalisation où « je ressemble à… » joue la clé cardinal pour assurer la confiance ou bien la confiance se réfère au fétichisme / dialectique géographique que glo-localisation l’illustre par la hiérarchie auprès des villes des pays ? Or, la confiance est liée à la sensation intérieure de soi projetée par la production – la création que ceci engendre les alliances culturelles convenant à singulier – pluriel que glo-culturel le dévoile ? Dans ce contexte, je pourrais mettre en exergue que la clé de voûte de ce nœud auprès de différentes manières de commerce mondial s’appuie sur la confiance : « je ressemble à… », « je suis supérieur… » ou « j’existe avec… » ?

    C’était en 2007 que j’ai voyagé en Chine avec mon père pour son travail puisqu’il y avait l’exposition à propos de la papeterie en Chine… Lorsque mon père et moi se promenaient dans les rues de Kawloon en Chine (juste en face de Hong kong) et notamment dans la fameuse boulevard intitulée « Beijing Lo (Being Road) », mon père m’a posé cette question : « Tu vois ma chère fille, quand j’ai visite en Chine auparavant les chinois ont été tous mince et ont mangé le riz mais maintenant la majorité des chinois mange fast – food – Mc Donald’s et commence à grossir de même auparavant il n’y avait que les bicyclette dans la rue mais maintenant les bicyclettes – voitures – motocyclettes s’entremêlent dans les rues… Dans le même endroit, on a constaté différentes manières de vie, comment tu pourrais l’interpréter en tant que sociologue ? »

    Comme à l’accoutumé et que j’étais venu de graduer en sociologie, j’ai d’emblée lui répondait par globalisation… Pourtant est – ce que c’était globalisation ? Après cinq ans j’ai enfin trouvé la réponse réaliste de cette question par la recherche intitulée « L’usage sociale de la consommation médicament : l’analyse comparative entre la France et la Turquie » c’est là où les traces cruciales de glo – culturalisation a été découvert. Pourquoi ? Pourquoi ceci n’est pas ni globalisation ni glo – localisation mais glo – culturel ?

    Pour traiter ce sujet, il me faut résoudre l’ambiguïté de l’acception de bigarrures type de rapports entre les différents pays que ceci s’explique tantôt international tantôt mondiale tantôt global tantôt glo – local tantôt cosmopolite etc… Pourtant quel est la nuance parmi eux ? Pourquoi global au lieu de mondiale ou bien au lieu d’international ou bien au lieu de cosmopolite ? Comment peut-on s’identifier les échanges – les rapports – les interactions parmi les différences ? Dans l’ambiguïté de cette énigme puzzle, je me glisse par la définition de ces mots :

    • Quand il s’agit mondial, ceci s’apparente à l’ensemble de l’univers y compris tous les formes existants… comme univers. Donc ceci laisse apparaitre les rapports avec l’ensemble de tout ce qui existe.
    • Quand il s’agit international, ceci se réfère aux rapports entre minimum deux pays soit convergeant soit divergeant dans le monde. Donc ceci laisse apparaitre les rapports avec deux ou plusieurs pays pas celui de l’ensemble de monde.
    • Quand il s’agit global, ceci s’identifie par monde entière à la différence de mondiale lequel s’englobe l’ensemble de l’univers y compris les astres visibles alors que global pourrait s’expliquer par macro-version de l’international. Donc ceci laisse apparaitre l’interaction mondial parmi tous les pays de manière réciproque.
    • Quand il s’agit de cosmopolite, ceci exhibe la co – existence de différences dans un lieu précis comme ville dans le sens micro. De l’exprimer de manière différente, ceci dévoile la juxtaposition de bigarrure pays dans un lieu / dans un corps etc… sans toutefois les rapports parmi eux comme la notion de « diversité » de Negri & Hardt : la co – existence de différence dans le même lieu précis sans toutefois se mélanger l’un à l’autre. Donc ceci laisse apparaitre l’impasse des rapports parmi les différences mais ceci laisse apparaitre la co – existence divergeant des différences.
    • Quant in s’agit de glo – local, ceci s’apparente à macro-version de cosmopolite à l’égard de bigarrures type de pays en tant qu’équivalent pourtant ceci n’a aucune différence de cosmopolite dès lors que l’interaction social de manière réciproque est en panne que la hiérarchie des villes fétichisés empêche les rapports entre les différences de manière réciproque bien que ceci suscite l’interaction sociale hiérarchisés. De même, il est irréel de l’existence de ville cosmopolite homogène c’est-à-dire possède la même niveau degré de civilisation que l’anecdote tirée le voyage en Chine en 2007 l’illustre : hétérogénéité de différent degré de civilisation comme la divergence local et universel habités / co – existe dans la même ville cosmopolite c’est la raison pour laquelle glo – local ne laisse apparaitre que la macro version de cosmopolite où la diversité est en vigueur autant que l’interaction avec les différences est impasse.

