Mélancolie et Paul Verlaine : “Claire De Lune”

Votre âme est un paysage choisi

Que vont charmant masques et bergamasques

Jouant du luth et dansant et quasi

Tristes sous leurs déguisements fantasques.

Tout en chantant sur le mode mineur

L’amour vainqueur et la vie opportune,

Ils n’ont pas l’air de croire à leur bonheur

Et leur chanson se mêle au clair de lune,

Au calme clair de lune triste et beau,

Qui fait rêver les oiseaux dans les arbres

Et sangloter d’extase les jets d’eau,

Les grands jets d’eau sveltes parmi les marbres.

Le poème publié sous le titre « Fête Galante » en 1869 présente en effet une parfaite image du climat psychologique qui caractérise ce recueil : dans ces trois quatrains de décasyllabes aux rimes croisées, le poète décrit des êtres et des choses baignés d’une même mélancolie, alors que la scène est censée être joyeuse. En outre, la ligne directrice de ce poème réside dans la double tonalité : à une tonalité joyeuse associée à une ambiance festive se superpose une tonalité mélancolique, qui l’emporte à la fin. Cette ambivalence entretient un lien avec le thème du déguisement, qui oppose le monde du paraître à celui de l’être.

Lorsqu’on examine à ce poème avec plus détaillée, dans le premier quatrain, le thème principal en est que : c’est une fête manquée. C’est à dire la première strophe nous explique la caractérisation du paysage par les personnages et leurs occupations. Dans le premier vers, on y sent l’influence de Baudelaire puis qu’il éclairage de l’univers intérieurs par référence à un aspect du monde extérieur. Comme par exemple, Baudelaire rédige dans son poème sous le titre de Causerie[1] : « Vous êtes un beau ciel d’automne, clair et rose !» qu’il s’apparente à un compliment galant. On peut aussi penser que le destinataire de ce premier vers est le lecteur, ou le poète lui-même, qu’un souci de discrétion retient d’écrire « mon âme » : en effet, c’est bien un des aspects de son propre paysage intérieur qu’il évoque, un aspect parmi d’autres, ce que laisse entendre l’adjectif « choisi », qui connote aussi la délicatesse des impressions rares. L’âme est comme un théâtre, et toute l’attention se porte désormais sur ce décor imaginaire et sur les mouvements des personnages qui l’animent. Ensuite, dans la troisième vers, l’absence de majuscule exclut la première signification, mais les participes présents qui suivent, « jouant du luth » et « dansant », désignant des actions qui se rapportent à des personnes, excluent aussi la deuxième. Verlaine semble commettre ici une impropriété volontaire en employant ce mot pour désigner des danseurs de bergamasques : l’emploi de la métonymie permet un croisement entre les deux significations, puisque « bergamasques » désigne des personnes, tout en se référant à la danse. Dans ce point-là, il est nécessaire de faire allusion à l’atmosphère qui est celle de la comédie italienne, avec ses danses, sa musique et ses costumes fantaisistes. Le mot « bergamasques » est souvent employé pour désigner Arlequin et Brighella, deux personnages de la Commedia dell’arte nés à Bergame, et les « masques » introduisent également une référence à la Commedia dell’arte, dans laquelle les acteurs jouaient masqués.

Vers la fin de cette quatrain, l’évocation de l’instrument luth introduit de la musique au sein de cette fête galante et ajoute ainsi des sensations auditives aux sensations visuelles produites par les costumes. Mais le luth est aussi, comme la lyre, une métaphore courante de l’inspiration poétique. Le poème s’annonce donc comme un madrigal, qui est une petite pièce en vers, précieuse, qui prend la tournure d’un compliment galant à l’égard d’une femme. Les rimes joignent la rareté (« bergamasques ») à la richesse et la poésie y gagne en préciosité.

