Sociologie de l’art…

“Between You and I”, Anthony McCall.

« Home as the museum that makes possible to visit history of world. »

Özden Turhan

L’art mais pourquoi ? Quelle est l’affinité entre la société et l’art ? L’art sert à la démonstration de noblesse ou bien l’art est la guide cruciale de société ? Pourquoi l’art est la pierre angulaire de société ? Les questions à propos de l’art hantent les réflexions sociologiques puisque les gens issus de la modernité solide / liquide ont la tendance à évaluer l’art en tant que l’amusement voire la décoration en ignorant le sens… La preuve réside dans « Contemporary art Istanbul »… c’était en 2007 / 2008 que j’ai travaillé dans un Galerie de l’art français participé à « Contemporary Art Istanbul » telle que j’ai témoigné la manière de choisir des tableaux s’effectuent à l’égard de l’harmonie avec les meubles au lieu de sens propre / value propre des tableaux… De même, j’entends toujours le même discours quand je suis au muséum / à la galerie d’art… : « mais je pourrais le faire / dessiner aussi… pourquoi ce tableau est si cher ou bien pourquoi ce tableau s’expose dans le muséum… » La vulgarisation de l’art commence ainsi… c’est la raison pour laquelle je scrutine la question de l’art en tant que le fait social en suivant les œuvres de Goya et celles de Groupe Zéro pour comprendre l’affinité entre la société et l’art…

D’ores et déjà, je pourrais mettre en exergue que la perception de modernité joue le rôle cardinal en ce qui concerne la valorisation ou bien dévalorisation / vulgarisation de l’art puisqu’il apparait évident que la culture de la modernité solide / liquide ont la tendance à évaluer l’art en tant que l’enthousiasme/ décor tandis que la culture de la modernité fluide laisse apparaitre l’art en tant que le guide crucial de société. La preuve réside dans les époques de renaissance où la famille de Medici a ancré le rôle crucial de l’art dans la société : l’art s’apparente à l’avant – garde de société ». Je pourrais ainsi mettre en exergue que l’art se réfère au « miroir de société » voire à la « guide de société » afin de déboucher la voie d’évolution que la famille de Medici le dévoile dans les époques de Renaissance. En outre, l’art lève le voile la sociologie cruciale de société voire l’art permet d’envisager le futur. Je pourrais ainsi illustrer l’énigme de l’art par le pont crucial auprès de passé, présent et future que l’art me permet de faire le tour de monde voire le tour de la mélancolie convenant à la culture de la modernité / quotidienneté :

  • Goya laisse apparaitre les chagrins de révolution mais en même temps la volonté de la lumière par la phase noire / jaune de la mélancolie que ceci s’apparente à la culture de la modernité solide / liquide.
  • Hopper dévoile la dialectique entre les élites et les ouvriers mais en même temps l’espoir de construire le dialogue entre les différences par la phase jaune / rouge de la mélancolie que ceci se réfère à la culture de la modernité liquide / fluide.

Dans ce contexte, je pourrais mettre en relief que l’art ne pourrais guère s’apparenter à peintre / copier/ imiter / dessiner la nature pourtant l’art s’identifie par la sociologie de quotidienneté, c’est-à-dire l’art joue le rôle crucial en ce qui concerne la réflexion sociologique de société voire le guide cardinal de société. Je pourrais ainsi mettre en exergue que l’art joue le rôle clé de voûte auprès de passé, présent et future : la négociation auprès de différences. Partant de ce postulat, il apparait évident que l’art permet de scrutiner à la fois la culture de quotidienneté et le fait social prégnant de société. Ceci m’oriente à élucider la nuance entre la technique de l’art et la culture de l’art : la technique de l’art laisse apparaitre à la fois la manière de peinte et les innovations tandis que la culture de l’art s’apparente à la fois à la sociologie et à la modernité. En outre, la technique de l’art s’incarnée par le mouvement de l’art ne s’explique guère l’art puisque le moment de l’art définie comme cubisme, symbolisme, surréalisme, etc. ne s’identifie que la technique de peinte telle que ceci laisse apparaitre la répétition de même type de tableau que Andy Warhol l’élucide de manière satirique par le motto ainsi : « l’art pour tout le monde ». Parallèlement à cela, l’art ne pourrait jamais s’appuie sur seulement la compétence de peintre, si cela est le cas alors je pourrais mettre en exergue que l’art s’apparente à la décoration / à l’amusement que les discours des gens issus de la modernité solide / liquide l’illustrent : « Je n’ai sait pas si ce tableau est convenant au salon de la maison » ou bien « l’art sert à amuser voire passer le temps sans aucun réfléchir et de même montrer la noblesse / l’élitisme artificiellement ».

Je pourrais donc déduire que l’art ne s’identifie guère par le mouvement puisque ceci laisse apparaitre la technique de l’art. Pourtant l’art s’apparente à la culture que Groupe Zéro l’illustre par la mise en scène de différents techniques de l’art inhérent à la bigarrure type de modernité telle que les artistes de Group Zéro mettent le point sur l’enjeu crucial de la culture, de la sociologie et du sens de l’art puisque l’énigme de l’art s’avère par la compétence de comprendre la culture de quotidienneté voire le fait social de société pour refléter le miroir intellectuel à la société que Group Zéro met en exergue l’énigme de quotidienne par les œuvres ainsi : l’exigence de démocratie lequel entraine l’absence de jugement voire l’égalité en / par droit que ceci assure « la multiplication de différences ». En inspirant les œuvres / la culture de l’art de Group Zéro, je forge la notion en ce qui concerne l’acception de l’art ainsi : « manière de la vibration » au lieu de « mouvement » puisque « manière de la vibration » s’englobe à la fois l’exposition de bigarrure type de modernité et la variété de sens découlé par l’ordre culturel de société, c’est-à-dire « manière de la vibration » laisse apparaitre la sociologie cruciale voire la culture de société par le biais de l’art. De même, je pourrais mettre en exergue que « manière de la vibration » encourage la création / la production suis – generis découlée par l’ordre culturel de société c’est la raison pour laquelle j’opte pour définir l’art par la culture au lieu de mots finit par « -isme » lequel suscite à la reproduction des œuvres identiques en éloignant la sociologie elle – même mais en rapprochant au style / courant / mouvement de l’idéologie prégnant des élites que ceci réduit l’art à la décoration et / ou amusement. Partant de ce postulat, en suivant les œuvres de Group Zero, je pourrais mettre en exergue que la modernité fluide laisse apparaitre la culture de l’art s’exposée à l’égard de « manière de la vibration » que ceci lève le voile à la fois l’ordre culturel et la sociologie de société telle que les articles mettent au point sur le sens c’est-à-dire, sur la variété de sens de tableaux afin de mettre en scène le rôle crucial de culture selon laquelle « manière de la vibration » illustre énigme de société ainsi que la bigarrure type de modernité : les œuvres dichotomique / dialectique / complexe dévoilent « manière de la vibration » à l’égard de l’échange / dialogue entre la société et les artistes que les tableaux l’illustrent.

Parallèlement à cela, je pourrais définir « manière de la vibration » en tenant compte « le montre de Zero » de Groupe Zero ainsi : la quotidienneté s’expose les différences d’ordre culturel juxtaposes dans la même espace de temps de manière divergeant que les vibrations donnent la naissance de bigarrure manier / art / technique de création découlée par la sociologie de société telle que ceci dévoile le temps circulaire comme le temps de peintre la sociologie de sociétés à l’égard de vibrations. Je pourrais ainsi mettre en exergue que « manière de la vibration » laisse apparaitre l’omnivalent de quotidienneté ramifiée par rapport à l’ordre culturel que ceci engendre le sens variée / complexe telle que la modernité fluide l’illustre par la spécificité en tant que « manière de la vibration ». Du fait, la culture de l’art dans la modernité fluide solide / liquide s’identifie par « mouvement » permet de témoigner la répétition de quotidienneté convenant à la dialectique entre la supériorité et infériorité que ceci lacune le sens de l’art, c’est-à-dire ceci supprime la value crucial de l’art puisque l’absence de sens / la répétition de quotidienneté engendre à réduire l’art à la simple décoration que les discours des élites issus de la modernité solide / liquide le dévoilent.

