Lors des situations et des cas impasse… je retrouve avec mon enfance pour la mise en scène « je garde l’espoir comme les enfants… »
C’est seulement les enfants pourraient croire les miracles… dès lors que les enfants ne connaissent pas encore ce que « Parachute », « Dorian », « Tempête » sont…
Il n’y a que le monde comme si tout en rouge ou bien rose pour eux…
Les miracles…
Le retour éternel d’Ulysse, s’agit-il l’espoir des enfants… ?
Pourtant c’est l’espoir suscite à battre la cœur…
Sinon l’obscurité tombe et nous amène vers les portes de Dorian… l’obscurité…
Les miracles…
Les vagues pourraient-elles nous porter aux époques où nous espérons pour l’avenir encore… ?
Est-ce que c’est le temps de « quoi que je fasse il y a toujours l’obstacle » ou bien celui de « l’espoir pour l’avenir »… ?
C’est la vie… dans le temps de la modernité liquide…
Lorsque les femmes néants transforment la société en communauté, les femmes idylliques condamnent à « consommer »
Doubletique… Langages…
Rumeurs… Intention Publiques…
C’est la vie…
Virginia Woolf élucide – t – elle l’énigme de la vie dans la modernité liquide : « Les pensées, les regardes pourrait être la cage de la liberté / réalité »
C’est la vie et la vie est liquide…
Les femmes idylliques mais exterminés condamneraient-elle à disparaitre / consommer pour que les femmes néant continuent à la Dynastie ?
C’est la vie…
Remplacement… Familyice…
Aliénation en soi… Bio-politique…
C’est la vie…
« There is nothing order nothing settled in this universe» disait -elle Virginia Woolf
Pourtant comment la vie liquide se transforme en celle de fluide ?
Fluidité… Empathie…
Culture… Bizarrerie…
Négociation… Paix…
The manners of vibrations…
C’est la vie…
La vie s’appuie sur le culte – pouvoir…
C’est la vie… dans le temps de la modernité fluide…
Les femmes idylliques diluent la culture, la cultivation en soi, et la création dans le monde entière…
Démocratie… Droits…
Politique… Science…
C’est la vie…
«La condition cruciale de la modernité fluide est l’être Homo – Faber » disait – elle Hannah Arendt…
C’est la vie et la vie est fluide au fur et à mesure que la démocratie s’imprègne la société…
Le temps de Héraclitus transforme l’obscurité en lumière…
Les questions suspendent en tant que l’emblème cardinal des jeux des femmes néants…
Soit changer les sujets… soit soumettre les prétextes convainquant…
Ceci pourrait s’exhiber la manière de la politesse ?
Pourtant que signifie « la vie » ?
Who knows… who knows… who knows…
Qu’arriverait-il si les différences s’unissent sous le même toit ?
Les jeux de survivre ou l’art de la produire préconise ?
C’est le temps de créer ou tricher ?
La montre coule comme le temps de Héracleitos ou
La montre suspend comme la pendule de Foucault ?
Who knows… who knows… who knows…
La nature pourrait – elle dupliquer elle – même ?
Est-ce que chacun.e pourrait remplacer par l’un à l’autre ?
Pourquoi les caractères de Rushdi pas de personnalité ?
Si Proust était ici, l’auteur aurait dit – il « c’est les souffles du vent afin d’être « swan » » ?
Pourtant Mrs Dalloway pourrait – elle résoudre de vivre au sein de « Man’s world » par les fleurs ?
Who knows… who knows… who knows…
Lorsque la vie est bouleversée et que la question de la liberté est en impasse et que Dorian supprime tous comme le processus de rendre acculturalisation ou bien métamorphose
On pourrait survivre sans les symboles et les possessions ?
Who knows… who knows… who knows…
Est – ce qu’on peut flotter comme les oiseaux si la question de la vie est en impasse ?
Who knows… who knows… who knows…
La création / la production suffit – elle à survivre ?
Who knows… who knows… who knows…
Les vagues ou l’océan s’avère l’énigme de l’existence ?
Est-ce que la question de « Who I am » s’explique la manière de temps ?
La vie solide, liquide ou fluide ?
Who knows… who knows… who knows…
La vie est ailleurs ou la vie est partout ailleurs ?