Mais ce madrigal prend une tournure paradoxale : l’adjectif « tristes » vient apporter une première dissonance. Il annonce le sentiment verlainien par excellence, la mélancolie, et permet le passage de l’extériorité à l’intériorité : d’abord saisis de l’extérieur comme de gracieuses apparences, les êtres acquièrent en effet progressivement une âme. Dès le troisième vers, le pas de danse reste en suspens sur l’adverbe « quasi » placé en contre-rejet et de ce fait accentué alors que c’est un proclitique : cette hésitation soudaine de la phrase par l’enjambement conduit à un effet de surprise.

Ensuite, dans le deuxième quatrain, on y sent l’accentualisation de la mélancolie. La mélancolie des personnages tranche avec l’apparente insouciance de la fête, qui ne devient qu’une mascarade. On comprend alors pourquoi les « masques et bergamasques », dont l’unité est renforcée par la paronomase, sont employés sans article et restent dans l’indétermination : si les personnages ne sont pas identifiés, c’est qu’ils n’existent que dans le monde du paraître, des apparences. Derrière les masques, qui introduisent le thème de la dissimulation, c’est la mélancolie qui va se révéler : le monde féerique apparaît finalement comme un leurre qui symbolise la grande tricherie de la vie davantage jouée que réellement vécue. S’ils ont voulu se fuir eux-mêmes dans cette fête polie, au milieu des joies frivoles de cette société maniérée, les acteurs inconsistants n’y ont pas réussi : ils dansent, ils font de la musique, mais sont en réalité tristes ou, par une de ces ambiguïtés qu’aime la poésie, n’en donnent pas moins un triste spectacle. Le malaise provient donc du contraste entre l’insouciance de ce qui est fait et dit et l’âme désabusée.

En outre, le poète a abandonné le compliment, la focalisation a changé : du « vous » on est passé au « ils ». Le mouvement se ralentit, on ne voit plus les personnages danser, mais seulement chanter. L’idée de tristesse, annoncée sémantiquement par un seul mot dans la strophe précédente, pénètre progressivement dans le poème. La construction syntaxique « tout en chantant » exprime à la fois la simultanéité et l’opposition des attitudes et des pensées, et annonce la fêlure qu’on peut citer : Le cinquième vers traduit déjà l’ambiguïté des sentiments qui caractérisent les personnages : alors que le verbe « chanter » suggère la gaieté, l’expression « sur le mode mineur », mode intimiste ou mélancolique, connote au contraire la tristesse. Les personnages, qui simulent la gaieté, n’osent être plus qu’une apparence, une silhouette falote, et ne vivent pas les sentiments qu’ils interprètent.  L’enjambement du vers cinq au vers six met en valeur l’opposition des mots « mineur » et « vainqueur » qui forment une rime batelée*, déséquilibrant le vers comme les personnages défient la logique : « l’amour vainqueur » exigerait en effet l’allégresse du mode majeur. Le contenu de la chanson est épicurien : « l’amour vainqueur et la vie opportune » connotent un libertinage frivole  mais la mélancolie est sous-jacente. Cette strophe est construite sur une reprise, autour d’une polyptote : « tout en chantant » est repris par « Et leur chansons », ceci signifié que les deux derniers vers reprennent, pour les contredire, les deux premiers.

Le vers huit est un vers charnière. Le bonheur qui est chanté est un masque auquel les personnages « n’ont pas l’air de croire » : les acteurs ne sont pas dupes, ils semblent déguiser leur âme comme ils ont déguisé leur corps. Cependant, le doute apporté par l’expression « avoir l’air » est la marque d’une volonté de discrétion : l’auteur se contente de noter les actions de ses personnages et suggère seulement ce qu’il croit deviner de leur cœur. La dissonance est accentuée par le jeu des rimes croisées, qui associe à un terme connotant la mélancolie un autre connotant l’allégresse : « mineur » et « bonheur », puis « opportune » et « clair de lune ».  Donc, la deuxième strophe de « Clair de lune » est marquée par une certaine gravité du ton en regard de la nonchalance très calculée de la première. Le décor qui est planté était celui d’une fête, mais les personnages évoluent dans une sorte d’absence, en proie à une inquiétude indéfinissable, apparemment sans cause.