Je pourrais ainsi recapituler que l’art s’apparente à la créativité et donc à la spécificité au lieu de la supériorité représentée par les symboles inhérent aux élites issus de la modernité solide / liquide. Je pourrais donc mettre en exergue la nuance entre le symbolisme et la créativité ainsi :

  • Symbolisme s’apparente au code social s’identifie à l’égard de la famille / identité favorisé en tant que l’emblème cardinal de la supériorité convenant à la culture de la modernité solide / liquide telle que les tableaux peint dans la modernité solide / liquide permet de témoigner ce fait social par la mise en scène des personnages / panoramas sur la toile ainsi : allégorie, dialectique, dichotomique, etc.
  • Créativité débouche la voie de l’émergence des êtres culturelle par le biais de la ramification de société à l’égard de l’ordre culturel que ceci engendre la transformation de supériorité à spécificité puisque la dialogue entre les différences couronne l’enjeu crucial de la créativité que les tableaux peint dans la modernité fluide le laisse apparaitre par « manière de la vibration » : l’absence de jugement, la variété de sens, l’encouragement de « be yourself », la culture de quotidienneté voire la sociologie, etc. que Hopper, Group Zéro, Anish Kapour, Goya, Bosch, Velázquez, Chirico, Dali, Arcimboldo, Durer, etc. le dévoilent.

Dans ce contexte, je pourrais mettre en exergue que « manier de la vibration » fait surgit sur la surface le rôle crucial de la créativité dans l’art au lieu de symbolisme puisque « manière de la vibration » se réfère à l’art crée à l’égard de différents types de technique de l’art convenant à la tissue sociologique de quotidienneté que les œuvres de Group Zéro le dévoilent par la mise en scène de l’omnivalent de quotidienneté dessinée à l’égard de différentes techniques de l’art. Je pourrais donc déduire que « manier de la vibration » s’appuie sur les différents types de technique de l’art voire sur la culture de l’art que ceci préconise la spécificité au lieu de la supériorité. Du fait, « manier de la vibration » fomente la renaissance de nature / la recyclage de nature que le motto inhérent à la modernité fluide le laisse apparaitre : « be yourself » ; « image est rien, l’importance est le soif » etc. Ceci laisse apparaitre la pierre angulaire de « manière de la vibration » en tant que la spécificité et la créativité puisque la culture de l’art engendre l’évolution, le progrès, le changement perpétuel au lieu de la création des stéréotypes, de la reproduction et de la dénaturalisation que « manière de la vibration » l’illustrent.

Par conséquent, je pourrais mettre en exergue que « manière de la vibration » s’apparente à la création suis – generis, la spécificité, la recyclage de nature, la culture de quotidienneté, les faits sociaux prégnants de société, la variété de sens, le temps de Heraclitus, la complexe, l’omnivalent de quotidienneté, les bigarrures type de technique de l’art, l’harmonie, la mélancolie, la co – existence de différences, etc. donc la sociologie de l’art pourrait s’expliquer par la notion de « manière de la vibration » lequel permet de construire le pont entre les artistes et la société que la preuve réside dans les vibrations des artistes dessinées sur les toiles c’est la raison pour laquelle l’art n’était / n’est / ne serait jamais la simple décoration / amusement que la famille de Medici l’illustre par la valorisation de l’art / l’artiste dans les époques de Renaissance. Je pourrais ainsi conclure que « manière de la vibration » en tant que la culture de l’art permet de dévoiler l’omnivalent de quotidienneté de manière si suis – generis / créative / spécifique que ceci bouche la voie de répétition / imitation puisque le sens prime d’avant dans l’art. En outre, la sociologie de l’art laisse apparaitre à la fois la culture et les faits sociaux en ce qui concerne l’omnivalent de quotidienneté que « manière de la vibration » le dévoile par les bigarrures type de technique de l’art afin de refléter / comprendre / envisager la matrice cruciale de quotidienneté à l’égard des bigarrures aspects / versants possible comme la mélancolie.

Never Look Away… (3/5)

2. From “Heil Hitler” to “Companion”: Interdiction of variety / difference

The opening scene of the film is set in Dresden, in 1937 when “modern art” was considered “decadence” and “moral deformity” by Nazi Party. The railing against “modern art” relied on a kind of “madness” and also “devaluing art” such as the discourse of the tour guide (Lars Eidinger) by gesturing at Kandinsky painting from 1921 unveiled the crucial perception of Nazi Party relied on economy, intolerance of difference, desire to remain in the “Past”. This evidence was illustrated by the speech of the tour guide to Kurt (Tom Schilling): “I think you could do this, too. […] and ask your parent how much they would pay for it!” Nevertheless, Kurt and his beloved aunt Elisabeth (Saskia Rosendahl) did not partage the same idea with the tour guide such as Elisabeth asserted by whistling to the ears of Kurt that: “Don’t tell anybody, but I like it.” Although the main goal of Nazi Part relied on jeering “modern art” by this exhibition, it played a crucial role on Kurt’s way of thinking, perception on art thanks to orientation of his beloved aunt.

This scene reverberates throughout the film “Never Look Away” as how political ideologies could be damaged art by interdiction of variety / difference to insisting for the stay the “same” pursuing only one type “communally” accepted ideology. Because although Nazi were defeated in the Second World War II, its crucial philosophy did not change: rejection of “moder art”!

After the war, The Communists who are saluting each other as “Companion”, reminding other vector of Hitler’s salute “Heil Hitler”, did not give permission to spread “modern art” by emphasizing “Socialist Realism” as an art style. This evidence was shown by the dialogue between Kurt and his professor who was criticizing the perception of modernist artist by referring to Picasso to jeer subjectivity / personality “me, me, me”. In addition to this, Carl Seeband (Sebastian Koch) and Kurt’s dialogue illustrate the continuity of Hitlerism throughout Communism:

Professor Carl Seeband: Socialist realism?
Kurt Barnert: Is there anything else?
Professosr
Carl Seeband: I hope not.”

“I hope not” permit itself to elaborate the similarity with the ideology of Hitler, in other way, the war ended up, but Hitler’s spirits continue by communists…

In this cleavage authoritarian, Kurt finds himself at the core of dilemma between his artistic desire / creativity / perception and ongoing artistic trends based on socialist realism. At the end Kurt and his beloved wife Ellie (Paula Beer) decide to escape to West German side. At the gar scene, the author of the film manages poetically to settle dialogue between after and during the World War II by the way of looking behind of protagonists, when guardian stop a man to control its suitcase! That scene illustrates in a way idyllic both nothing changes and the communism as a successor of Hitlerism…: fear, inquietude, forced to obey communist rules, interdiction, discrimination, forbidden who / which is different….!

Réfléchir sur la Modernité (5/5)

Edward Hopper

Conclusion

« We are forever mixing ourselves with unknown quantities » rédigée sous la plume de Virginia Woolf que ceci laisse apparaitre l’omnivalent de quotidienneté convenant aux bigarrures phase de la mélancolie telle que la rencontre avec les différences voire la valorisation de temps en tant que l’emblème cardinal de la liberté laisse apparaitre la matrice cruciale de quotidienneté : la modernité solide dévoile la phase noire de la mélancolie tandis que la modernité liquide illustre la phase jaune de la mélancolie or la modernité fluide laisse apparaitre la mélancolie. De l’exprimer de manière différente, le plier crucial de l’omnivalent de quotidienneté diagnostique par la distinction / par l’ex – ception que la modernité solide le dévoile, par la consommation / par la liquidation comme la modernité liquide l’illustre et par la culture / par la cultivation que la modernité fluide le laisse apparaitre.

Par conséquent, je pourrais mettre en exergue que l’omnivalent de quotidienneté s’avère les bigarrures type de mélancolie varie à l’égard de l’art de la cultivation et donc la culture. D’ores et déjà, il apparait évident que la modernité fluide englobe l’acception de la modernité lequel se réfère à la démocratie, à l’égalité en/par droit, à l’être homo – faber, au singulier – pluriels, à la fluidité, … etc. cela dit la modernité s’apparente à l’évolution infinie.