    Dans ce contexte, je m’enquiers lequel type des rapports (mondial, international, global, cosmopolite, glo – local) se conforme la société lequel s’identifie par la solidarité organique que les échanges – les rapports entre les différences pourraient se réaliser sous l’égide de la volonté générale ?

    D’ores et déjà, il apparait évident que ces bigarrures type de rapports ne se projette que la communauté ou les groupes sociaux pas de société et s’il n’existe pas société alors comment on peut attribuer les fait sociaux – les cas etc… au monde entier ? Dès lors, comme Goffman met en exergue que l’interaction symbolique nécessites les rapports réciproque au lieu de ressemblance pourtant les bigarrures type de rapports effectue entre les différences que j’ai citées ne laisse apparaitre que l’interaction symbolique s’appuie sur la ressemblance en lacunant le sens attribue à cette notion dont Goffman l’élucide. En réussissant à se glisser cet ambiguïté de juxtaposition des mots définit pour les rapports entre les différences par la notion intitulée glo – culturel, je pourrais l’identifier par l’enjeu crucial de culture – conscience en / de soi – manière de production / création se façonnées les bigarrures type de manière interaction sociale dans le monde entière autant que ce type de manière interaction sociale s’étends ses racines depuis l’antiquité que des époques royal aux époques industriels, des époques industriels aux époques technologique, il est évident de constater les rapports entre les différences : des rapports entre les différentes royalités aux pays, des rapports familiale / local / identitaire aux pays…

     De l’exprimer de manier diffèrent, pour élucider la notion glo – culturel, lequel s’apparente à l’existence de société que j’ai forgée mondes sociaux pour ramifier les bigarrures types de sociétés partagés le même type de culture – conscience en soi – manière de production / création dans le mode entière, j’opte pour mettre en scène l’histoire généalogique des rapports entre les différences que le premier chapitre l’expliquerait. Ensuite, je mets en exergue le dilemme commun en ce qui concerne la manière des rapports entre les différences dans le monde entière pour cela le faire je vise à discuter les effets nocifs d’utilisation des notions globalisation voire glo – localisation auprès de toutologie ainsi que simulacre que ceci laisse apparaitre l’absence de société. Je mets en exergue donc dans le deuxième chapitre, la lacunasition de sens globalisation voire glo – localisation par ses effets nocifs dans le monde entière. Enfin, je tente d’élucider glo – culturel lequel permet d’observer l’interaction sociale parmi les différences découlé par les bigarrures type de monde sociale que ceci engendre la varie tâche sociologique pour ramifier le monde – entier à l’égard de diffèrent type de monde social car faire la tautologie, catégoriser les gens / les groupes sociaux par rapport à la famille / à l’identité etc… que socio-espacalogues et socio – familialogues ont l’accoutumé à le faire engendre le chaos / l’anarchie dans le monde entière. Par conséquent, la notion intitulée glo – culturel engendre le rôle crucial de culture – conscience en soi – manière de production / création en ce qui concerne les rapports entre les différences dans le sens macro que ceci suscite le nouveau paradigme dans le sens Anselm Staurss : rôle éclaté – ordre culturel au lieu de distinction biologique – géographique.

    Je m’enquiers ainsi si la confiance s’établie à l’égard des prêt à porter symboles – reconnaissance sociale que « je ressemble à … » (i -dentité) le dévoile en ce qui concerne la manière de définition des rapports entre les différences comme globalisation et / ou glo – localisation le fait ou bien la confiance s’appuie sur culture – conscience en soi – manière de production / création et donc l’interaction symbolique dans le sens de Goffman que « j’existe avec… » (i – densité) le dévoile par glo – culturel ?