Enfin, le dernier quatrain ne tient plus compte des personnages et de leur agitation, ils ont disparu comme par enchantement : par un nouveau changement de focalisation, on se concentre désormais sur le cadre. Il s’agit d’un parc à la française, avec des grands arbres, des statues et des fontaines, que l’on retrouve dans les peintures de Watteau. Mais c’est à un Watteau reconstruit par la rêverie verlainienne auquel le poème fait référence : alors que Watteau est qualifié par Anatole France de « peintre ensoleillé », c’est un clair de lune qui baigne le parc, et en fait par là même une métaphore de l’âme verlainienne.  Le jet d’eau est encore un thème baudelairien. L’image de ce jet d’eau qui s’élève pour retomber synthétise la thématique centrale du poème : le caractère alternatif du bonheur et de la tristesse et l’ambiguïté des états intérieurs.

Pour conclure, le poème commence avec l’évocation d’une animation joyeuse, sur un univers de fête, puis apparaît la mélancolie profonde sous l’allégresse apparente, sous des dehors élégants et légers La dissonance, annoncée dans la première strophe par un mot, occupe deux vers dans la deuxième et, à la fin du poème, le crescendo lui fait envahir toute la strophe. Le titre « Clair de lune » désigne ici un élément poétique, une façon qu’a Verlaine d’éclairer les êtres : à demi révélés et à demi dans l’ombre, ils restent dans l’indétermination de cet éclairage lunaire. Le monde suggéré l’emporte sur le monde décrit. En conclusion, si j’avais à définir la mélancolie suivant le poème intitulé “Claire de lune” de Verlaine, je dirais alors que : “la mélancolie, c’est de pleurer en riant”.


[1] Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, Calmann Lévy, Paris, p.89

* La fin du vers rime avec le mot qui est à la césure du vers suivant.

Mélancolie…

Albrecht Dürer, Melencolia I.

« Home is like the moon that enlightens the art of life reflected by the stars. »

Özden Turhan

Introduction

La poème intitulée « Claire de Lune » de Paul Verlaine élucide la mélancolie par la singularité dans le pluriel que Jean Luc Nancy le diagnostic en tant que « singulier – pluriels » : la fusion des différences sous le toit de la création / culture / production. Pourtant, il apparait la question cruciale en ce qui concerne l’acception de la mélancolie puisque la mélancolie s’apparente à la fusion des différences pas celle des opposées que le poème de Verlaine le met en exergue par la symbiose de différences… Du fait, « l’opposée » se réfère à la dichotomie évoquant le camera obscura de Marx que ceci suscite la distinction / la hiérarchie dans la société tandis que « les différences » s’apparente à la variété voire à l’ordre culturelle que ceci engendre la ramification / l’harmonie dans la société. Dans ce contexte, je pourrais mettre en exergue que la mélancolie lequel dérive de la fusion des verbes « mêler – co – lier » s’apparente au cult – pouvoir lequel se réfère au pouvoir coulé par le talent divin telle que la cultivation, le consciemment de / en soi, la création … etc. sont la pierre angulaire de cult – pouvoir. Ceci donc laisse apparaitre l’état mélancolique auprès des différences que la métaphore de la lune l’exposé dans la poème de Verlaine dès lors que la lune n’est pas stagnante… la lune se renouvelle / s’écoule / se transforme jours après jour et même la lune se disparait et puis apparait… cette motif de la lune s’apparente à la mélancolie lequel n’est plus stagnante mais ceci variée que le temps de Heraclitus le dévoile par la fluidité du temps puisque l’état mélancolique s’apparente à couler dans le temps circonstancielle que la lune le dévoile c’est la raison pour laquelle le temps Heraclitus est la cure crucial pour empêcher la répétition de la même quotidienne s’exhibée comme si destin / fatalité que la modernité solide / liquide laisse apparaitre la stagnation de temps par le temps linéaire… De l’exprimer de manière diffèrent, le temps de Heraclitus ouvre la voie de la mélancolie que la modernité fluide le dévoile par la fusion de différences à l’égard de l’ordre culturelle… c’est la raison pour laquelle, la mélancolie ne se réfère guère à l’état stagnante / robuste / linéaire mais la mélancolie s’apparente à la fluidité / variété / circonstance telle que la modernité fluide l’assure par cult – pouvoir en tant que l’art de la cultivation : la création de pont / lien entre le passé et le présent pour que les différences soient vivre en harmonie…