Réfléchir sur la Modernité (4/5)

Edward Hopper

La Modernité Fluide

« Literature is born in the era of Godless » rédigée sous la plume de Heidegger que ceci permet de mettre en exergue « God is inside of you » en tant que l’énigme crucial de la liberté dans la modernité fluide puisque « existence » ne dérive guère à la famille / l’identité… l’existence est due à la capacite de produire / créer en tant que l’emblème cardinal de « talent divin » dans la modernité fluide que ceci bouche la voie de dépendance / assujettissement / subordination par contre ceci ouvre la voie de la singularité lequel s’apparente à l’existence lié à la création / à la production car, l’existence dérive de la cultivation en soi lequel permet de reconnaitre soi – même / la capacite des êtres en tant que l’emblème cardinal de talent divine. De l’exprimer de manière différente, la cultivation en soi engendre l’émergence des êtres spécifique au lieu de supériorité que ceci influence la matrice de quotidienneté ainsi : de l’habitus (prêt à porter images – mode de vie… etc.) à l’art de vie donc aux principes… Dans ce contexte, il apparait évident que la cultivation en soi permet de transformer le tissu crucial de la quotidienneté : de la quotidienneté liquide à la quotidienneté fluide… La preuve réside dans le livre intitulé « Je suis né » de Georg Perec lequel met en exergue que l’existence est due à la capacite de produire dans n’importe quelle situation telle son livre élucide l’histoire de l’existence : de néant à l’existence…

Je pourrais ainsi mettre en exergue que l’énigme crucial de la modernité fluide s’appuie sur l’évolution au lieu de la répétition de quotidienneté telle que la fluidité est la pierre angulaire de la modernité fluide… Ceci donc permet d’expliquer la manière de temps lequel n’est plus linéaire mais circulaire : le temps de Heraclitus… En suivant le cheminement intellectuel de Virginia Woolf, je pourrais mettre en relief que la cultivation en soi est la clé crucial de la modernité fluide puisque ceci permet de couler dans n’importe quelle situation au fur et à mesure que consciemment de / en soi voire reconnaissance de / en soi laisse apparaitre la spécificité couronné par la production en tant que talent divin telle que Virginia Woolf l’illustre dans le livre intitulé « The Waves » ainsi : « Who I am » est le berceau de la quotidienneté puisque cette question est le déclencheur cardinal de la cultivation en soi…

Parallèlement à Woolf, Marx élucide l’enjeu crucial de la cultivation en soi par la révolution lequel permet de changer la quotidienneté dans lato sensu et stricto sensu ceci engendre la découverte de soi par la production en tant que l’emblème cardinal de spécificité. En outre, la révolution dans le sens de Marx ne pourrait jamais s’apparenter au remplacement de position social ni celui de mode de vie / coutume / habitus que ceci engendre la répétition / la mutation de quotidienneté dans le même linéaire de temps telle que la modernité solide et la modernité liquide le laisse apparaitre. Pourtant Marx met en exergue que la révolution est lie à la cultivation en soi lequel engendre le consciemment en / de soi voire la reconnaissance de / en soi que ceci suscite à l’évolution de quotidienneté en diluant l’harmonie dans la société entière pas celle de conflit…

Je pourrais donc déduire que la révolution dans le sens de Marx laisse apparaitre la spécificité voire la singularité (existence) au lieu de la supériorité / infériorité ainsi que la dépendance / subordination/ assujettissement. Du fait, le consciemment de / en soi assure l’existence suis -generis que ceci dévoile la singularité c’est-à-dire la spécificité dans la société entière au lieu de la dialectique entre la supériorité et l’infériorité puisque la modernité fluide s’imprègne la philosophie ainsi : « Nous sommes tous gentlemen » que ceci laisse apparaitre la matrice cruciale de la modernité fluide : la singularité et la spécificité. D’ailleurs la pierre angulaire de la modernité s’appuie sur l’existence dans la singularité en tant que l’emblème cardinal de la spécificité. En suivant le cheminement intellectuel de Jean Luc Nancy, je pourrais mettre en exergue la spécificité permet de vaincre les chaines de dépendance / subordination / assujettissement que Nancy l’élucide par la notion singulier – pluriel ainsi : « J’existe avec … où avec n’est pas subordination mais co – existence… ». Parallèlement à Nancy, Stuart Hall élucide l’enjeu crucial de la culture assure la singularité et donc spécificité des êtres telle que la culture entraine la multiplication de différences dans la modernité fluide. Partant de ce postulat, je pourrais mettre en exergue que le pouvoir s’apparente à la démocratie voire l’égalité en / par droit que ceci laisse apparaitre l’émergences des êtres culturels dans la modernité fluide. La preuve réside dans les espaces (l’espace prive – l’espace publique) lequel est le symbole cardinal de la liberté. Ceci laisse apparaitre le basculement e la supériorité / infériorité des êtres à la spécificité des êtres dans la modernité fluide lequel ne s’apparente pas le passé comme la modernité solide ni le futur comme la modernité liquide mais la modernité fluide s’avère par le présent. Je pourrais élucider le présent par l’infinité pourtant l’actualité ne se réfère guère au présent puisque le présent coule éternellement… c’est la raison pour laquelle le temps coule circulaire dans la modernité fluide pas celui de linéaire puisque l’enjeu crucial d’être dans le présent s’appuie sur la négociation entre le passé et le présent pour évaluer / couler dans la quotidienneté telle que ceci supprime les mythes concernant destin / fatalité que les élites issues de la modernité solide / liquide les créent pour assurer la répétition de quotidienneté comme le temps linaire le laisse apparaitre par l’ancré dans le passe / future mais l’absence de présent….

Dans ce  contexte, il apparait évident que le pouvoir sert à cultiver au lieu de castrer / ex – cepter / enfermer telle que la politique dans la modernité fluide dévoile la multiplication de différences que Nancy l’élucide par singulier – pluriels en couronnant le rôle crucial de la spécificité lequel dérive de la cultivation en soi et la culture autant que David Riesman diagnostic les êtres culturels issues de la modernité fluide en tant que inner directed type : ni obéissance ni dépendance / subordination mais singularité (existence) grâce à la production / création… Ceci bouche la voie de répétition / imitation / pastiche / replacement de mode de vie / habitus / coutume … etc mais ceci engendre l’art de vie que Nancy l’explique par le désœuvrement des habitus pour éclaircir l’enjeu crucial des principes lequel pourrait être varie aux uns des autres convenant à l’ordre culturelle telle que le motto de la publicité « Sprite » le dévoile ainsi : « l’image est rien, l’importance est le soif ». En outre, Hannah Arendt met en exergue que « la condition cruciale de la modernité s’appuie sur l’être homo -faber », c’est-à-dire, la création / la production / la culture permet de couler dans les espaces en ignorant tous les jugements / accusations / humiliations. En outre, la culture engendre la dissolution des jugements / l’ignorance des humiliation – accusation que Nancy le résume ainsi : « Nous faisons le sens » que ceci laisse apparaitre l’ordre culturelle inhérent au bigarrure type de quotidienneté, c’est-à-dire le sens varié à l’égard de la culture que ceci permet de diagnostiquer la quotidienneté si ceci est solide, liquide ou fluide. Comme la politique s’appuie sur la démocratie dans la modernité fluide, l’absence de jugement / l’interaction pacifique discours / l’ordre culturel permet de multiplier les différences au lieu d’enfermer / de castrer / d’excepter les différences que ceci laisse apparaitre la manière de l’art de la cultivation dans la modernité fluide : l’humeur / l’esprit lequel permet de symbioser entre le côté cours et le côté jardin dans la société entière pour assurer l’harmonie. De l’exprimer de manière différente, l’interaction pacifique discours assure à la fois l’harmonie et la multiplication de différences que la manière de l’art de la cultivation inhérent à la modernité fluide le laisse apparaitre par l’humeur / l’esprit : la projection de miroir intellectuel en tant que l’emblème cardinal de l’empathie pour rendre conscient de / en soi voire pour cultiver les sentiments affligeants lequel engendre le conflit dans la société… La preuve réside dans les discours de publicité ainsi : « be yourself » que ceci permet d’orienter vers la recherche en soi que Virginia Woolf l’élucide par la question de « Who I am » en tant que la clé cruciale de la cultivation en soi et de même ceci bouche la voie de l’aliénation en soi que mass / tributaires le laissent apparaitre dans la modernité solide / liquide. En outre, « be yourself » ne pourrait guère s’apparenter au narcisme que les élites issues de la modernité solide / liquide l’interprète pourtant « be yourself » se réfère à l’enjeu crucial en ce qui concerne consciemment de / en soi pour faire autosurveillance afin de découvrir la spécificité / connaitre les limites de soi que les principes l’expliquent. Je pourrais ainsi recapituler que l’humeur / l’esprit joue le rôle crucial en ce qui concerne la négociation auprès de différences en tant que l’emblème cardinal de l’art de la cultivation inhérent au pouvoir dans la modernité fluide lequel s’incarne par la mélancolie / par l’état mélancolique.

Par conséquent, je pourrais mettre en exergue que la modernité fluide permet de couler dans n’importe quelle situation en s’appuyant sur la culture, la démocratie, l’égalité en / par droit, …etc. telle que la philosophie cruciale de la modernité fluide le dévoile ainsi : « ce qui est fluide s’incarne par le recyclage / le métempsychose » c’est-à-dire la fluidité dans n’importe quelle situation.

Réfléchir sur la Modernité (3/5)

La Modernité Liquide

La rencontre avec les différences s’incarne par la liquidation dans la modernité liquide telle que la scène tirée par le film intitulé « Monsieur Muhsin (Muhsin Bey) » de Yavuz Turgul l’illustre ainsi : Ali Nazik tente de se suicider sur le toit de l’appartement de Doğan puisqu’il a échoué dans son album. Au moment de la tentative de suicide Monsieur Muhsin a réussi à sauvegarder la vie de Ali Nazik par le truchement de discours pacifique comme suit : 

« Monsieur Muhsin : Allez, tenez les mains… Maintenant je prends la marche en arrière tu (Ali Nazik) avance… Ne regardez pas au-dessus… Regardez les yeux et tenez les mains fort… Avancez lorsque je marche en arrière… »

« Avancer lorsque je marche en arrière… » ceci illustre la pierre angulaire de la modernité liquide… Dès lors, l’enjeux crucial de l’intersectionnalité s’appuie sur la liquidation telle que Marguerite Duras le diagnostic par la « maladie de mort ». Je pourrais donc élucider la quotidienneté s’avéré par la consommation / la liquidation de ce que / qui est productive / gentille / noble… : les producteurs / noble / gentille sont enfermés que Monsieur Musin le dévoile tandis que les consommateurs / bourgeois prennent la place sur la scène dans la modernité liquide. En outre, le film de Yavuz Turgul laisse apparaitre l’enjeu crucial de quotidienneté par le symbole de rose lequel s’apparente à la vie ostentatoire sans toutefois intérioriser la philosophie cruciale de modernité telle que la scène de Ali Nazik l’illustre ainsi : « les roses découlés au-dessus de Ali Nazik dans la scène » ceci laisse apparaitre l’énigme crucial de la modernité liquide : pastiche, symbole, imitation, consommer / liquider… La preuve réside dans les tableaux de Chricco lequel critique la modernité liquide par le truchement de l’intersectionnalité entre la phase noire et jaune de la mélancolie : impasse…

Dans ce contexte, il apparait évident que les producteurs condamnent à liquider dans la modernité liquide du fait que le biais crucial de l’intersectionnalité des différences s’appuie sur la dialectique entre les producteurs et les consommateurs bien que les producteurs condamnent à disparaitre / enfermer à la fin de la rencontre avec les consommateurs que le film intitulé Monsieur Muhsin le dévoile. Je pourrais donc mettre en exergue que la perception de la liberté s’incarne par la capacite de consommer dans la modernité liquide. En outre, la modernité liquide s’avère la quotidienneté par la consommation, la dialectique, l’imitation et l’ostentation…

Parallèlement à cela, l’analyse de films de Yavuz Turgul permet de témoigner le vecteur de la modernité liquide pour les pays traditionnelle comme la Turquie : « la modernité symbolique » lequel s’apparente au pastiche de la modernité liquide… La preuve réside dans le procédé de Ali Nazik : la soumission de l’alcool, la posture duale, les roses, l’ostentation, l’imitation sans toutefois réfléchir sur le contenu… Partant de ce postulat, je pourrais mettre en relief que l’enjeu cruciale de la « modernité symbolique » inhérent aux pays traditionnels s’appuie sur « art de transfert » au lieu de dialectique que la modernité liquide l’illustre… puisque Ali Nazik se remplace par Monsieur Muhsin de manière burlesque… Je pourrais élucider la nuance entre la modernité liquide et sa version pastiche en tant que « modernité symbolique » par la divergence entre la dialectique et « art de transfert » : lorsque la dialectique construit l’affinité hiérarchique, « art de transfert » assurent la remplacement… Vu que les pays traditionnels ne produisent pas, c’est-à-dire ne sont pas des pays industriels, la consommation / liquidation ne s’effectue que par l’art de transfert telle que Zygmunt Baumann l’élucide ainsi : « There must be two for one’s freedom » cela dit l’intersectionnalité. En outre, la modernité symbolique n’est que la pastiche / l’imitation burlesque de la modernité liquide que les élites le laissent apparaitre par copy paste burlesque de mode de vie en ce qui concerne la modernité liquide puisque la modernité symbolique s’avère l’acte de consommation en tant que la vaporisation de différences en ignorant la dialectique entre la supérieur et l’inferieur tandis que la modernité liquide s’expose les différents versants de l’acte de consommation comme « art de transfert », « dialectique », « construction de camera obscura »,… etc. pour ne pas vaporiser mais liquider les différences convenant à la philosophie cruciale de la classe sociale : la hiérarchie… Je pourrais donc mettre en exergue que la supériorité dérive de l’existence de l’infériorité dans la modernité liquide s’apparente aux pays industriels que Marx l’élucide voire Chirico le dévoile bien que la modernité symbolique s’avère la quotidienneté en tant que la version pastiche de la modernité liquide de manière burlesque dans les pays traditionnelle come la Turquie.

Je pourrais ainsi récapituler l’enjeux cruciale de la modernité liquide par le jugement, l’accusation, la spéculation, le sens fragmente, codes / symboles, création de mythe…etc. pour assurer la supériorité des Bourgeois… De même, David Riesman forge la notion intitulée other directed type lequel surveillent / imitent ce que les bourgeois font : l’imitation, la surveillance des bourgeois sans toutefois réfléchir sur le contenue… La preuve réside dans le livre intitulé « The Waves » de Woolf ainsi : Louis tente de remplacer / imiter le mode de vie de Bernard puisque Bernard symbolise la supériorité / l’aristocratie pas celui de bourgeois… lorsque Bernard se penche sur la question d’existentielle. En outre, ceci laisse apparaitre la hiérarchie sociale dans la société couronne par les espaces publiques : les espaces publiques se référent aux lieux de la liberté dans la modernité liquide à la différence de la modernité solide où l’espace privé s’incarne par l’emblème cardinale de la liberté. Je pourrais ainsi mettre en exergue que la liberté s’apparente à l’identité favorise, l’ostentation, le prestige social, la présence dans l’espace publique, la capacite de la consommation / liquidation, … etc dans la modernité liquide. Mais toutefois, les identités défavorisées sont interdites à se trouver dans l’espace publique puisque l’intersectionnalité entraine l’impasse de rencontre avec les différences. Je pourrais déduire que la colère mystère s’appuie sur les jeux d’envie permet d’enfermer / de stigmatiser / d’humilier les identités défavorisés (opposes / différents) pour continuer éternellement la longévité des identités favorisés (élites) telle que le principe crucial de la modernité liquide s’apparente à « faire vivre laisser mourir » en tant que l’emblème cardinal de pouvoir : la démocratie oligarchique lequel ne soutienne que les droits des identités favorisés.

Par conséquent, je pourrais mettre en relief que la maitrise de droits / de la langue des élites (bourgeois – identité favorise) contrôle / gouverne la quotidienneté que ceci entraine la répétition de la quotidienneté en bouchant la voie de la mélancolie. En outre, la quotidienneté exposée par la modernité liquide est au seuil de liquider elle – même au fur et à mesure que les vies des homo – faber sont gâchées pour renforcer la supériorité des identités favorisés convenant au principe de la modernité liquide : « faire vivre laisser mourir » lequel ne pourrait guère à enfermer / disparaitre les homo – faber issus des identités défavorisées. Je pourrais donc conclure que « ce qui / qu’est liquide condamne à se liquider » telle que la pierre angulaire de la modernité liquide s’identifié par gravitas, nobilitas et dignitas se transforme en fluidité, homo – faber et culture dans la modernité fluide. En outre, la colère mystère inhérent au pouvoir des bourgeois se transforme en l’humeur / l’esprit dans la modernité fluide que ceci permet de se débarrasser par les vagues inopinées et continuer à produire / créer dans n’importe quelle situation. Ceci laisse apparaitre le basculement des habitus lié à la modernité liquide aux principes inhérent à la modernité fluide.

Réfléchir sur la Modernité (2/5)

Edward Hopper

La Modernité Solide

C’était en 2006 que je me suis penchée sur la rédaction de la thèse intitulée « le dilemme commun dans les films de Yavuz Turgul : la tension entre la modernité et la tradition »… La conséquence de cette recherche permet d’élucider l’omnivalent de quotidienneté telle que j’ai forgé la notion intitulée la modernité spatio – temporelle en tant que le vecteur de la modernité solide où la quotidienneté est ancrée dans le passé que la tradition l’illustre. La preuve réside dans les films intitulés « Bandit (Eşkiya) » voire « Jeu d’Ombre (Gölge Oyunu)’ de Yavuz Turgul : la dichotomie entre la vie zoé et bios ainsi que la subordination des uns des autres prédominent dans la quotidienneté et donc dans la modernité solide. De même, la domination masculine voire celle de religion engendrent la restriction de la liberté des gens issus de hors de la famille souveraine (la vie nue). Je pourrais donc mettre en relief que la dépendance / le conformisme s’imprègne la modernité solide autant que le principe de l’immanence des vies de peuple au souverain laisse apparaitre l’écart existant entre les peuples et la famille de souveraine.