Néanmoins, je m’enquiers qu’arriverait – il si la rencontre avec les différences est échouée ? C’est là où la phase noire de la mélancolie surgit sur la surface que M. Hippolyte l’explique ainsi : « la querelle entre les traditionnelles et les modernes ne pourrait jamais achever ».

La maladie de mort : la phase noire de la mélancolie

Le tableau intitulé « mélancolie » de Durer laisse apparaitre la phase noire de la mélancolie par la métaphore de « crâne » pour décrypter la conséquence de rencontre avec les différences : la chute, la solitude, le désespoir et la souffrance. Je pourrais donc mettre en exergue que la phase noire de la mélancolie se réfère à l’échec de rencontre avec les différences telle que Maurice Blanchot l’élucide par la métaphore de lucidité et celle de « sleeping beauty » afin de mettre en exergue la rencontre avec les différences condamne à passer par mal excessif. La preuve réside dans la poème intitulée « Wearness of Tired » de Pessoa lequel fait allusion au chagrin de la co – existence par la métaphore de « larmes » puisque la co – existence auprès des différences est impossible… telle que Marguerite Duras le diagnostic ainsi : « la maladie de la mort » … lequel élucide l’échec de rencontre avec les différences que la phase noire de la mélancolie le symbolise par « crâne ».

Parallèlement à cela, le film intitulé « l’ennuie » met en scène la phase noire de la mélancolie par l’obscurité lequel s’apparente aux sentiments de l’inquiétude, la honte, la peur, … etc. telle que l’un de scène tirée par ce film permet de mettre en scène la rencontre avec les différences se réalise / s’effectue dans l’obscurité que les rideaux fermés le dévoilent : féminine et masculine considérée en tant que « opposées » ne pourrait se retrouver que dans l’obscurité… De même, le film intitulé « mélancolie » laisse apparaitre le vestige de rencontre avec les différences par le sentiment de la fatigue telle que la fatigue s’apparente à la beauté intouchable donc l’échec de la rencontre avec les différences. Dans ce contexte, je pourrais mettre en exergue que l’obscurité, la solitude, l’ennuie et la fatigue sont la pierre angulaire de la phase noire de la mélancolie symbolisé par la « crâne » évoquée « la maladie de mort » puisque la co – existence est en impasse…

Par conséquent, je pourrais déduire que la phase noire de la mélancolie s’incarne par l’écueil en ce qui concerne la symbiose auprès de différences que Paul Auster le diagnostic ainsi : « J’ai créé mon néant… ». De surcroit, Marguerite Duras élucide la chagrin de la phase noire de la mélancolie par la métaphore de la « maladie de mort » car les différences condamnée à vaporiser / ex – cepter… néanmoins, vu que la lune s’apparente au temps de Heraclitus que la trajectoire de la mélancolie se représente, il apparait évident le passage de la phase noire de la mélancolie à celle de la jaune au fur et à mesure que la cultivation en soi, la démocratie, l’égalité en / par droit, etc… s’imprègne la société entière…

La volonté de réveille : la phase jaune de la mélancolie

Je pourrais mettre en exergue que la phase jaune de la mélancolie se réfère au dilemme entre l’obscurité et la lumière que je le diagnostic ainsi : l’arrêt de décision voire la période d’ambiguïté / d’hésitation que Goya l’illustre par les regards ambigüe / hésitant du chien sur le tableau. De même, le tableau intitulé « Melencolia I » de Durer laisse apparaitre la phase jaune de la mélancolie par la métaphore d’escalier voire celle de l’état pensive : lorsque l’escalier symbolise la volonté de réveille, état pensive expose la période d’hésitation / d’ambigüe. La preuve réside dans le tableau intitulé « 02 Mai 1808 » de Goya : la phase jaune de la mélancolie met en scène l’hésitation de changement social voire l’ambiguïté de pouvoir s’exprimes par les yeux / les regardes ambiguë / hésitant / étonnant telle que les couleurs de vêtements symbolisent la pierre angulaire de la phase jaune de la mélancolie puisque jaune et blanche s’exprime à la fois la volonté de réveille et la paix… Je pourrais ainsi mettre en exergue que la phase jaune de la mélancolie s’apparente à la métaphore de la distance entre saturne et le soleil que Paul Auster le décrypte ainsi : « la femme achète le billet de cinéma aléatoirement afin de maintenir dans la société (mêler avec les différences) pourtant la femme hésite d’y intégrer / entrer / maintenir bien que les rideaux sont ouvert et que le corridor est en plein lumière… La femme est debout dans le corridor et elle se mets à regarder aux passagers… ». Dans ce contexte, je pourrais déduire que la phase jaune de la mélancolie s’identifié par l’arrêt / la période pour se débarrasser par le sentiment de peur / crainte / inquiétude de rencontre avec les différences telle que la couleur jaune symbolise la volonté de réveille… Je pourrais donc conclure que la phase jaune de la mélancolie permet de mettre en scène la volonté de réveille lequel suscite la transformation : de la phase jaune de la mélancolie à la phase rouge de la mélancolie.

L’espoir / la joie / la création : la phase rouge de la mélancolie

Le tableau intitulé « mélancolie » de Durer laisse apparaitre la phase rouge de la mélancolie par la métaphore de livre, de clé, de nombres et de lune que ceci lève le voile l’énigme de la phase rouge de la mélancolie « espoir symbolisé par la clé / les nombres, la création représentée par le livre et la joie s’incarnée par la lune… Partant de ce postulat je pourrais mettre en exergue que cult – pouvoir permet de parvenir à la lune en tant que la phase rouge de la mélancolie. Je pourrais donc déduire que la phase rouge de la mélancolie s’apparente à l’existence grâce à la culture, à la cultivation en soi, au consciemment de / en soi, à la démocratie, à légalité en / par droit, à la création et production que ceci débouche la voie de la société dans le sens de Weber : la symbiose auprès de différences…

Conclusion

La confiance, la noblesse et l’équilibre auprès de différences permet de contempler la scène idyllique évoque la mélancolie. De l’exprimer de manière différente, la vibration de bigarrures phase de la mélancolie laisse apparaitre la trajectoire de la mélancolie convenant aux mouvements / transformation de la lune jours après jours : la souffrance – l’hésitation – la joie sont la pierre angulaire de la mélancolie que cult – pouvoir l’illustre par l’éloignement / l’empêchement de la répétition de destin / de fatalité / de même quotidienneté. Je pourrais ainsi diagnostiquer que la couleur de la mélancolie par rose lequel est la symbiose de noire – jaune – rouge…. La mélancolie s’apparente donc à la co – existence en sérénité, en noblesse, en singularité, en créativité, en distance… etc. au fur et à mesure que la démocratie, l’égalité en / par droit, la production / la création, le désœuvrement des habitus, etc. diluent dans le monde entière… la vie est en rose…

Thinking aloud on “Irony” …: Melancholy or contradiction?

Leonardo Da Vinci, Mona Lisa.