Dans ce contexte, il apparait évident que la liberté s’apparente à la famille de souveraine lorsque la dépendance s’incarne par les peuples telle que l’art de l’arrangement des espaces dans la modernité solide dévoile cette dichotomie : les châteaux – le palais symbolise l’emblème cardinal de la liberté tandis que l’espace publique se perçoit en tant que le berceau des dépendances dans la modernité solide. Je pourrais ainsi mettre en relief que le langage de la famille souveraine gouverne / cultive la vie nue à l’égard d’estime personnelle / familiale pour continuer à la longévité de dynastie de la famille souveraine voire être unicorne. En outre, le pouvoir dans la modernité solide s’incarne par la famille de souveraine lequel maitrise la langue dévoile la vie dichotomie entre les dépendants (peuples) et la famille souveraine : le coutume / l’habitus lié à l’intelligence s’identifie par la famille de souveraine en tant que l’emblème cardinal de la liberté tandis que le coutume / l’habitus lié aux servants élucide que la modernité solide définit le lieu de confidence / liberté par le château / le palais lequel est l’emblème cardinal de pouvoir s’identifiée par supériorité, singularité et solidité tandis que l’espace publique s’incarne par le lieu de déviance / dépendance que la misère de peuple l’illustrent.

Je pourrais donc déduire que la matrice de quotidienneté dans la modernité solide s’incarne par le pouvoir pastoral / le pouvoir absolu de la famille de souveraine que la maitrise de la langue, l’appartenance à la famille souveraine, la vie dans le château / palais, l’habitus lié à l’enrichissement culturelle / intellectuelle, la domination masculine / religion et l’être unicorne / singulier sont la pierre angulaire de la liberté. Vu que la langue de souveraine symbolise le pouvoir en tant que l’interlocuteur de Dieu, les peuples perçoivent comme dépendante / obéissante que David Riesman le diagnostic par la notion intitulée traditionnel directed type : obéir sans toutefois réfléchir sur le contenu puisque ce que la famille de souveraine affirme, se perçoivent comme le crédo de quotidienneté. En outre, les différences / la vie nue condamne à  ex – cepter par le cité, c’est-à-dire vaporiser puisque l’enjeu crucial de la modernité solide s’appuie sur l’être unicorne lequel ignore les différences. Dès lors, personne n’ose à déclarer l’opinion ou bien à faire commentaire à propos de décision de souverain sinon la colère en vitrine laisse apparaitre au-dessus de différences / la vie nue : ex – ception ou bien exemple puisé sous les yeux de peuples pour renforcer le pouvoir de souveraine. Je pourrais ainsi recapituler que les différences / la vie nue condamne à vaporiser dans la modernité solide car l’harmonie dans la société est dû à la langue unique de souveraine.  Parallèlement à cela, je pourrais élucider la pierre angulaire de la liberté dans la modernité solide par le triangle de « amour – esprit – honneur ». Je pourrais donc mettre en relief que les différences pourraient acquérir le respect / la visibilité/ la liberté par le truchement de la subordination de l’être / de la famille souveraine / dépendante/ assujettissante sinon les différences s’incarnent par la vie nue voire hors des normes masculin / religion telle que la vie nue condamne à vaporiser convenant au principe de « faire mourir laisser vivre » afin de procurer la longévité de la dynastie.

Par conséquent, je pourrais mettre en relief que la maitrise de la langue souverain contrôle / gouverne la quotidienne que ceci bouche la voie de la mélancolie voire construise les failles entre les peuples et la famille souveraine telle que les jeux de castration en tant que le pilier crucial de la solidité le laisse apparaitre : la langue de souverain est la chaine cardinale de la liberté au fur et à mesure que la domination masculin / religion joue le rôle cardinal en ce qui concerne le gouvernement de la vie nue. Ceci me revendique la phrase cruciale de Virginia Woolf : « Les pensées / les regardes pourrait être la cage de la réalité / liberté… »

Je pourrais donc conclure que « ce qui / qu’est solide condamne à vaporiser » telle que la modernité liquide le dévoile par le remplacement des espaces : « l’honneur » est le point achille des nobles que les bourgeois contournent la quotidienneté en liquide. De l’exprimer de manière diffèrent, « l’honneur – l’esprit – l’amour » en tant que la pierre angulaire de la modernité solide transforme en « gravitas – nobilitas – dignitas » dans la modernité liquide. Comme le met en relief Virginia Woolf « There is nothing staid nothing settles in this world”… La prévue réside dans la modernité liquide lequel hante la modernité solide…

Réfléchir sur la Modernité (1/5)

Edward Hopper

La condition cruciale de la modernité est l’être homo-faber »

Hannah Arendt

« Ce qui est fluide s’incarne par le recyclage / la métempsychose »

Ozden Turhan

Introduction

Je pourrais élucider que l’énigme de la modernité s’avère par la rencontre avec les différences lequel se représentent l’omnivalent de quotidienneté convenant à la perception de la liberté telle que je pourrais donner l’acception de la modernité par la co – existence auprès de différences si idyllique que les êtres ne sont pas subordonnés les uns des autres. Donc, la mélancolie laisse apparaitre la fusion de différences en tant que la co- existence dans la singularité. Partant de ce postulat, je pourrais mettre en exergue que la modernité s’incarne par le complexe de quotidienneté. De même, la pierre angulaire de la modernité s’appuie sur la construction de pont entre le passé et le présent que la négociation engendre la co -existence auprès de différences sous le toit de la démocratie, culture et du droit… Il apparait donc évident que la modernité se réfère à la mélancolie selon laquelle le temps coule circulaire comme le temps Heraclitus que les principes et les désœuvrements des habitus entrainent à se débarrasser par la circonstance de même destin… Je pourrais déduire ainsi que la modernité ne se reflète que le présent en négociant le passé et le présent. Ceci illustre le changement perpétuel, c’est-à-dire l’évolution infinie telle que la modernité s’exhibe la fluidité de temps ainsi que celle de quotidienneté.

Pourtant qu’arriverait – il si la négociation entre le passé et le présent sont en impasse et / ou engendrent la subordination ? C’est là où l’éloignement de présent et donc quotidienneté commence : la tradition. En faisant la référence à ma thèse de licence en sociologie « le dilemme commun dans les films de Yavuz Turgul : la tension entre la modernité et la tradition », je pourrais expliquer l’acception de tradition par le passé voire par le rétif aux changements que ceci dévoile linéaire du temps selon lequel le coutume / l’habitus et le mode de vie bouche la voie de la négociation entre le passé et le présent. Dès lors, l’échec de la négociation auprès de différences laisse apparaitre conformisme et / ou intersectionnalité que ceci illustre la mutation de quotidienneté : le basculement des espaces à l’égard de capital, c’est-à-dire la mutation de la famille à l’identité. Je pourrais donc recapituler que la tradition s’identifie par la répétition de la même quotidienneté sans toutefois reconnaitre les différences telle que le coutume / l’habitus met en scène la convergence en ce qui concerne le mode de vie entre les aristocrates et les bourgeois. La preuve réside dans la distinction des espaces de liberté… De l’exprimer de manière diffèrent, la tradition se réfère à l’amalgame de phase noire et jaune de mélancolie en tant que le passé / la fatalité de la même matrice de quotidienneté telle que ceci laisse apparaitre linéaire du temps : le remplacement, la dialectique, la dichotomie, la mutation de matrice de la quotidienneté en tant que passé.

Dans ce contexte, je pourrais mettre en relief que la matrice de la quotidienneté ancrée dans le passé / tradition s’exhibe à la fois la solidité et la liquidité telle que la rencontre avec les différences condamne à passer par mal excessive… De l’exprimer de manière diffèrent, la tradition s’identifiée par l’ironie de quotidienneté engendre la société de la colère que ceci illustre les jeux de castration / d’envie afin d’assurer la robustesse de familles et / ou celle d’identités dans l’espace dès lors que la modernité solide ainsi que la modernité liquide exposent la quotidienneté en tant que l’union des identiques c’est la raison pour laquelle les différences se perçoivent comme la menace / le danger pour la longévité de la famille au pouvoir et / ou de l’identité prégnante dans la modernité solide / liquide telle que la plume de Woolf le dévoile ainsi : There are distinctions… There are order in this world… » pourquoi ?

A Quoi Sert La Punition ? (6/6)

Corinne Mercadier

Conclusion

La sécurité dérive de la punition ou la cultivation ? L’intimité pourrait être le point achille des gens ou bien l’intimité devrait être protéger par les droits ? Lequel est important : la longévité / continuité éternelle des élites ou bien la volonté générale de société ? Le racisme ou bien l’humanité ? La culture assure -t – elle l’harmonie sociale ? Pourtant pourquoi existe – t -elle la prison ? La prison est le lieu de réhabilitation / cultivation sans stigmatiser les gens ou bien la prison sert à produire reproduire les tributaires ou bien la prison assure l’écart existante entre les élites et les autrui dans la modernité liquide ? Or, la prison n’est que l’acquisition du pouvoir absolu ? A quoi sert la punition ? Punir se réfère à sanctionner – castrer ou bien punir s’apparente à comprendre – cultiver ?

Tout au long de cette recherche intitulée « A quoi sert la punition ? », je me penche sur la question de punition en tenant compte tous les versant que je pourrais envisager… Je forge la notion de biopolitique ciblée et celle de biopolitique ad – hoc pour mettre en scène la nuance de racisme / violence des élites à l’égard de diffèrent type de quotidienne : De la violence identitaire / religieuse / familiale à la violence psychologique. De l’exprimer de manière diffèrent, biopolitique ciblée se réfère à la mutation de biopouvoir que les prisons sont considérées les lieux des exemples puisés pour inculquer le pouvoir absolu des élites tandis que biopolitique ad – hoc s’apparente à l’art de transfert que Baudrillard l’élucide par simulacre puisque les prisons sont devenues les lieux de reproduction / production des esclaves / tributaires / agent sociaux en tant que « quiet cat » des élites. Vu que la pierre angulaire de biopolitique ad – hoc s’appuie sur les créations des obstacles comme si naturelle, « quiet cat » permet de cacher le racisme / la violence / la supplice des élites voire convertir le fait politique en celui de fait divers. A la différence de biopolitique ciblée, biopolitique ad – hoc ne cible donc que l’individu / la famille que le culte réactionnaire du passé laisse apparaitre le pouvoir déesse des élites dans la modernité liquide.

Dans ce contexte, il apparait évident que la punition est la pierre angulaire de pouvoir absolu et / ou pouvoir déesse des êtres dans la modernité liquide telle que « le dilemme commun de biopolitique » le laisse apparaitre « la création des canyons entre les élites et les autrui que ce soit par habitus ou art de transfert.»

D’ores et déjà, il apparait évident que la punition sert à castrer / consommer / sanctionner le parasite lequel s’identifie par la menace pour la longévité / la continuité éternelle des élites. Le racisme donc est la force motrice de la punition dans la modernité liquide…

Comme la photographe Corinne Mercadier illustre la dissolution des jeux psychologiques des élites que biopolitique ad – hoc le dévoile : du symbole de racisme définie par l’emblème de l’éternité au ruban. Ceci laisse apparaitre que la culture pourrait résoudre la nœud des élites symbolisée par l’emblème de l’éternité puisque biopolitique ad – hoc s’avère en même temps le nouveau vague de racisme faite par les jeux psychologiques que je l’élucide par envie reflété lequel bouleverse tous les jeux dangereux des élites… Ainsi le symbole d’éternité contourne en ruban…

Par conséquent, l’énigme de racisme exercée par les jeux psychologiques des élites surgit sur la surface par le concept intitulé « biopolitique ad – hoc » et « Art de transfert » que les élites les font pour procurer / acquérir le pouvoir que la punition le dévoile… Ainsi c’est le temps de changement dans la modernité fluide : de la punition à la cultivation telle que la transformation de symbole d’éternité en ruban fait allusion à la fin des jeux dangereuses des élites…. Grace à la science, la punition pourrait se remplacer par la cultivation dans la modernité fluide puisque le chiffre de biopolitique est décodé par envie reflétée et art de transfert…

A Quoi Sert La Punition ? (5/6)

Jérôme Bosch

Chapitre IV : La punition est la tactique pour accéder au pouvoir ou la cultivation ?

Si l’art de la cultivation inhérent à la modernité liquide s’explique par biopolitique ciblée et biopolitique ad – hoc, je pourrais mettre en exergue que le « quiet cat » s’imprègne le motif crucial de la punition… pourtant, que signifie le « quiet cat » à l’égard de la punition ? La majorité de sociétés pourrait constater les gens lequel ne parlent pas mais surveillent de près autant que l’enjeu crucial de « quiet cat » s’apparente à la création de vagues au-dessus des autrui mystères pour faciliter à faire « art de transfert » voire pour s’intégrer à la société en tant que membre / social agent de communauté/ groupes sociaux. De l’exprimer de manière diffèrent, ceci m’oriente vers le cheminement intellectuel de Michel De Certeau à propos d’accéder au pouvoir :

  • Biopolitique ad – hoc s’apparente à la stratégie des élites pour camoufler tous les défauts/ fautes / culpabilité / racisme/ violence etc… par la création des obstacles / pièges comme si naturelle…
  • Les « quiet cat » (Las Meninas) se réfère à la tactique des élites pour relentir du temps voire convertir la quotidienneté et la réalité sociale telle que les « quiet cat » (agents sociaux – las meninas) agissent comme si membre des institutions afin de créer les vagues au-dessus des autrui pour les tomber en piège / humilier/ culpabiliser…

De même, le nouveau vague de racisme inhérent à la modernité liquide élucidait sous la plume de Virginia Woolf ainsi : « Les pensées les regardes pourrait être la cage de la réalité / liberté ». De surcroit, la plume de Sartre l’illustre par la métaphore de l’enfer : « L’enfer c’est l’autrui ». Parallèlement à Sartre, Jack London met en relief la violence/ le traitement sans égards / sans respect des élites par la métaphore de « dent blanche » …. En ce qui concerne en art, Goya, Bosch, Velázquez, Hopper, etc… dévoilent le racisme / la violence / la supplice des élites par les regardes lucides / l’obscurité / la distinctions/ la hiérarchie. Je pourrais ainsi déduire que la punition se réfère à tactique pour accéder au pouvoir telle que Balzac l’illustre par « Cousine Bête » lequel manipule mademoiselle pour se remplacer : art de transfert…Dans ce contexte, « quiet cat » assure tous les intentions publiques convenant à biopolitique ad – hoc pour que le racisme des élites se déguise derrière des obstacles faite comme si naturelle telle que Michel Foucault laisse apparaitre le panorama crucial à propos de « dilemme commun de biopolitique » dans les œuvres intitulées « la naissance de prison », « la naissance de hôpital ». « Histoire de la folie », « les mots et les choses », etc… Dès lors, biopolitique ciblée définit la punition en tant que la création des canyons entre les élites et les autrui défini que les prisons le dévoilent tandis que biopolitique ad – hoc se traduit la punition par art de transfert que les autrui mystère sont disparait / métamorphose dans le temps lequel se réfère à black – hole… Les écoles, les hôpitaux, l’espace privée, etc. sont devient ainsi le lieu de trans, métamorphose pour que la violence / la supplice / le racisme des élites s’aperçoit comme si naturelle ou bien comme Robert Castel met en exergue que les lieux de trans permettent de se sentir coupable aux innocences pourtant il n’y avait jamais le choix en sécure puisque chaque choix des autrui est bien calculée par les élites pour tomber en piège aux autrui.

Par conséquent, je pourrais recapituler que la punition sert à la fois la distance entre les élites et les autrui et « faire baigner », « art de transfert » c’est la raison pour laquelle Henri Lefebvre met en exergue que les habitus ne sont guère ramifiés aux sociétés pourtant les discours permettent de lever le voile ce qui se déguise derrière des costumes. Il apparait donc évident que la punition sert à manipuler le parasite pour continuer éternellement la dynastie telle que biopolitique ciblée et biopolitique ad – hoc illustrant l’exigence de pouvoir absolu auprès des élites que les hôpitaux, les écoles, l’espace prive, etc. sont aussi devient les lieux de trans…

A Quoi Sert La Punition ? (4/6)

Giorgio de Chirico

Chapitre III : L’affinité entre sécurité / intimité et punition

L’affinité crucial en ce qui concerne la sécurité / intimité et punition dans la modernité liquide s’appuie sur l’ignorance de la volonté générale lequel assure l’harmonie social auprès des différences. Je pourrais donc mettre en exergue que :

« Lorsque la sécurité / intimité s’apparente à la fois à la longévité éternelle des élites et au débarrassement des chaines par le moyen de l’art de transfert, punition ne se réfère qu’à l’envie reflété telle que la majorité des écoles, des hôpitaux, etc. servent à ce but… »

Pourtant il apparait le dilemme à propos de biopolitique puisque si biopolitique s’apparente ex – ception des identités défavorisées alors comment puis – je élucider l’énigme de punition définie par envie reflété par biopolitique ? En outre, jusqu’à la modernité liquide la biopolitique ne se réfère qu’aux violences / exception des identités défavorisées mais toutefois il apparait le versant individuel de biopolitique dans la modernité liquide. De même, la réflexion sur le dilemme commun de biopolitique s’oriente Foucault vers l’analyse de naissance de prison/asile/hôpitaux pour saisir l’affinité entre le pouvoir et les institutions dans la période de la transition de modernité solide à la modernité liquide. De surcroit, je comprends par Foucault, notamment par les cours de Collège de France, que le dilemme commun de biopolitique s’appuie sur la question d’autrui, de sécurité et d’intimité telle que Foucault l’élucide dans l’Histoire de la Folie lequel laisse apparaitre l’énigme de nuance entre la biopolitique exercée dans la modernité solide (de la fin de première guerre mondiale au début de second guerre mondiale) et celle de la modernité liquide (de la seconde guerre mondiale à la modernité liquide / quotidienneté). Pour élucider cette nuance à propos de biopolitique, je forge le concept intitulé « Biopolitique Ciblé » lequel s’identifie par la biopolitique exercée dans la modernité solide et le concept intitulé « Biopolitique Ad – Hoc » lequel s’apparente à la biopolitique exercée dans la modernité liquide. Je forge donc le concept de Biopolitique ciblé et celui de biopolitique ad – hoc pour mettre en exergue l’énigme cruciale en ce qui concerne le dilemme commun de biopolitique que Foucault s’était interrogé. A la continuité de Foucault, j’élucide la nuance inhérente à la biopolitique exercée dans différents types de modernité par le suffixe ciblée voire ad – hoc que je pourrais les expliquer ainsi :

  • Biopolitique Ciblée se réfère à la dénaturalisation / la réification de nature que ceci sert à créer le camera obscura en tant que « Tête de Janus » pour renforcer la supériorité éternelle des élites lequel est issus de l’identité homogène caractérisé par l’héréditaire que Hitler explique la biologie aride Allemagne par la manière de cerveau. De l’exprimer de manière diffèrent, biopolitique ciblée s’apparente à la tension entre les identités homogènes définis par biologie que la solidarité mécanique engendre l’accusation / stigmatisation des autrui définis par l’identité opposé des élites telle que ceci suscite la création de l’enfer pour autrui définie lequel s’identifie par l’identité opposée des élites puisqu’il est interdit à maintenir à la vie sociale que le ghettoïsme le dévoile. De même, biopolitique ciblée laisse apparaitre le racisme des élites que la fin de seconde guerre mondiale Hitler était accusé par le racisme. Ceci dévoile la violence contre les identités opposées des élites en tant qu’exemple puisé évoquant le biopouvoir. Je pourrais ainsi déduire que biopolitique ciblée déclare autrui au public en tant que ciblé pour renforcer la sécurité / l’intimité / le pouvoir des élites dans la société.
  • Biopolitique Ad – Hoc s’apparente à la consommation / la métamorphose de nature par la cérémonie de l’art de transfert que « envie reflété » l’élucide : le reflet de « points nœuds communs » aux autrui bien qu’autrui garde toujours l’innocence. Partant de ce postulat, il apparait évident que biopolitique ad – hoc définit autrui en tant que mystère pour ne pas afficher la violence des élites et pour déguiser la violence / la supplice derrière des faits naturels telle que les identités des élites ne sont plus homogènes mais hétérogène / hybride. Vu que la conséquence de deuxième guerre mondiale illustre le racisme de Hitler et que cela permet de juger Hitler, les élites forgent la solution originelle pour cacher la violence / la supplice : la violence / supplice faite comme si naturel voire l’acquisition des identités hybride / hétérogène que ceci permet de faire la trans au cas où les fautes / la violence des élites surgit sur la surface. Il apparait donc évident que l’identité hybride / hétérogène assure le camouflage de racisme / de violence / de méchancetés que les élites font / faisaient / feront pour déboucher l’émergence des cas politique que les guerres mondiales le laissent apparaitre. En outre, l’identité hybride / hétérogène sert à cacher / camoufler tous les méchancetés des élites lesquels font comme si naturelle / fait divers / faute des autrui mystère telle que Robert Castel élucide le nouveau stéréotype de violence des élites par : le sentiment de culpabilité puisque l’énigme de violence mystère des élites s’appuie sur fait sentir coupable que ceci ne permet jamais l’émergence des sujets politiques pour demander le droit telle que Hannah Arendt l’explique ainsi : « lors de supplice de Hitler, je me sens hors – humaine… humiliations… accusations… rendre coupable… ».

Dans ce contexte, je pourrais élucider la nuance entre biopolitique ciblée et biopolitique ad – hoc par le tableau intitulé « Le dilemme commun de biopolitique » ainsi :

Le Dilemme Commun de Biopolitique

QuotidiennetéPhase de transition de la modernité solide à la liquidePhase de liquide
Phase de la mélancolieNoir – JauneBlack – hole
Type de biopolitiqueBiopolitique cibléeBiopolitique ad – hoc
ParasiteAutrui Définie (Identité – Religion Homogène)Autrui Mystère (Hétérogène – intérêt des élites)
Science – politiqueDoubletique (Tête de Janus)Doubletique (comme si naturel) Bluring the real and fake
SacréElites issus des identités favorisés – homogèneElites issus des identités favorisés – hétérogène / hybride
ConscienceIdentité – famille – religionIntérêt – Devoir être supérieur
ArtAccuser – stigmatiser – enfermerHumilier – Rendre coupable – rendre fou – rendre malade
PsychologieTrouble mental – envie – paranoïaTrouble mental – envie reflété – schizophrénie
CultureHabitusArt de transfert
Interaction socialeSymboleCode social / Mythe crée artificielle
Type de solidaritéMécaniqueLucrative
Ramification SocialeClassCommunauté hétérogène -strates
Social CaractèreOther – directedInavouable – trans
OccupationIndustrie – bureaucratieSurveillance – ostentatoire
SociologieCommunauté – homogèneRéactionnaire du passé Groupe sociaux hétérogène
EnjeuConformismeIntersectionnalité
Lieu de vaporisation / liquidationPrison – ghettoEcole – Hôpitaux – Maison
AutruiInterditeConsommer / Métamorphoser
SécuritéAbsence d’autrui définieConsommer autrui mystère
IntimitéLa vie nue – ghetto / prisonS’insinuer à la maison de manière illégale
PunitionPrison – ghetto – stigmateHumilier – Rendre coupable – outsider

A l’instar de de tableau intitulé « le dilemme commun de biopolitique » sur lequel la nuance entre « biopolitique ciblé » et « biopolitique ad – hoc » est illustré, je pourrais mettre en exergue l’enjeu crucial de ce dilemme par la divergence entre intersectionnalité lequel s’apparente à biopolitique ad – hoc et conformisme lequel se réfère à « biopolitique ciblé ». Stricto sensu, « intersectionnalité » s’identifie par la juxtaposition des opposées (producteurs et consommateurs) en tant que dialectique dans le même linéaire du temps pour que l’art de transfert se réalise naturellement.

Dans ce contexte, il apparait évident que la philosophie cardinale de biopolitique ad – hoc s’appuie sur « faire vivre faire mourir » telle que le dessin animé intitulé « Ben 10 » dévoile la philosophie cardinale de biopolitique ad – hoc par le symbole de montre lequel s’apparente à l’arrangement du temps que les réactionnaires du passé convertissent la réalité en parodie / pastiche : « trans » lequel s’incarne la dualité / hypocrisie des élites et de même « history recovered ». De surcroit, je pourrais mettre en exergue que la pierre angulaire de biopolitique ad – hoc s’appuie sur le lieu de « intersectionnalité » des opposés : écoles de traditionnelle et école de transfert, hôpitaux, asiles et maison / appartement (l’espace privé) puisque la consommation / liquidation / métamorphose des autrui mystère sont due à humilier / rendre coupable / rendre malade / rendre fou pour que la violence / la supplice des élites perçoivent comme naturelle /  comme si les obstacles – dangers dérive de Dieu. La preuve réside dans l’augmentation des programmes à propos de magasine lequel s’insinue à la vie privée des célèbres sans aucune permission voire technologies / les utiles smart etc. engendre le nouveau stéréotype de pénétrer à l’espace privé des gens pour les humilier / excepter par la société. Je pourrais donc mettre en exergue que le biais crucial de biopolitique ad – hoc se réfère à l’espace privé / la vie privé bien que ceci est illégal et interdite. Ce nouveau vague de violence laisse apparaitre le racisme des élites voire l’incapacité de séparer l’espace publique de l’espace privé que Frederick Jameson l’élucide par allégorie. De même, la pénétration des espaces privé sans aucun permission / illégalement évoqué la théorie de Agamben à propos de pouvoir souveraine : la peuple se ramifie en tant que la vie nue et la vie politique telle que la surveillance / la pénétration de la vie privée laisse apparaitre l’enjeu crucial de pouvoir inhérent à la modernité liquide : pouvoir pastoral et la mutation de pouvoir souveraine en tant que pouvoir élites. Partant de ce postulat, je pourrais mettre en exergue que le racisme de élites surgit sur la surface par humiliation /scandales liée à la vie privée puisque ceci dévoile les autrui mystère considérée en tant que la vie nue et donc je pourrais élucider que le pouvoir est défini par pouvoir pastoral lequel est loin de démocratie mais proche de monarchie / oligarchie. Etant donne que la violence / la supplice des élites se déguise derrière des humiliations / scandales à propos de l’espace privé / la vie privé, les autrui mystère ne pourraient jamais se considérer en tant que la vie politique telle que biopolitique ad – hoc suscite à convertir le racisme des élites : de la politique au fait – divers. En outre, biopolitique ciblé laisse apparaitre le racisme lié à excepter les autrui définis par l’espace publique que ceci engendre l’émergence des vie politique que le résultat des guerres mondiales le laisse apparaitre, tandis que biopolitique ad – hoc dévoile / se cache le racisme lié à humilier les autrui mystère dans l’espace prive / la vie prive que ceci bouche l’émergence des vies politiques voire contourne ce que / qui est politique en fait divers lequel projettent à la fois le racisme des élites par les motifs naturel que intimité joue le rôle clé de convertir la réalité en pastiche, c’est-à-dire bluring the real and fake lequel est la tactique crucial des élites pour projeter tous les défauts – méchancetés aux autrui mystère.

Je pourrais donc mettre en exergue que la pierre angulaire de « histoire de la folie » s’appuie sur l’explication de nouveau vague de racisme puisque la folie n’est plus malaise mais Foucault élucide la folie en tant que trouble mental lié à social structured. Partant de ce postulat, il apparait évident que biopolitique ad – hoc laisse apparaitre la folie comme le mécanisme de maquiller le racisme des élites dans la modernité liquide telle que le film intitulé Tatie Danielle voire Panther Rose l’illustrent : Exister ou N’exister pas. Je pourrais ainsi élucider que biopolitique ad -hoc permet de camoufler le racisme des élites en se déguisant derrière des jeux d’envie / malaise pour acquérir le pouvoir et en même temps pour ne pas afficher le racisme. Pourtant il me faut mettre en relief que biopolitique ad -hoc laisse apparaitre à la fois le trouble mental des élites et l’innocence des autrui mystère puisque la modernité liquide s’avère l’époque de technologie selon laquelle tous les violences / supplices des élites faite comme si naturelle pourrait être explicable sans tomber la piège de rendre fou car biopolitique ad – hoc s’apparente au vecteur de pouvoir souverain lequel contrôle / gouverne tous et donc ceci permet d’élucider tous les jeux dangereuses des élites du fait que les élites contrôle / gouverne la vie des autrui mystère lequel sont considéré comme la vie nue telle quel la notion de « Envie reflété » illustre l’énigme de biopolitique ad – hoc : la projection des fautes / défauts des élites aux autrui mystère par les jeux d’envie / malaise cependant les autrui mystère gardent l’innocence. Dans ce contexte, l’exhibition du pouvoir des élites s’appuie sur envie reflété que biopolitique ad – hoc l’illustre tandis que biopolitique ciblée s’avère le pouvoir par envie transfère que ceci permet d’afficher le racisme des élites. Vu que l’enjeu crucial de biopolitique ad – hoc s’adosse au racisme fait comme si naturelle par les jeux psychologique le lieu de métamorphose / consommation des autrui mystère transforme en les appartements / les maisons que Chirico l’illustre sur les tableaux par intersectionnalités des maisons. Pourtant ceci suscite la disparation dans le temps évoquant black – hole. Je pourrais donc déduire que biopolitique ad – hoc laisse apparaitre le nouveau vague de racisme : violence psychologique, abus technologique, humiliation pour la vie privée / l’espace privée que le film intitulé « Birdman » le liasse apparaitre : la colère mystère, envie reflété, intersectionnalité et art de transfert…

En ce qui concerne biopolitique ciblée, je l’élucide par le concept intitulé « conformisme lequel s’apparente à « école de traditionnelle » où la reproduction / production de « Las Meninas » s’avère la manière de l’éducation « soumettre les dogmes / credo des élites. Davis Riesman l’élucide par « other directed type » en tant que mass puisque « Las Meninas » obéissent sans toutefois réfléchir sur le contenu /contexte mais agissent à l’égard de la « sollicitude personnelle ». De l’exprimer de manière diffèrent, « Las Meninas » dévoilent la solidarité mécanique que Durkheim l’élucide car « Las Meninas » agissent en tenant compte « estime personnelle » lequel est loin de « volonté générale ».

Il apparait donc évident que « biopolitique ciblée s’apparentent à l’amalgama de biopouvoir à biopolitique puisque « gaze – monitoring – surveillance » sert à punir par la colère en vitrine que ceci dévoile le pouvoir lié à l’exhibition de violence / supplice en tant qu’exemple puisé que les camps arides de Hitler le laisse apparaitre. Dans ce contexte, je pourrais mettre en relief que les prisons voire les ghettos se réfèrent à la procuration de distance / l’écart existante entre les élites et autrui définies lequel sont interdites à maintenir à l’espace publique voire partager le même habitus des élites. Etant donné que biopolitique ciblée sert à la création de l’enfer pour les autrui définies, les prisons et le ghetto se réfèrent à la fois le lieu de vaporisation / liquidation et la punition s’appuie sur l’absence des autrui définies que ceci dévoile à la fois le racisme lié à l’identité / à la religion / à la famille et à la colère en vitrine des élites dans l’époque de transition de la modernité solide à liquide. Je pourrais donc recapituler que biopolitique ciblée laisse apparaitre la mutation de racisme : violence identitaire/ religieuse / familiale, la colère en vitrine, exception, conformisme et interdiction / stigmate…

Par conséquent, je pourrais mettre en exergue que « Le dilemme commun de biopolitique » par la nuance entre biopolitique ciblée et biopolitique ad – hoc ainsi : Lorsque biopolitique ciblée s’identifie par binôme des identités convenant au concept conformisme, biopolitique ad – hoc se traduit par polynôme des identités convenant au concept intersectionnalité. Dès lors, biopolitique ciblée vise à créer l’enfer pour ex – cepter / stigmatiser les autrui définies tandis que biopolitique ad – hoc ambitionne à faire simulacre / pastiche de réalité comme si naturelle pour consommer / métamorphoser / humilier les autrui mystères. Je pourrais donc mettre en exergue que les écoles, les hôpitaux, les maisons / appartement sont devient les lieux de trans, d’art de transfert pour déguiser la violence / le racisme / la supplice des élites dans la modernité liquide que biopolitique ad – hoc l’élucide. De l’exprimer de manière diffèrent, « biopolitique ad – hoc transforme la violence / le racisme / la supplice des élites ainsi :

  • De la violence physique / identitaire / religieuse à la violence psychologique… et la violence corporelle…
  • Les prisons ne sont plus pour le lieu de l’enfer pour procurer l’écart existante entre les élites et les autrui définies que biopolitique ciblée l’illustre pourtant les prisons s’apparentent aux lieux de la reproduction / production des tributaires / esclaves / social agent pour manipuler / liquider les autrui mystère comme si naturelle.

Dans ce contexte, je pourrais mettre en exergue que l’affinité entre la sécurité/ intimité et la punition ne dévoile que la volonté de pouvoir par les élites en ignorant la volonté générale telle que la biopolitique ciblée et biopolitique ad – hoc permettent d’illustrer le rôle crucial de l’intimité afin d’assurer la sécurité des élites en exceptant / en punissant / en consommant les autrui :

  • Biopolitique ciblée définie l’intimité par « ghetto » en tant que l’emblème cardinal de la vie nue…
  • Biopolitique ad – hoc définie l’intimité par « maison / appartement » en tant que l’emblème cardinal de la vie nue…

Je pourrais ainsi déduire que la formule cruciale de racisme s’appuie sur l’affinité entre sécurité / intimité et punition. Conséquent, l’affinité entre sécurité / intimité et punition ne sert qu’à la continuation éternelle des élites que biopolitique ciblée et biopolitique ad – hoc l’illustrent. Je m’enquiers donc si la punition se réfère à la cultivation ou à la tactique pour accéder au pouvoir dans la modernité liquide ?