In daily life I am used to explain melancholy by literal word: irony… It illustrates esthetic – poetry and let me to illustrate differences co – exist inseparable one and another in a way elegant… like love and missing… or like cold and hot… or like yin and yang…. Inseparable one and another… It is like Rainbow – arc-en-siècle – when the differences co-exist elegantly melancholy appears as irony… juxtaposition of differences like rain and sun… the result of amalgamation rain with sun is rainbow… with different colors and sky transform into idyllic color of nature… so rain is irony of sun and sun is irony of rain and their juxtaposition illustrate magic of nature by Rainbow…

In this context, I am plunging into think about the question of “irony” according to its literal meaning: irony represents melancholy or contradiction? It is evident that irony refers to juxtaposition of differences unseparated one and another like yin and yang or like the horses of Levinas… Nevertheless, irony has no any link with union of opposition… In that case, union of opposition engenders contradiction meaning as the same as irritation and anarchy… by lacking poetry and esthetic… although love and missing consider as contradiction one and another, according to sociology of literature and literature, it defines as melancholy cause love and missing are the regulator of one and another in a way inseparable such as missing evokes consciousness on love…

As a result, I can emphasize that irony engenders to be “ONE” among the differences inextricably one and another such as irony elucidate symbiose of differences juxtaposed one and another inextricably that melancholy explains it… such as contradiction refers to separate and even to anarchic intersection of opposites reminding biopolitics whereas differences incarnates with Saturn’s colors which are in symbiose one and another… like melancholy that Paul Verlaine’s “Claire de Lune” illustrate it… Consequently, I can recapitulate that “irony” refers to melancholy which demonstrate amalgam of differences inextricably one and another in a way temperate and elegant as “One” …

L’infinité…

Gilbert Garcin

« L’infinité, c’est le chemin sans cesse vers la lune… »

« L’être avant – garde est le plier crucial de l’infinité que l’océan, la lune et les étoiles l’illustrent »

Özden Turhan

Réflexion sur la question de l’infinité m’oriente vers « la théorie de Nothing » de Nietzche puisque « l’infinité » et « rien » sont les deux versant opposés de la vie (existence). Je pourrais donc élucider que l’infinité s’apparente aux bigarrures type de l’existence : soit illimite, soit répétition et soit éternelle. Tout dépend de « vagues » ainsi que « culture » inhérent aux quotidiennetés pour exhiber « l’art de l’existence ». A l’instar de cette prémisse, je défends la thèse selon laquelle la manière / l’art de l’existence dans n’importe quel domaine assure l’infinité :

  • La création de vague / tempête sur les homo – fabers afin de remplacer les positons sociaux que seconde guerre mondiale l’illustre par le dictateur de Hitler, laisse apparaitre l’infinité s’incarnée par l’illimité voire la répétition des identiques…
  • L’accusation ciblée aux être issues de hors biopouvoir / hors biopolitique pour les disparaitre / fractionner, dévoile l’infinité en tant que la répétition et le rétif au changement que la première guerre mondiale l’illustre…
  • La résistance par la culture, la création suis – generis et la cultivation en soi contre les vagues inopinées de « culte réactionnaire du passé » exhibe l’infinité par « vivre en /dans le présent » que ceci s’identifie l’éternité…

Je pourrais ainsi recapituler que l’infinité s’apparente au dilemme entre « rien » et « existence » que « l’art de vivre » laisse apparaitre la manière de l’infinité à l’égard de diffèrent type de quotidienneté… D’ores et déjà, il apparait évident que lorsque la modernité liquide et solide s’avère l’infinité par « rester en passé » et la répétition, la modernité fluide laisse apparaitre l’infinité en tant que la manière de l’existence que Principe, cultivation en soi permet de rester en / dans le présent telle que ceci se réfère au-delà de l’infinité : l’éternité…

« Left behind the past but especially the feeling of past to surf against the waves of envy and / or malaise to reach the life in present / beginning (existence) »…

The Panorama of Life….

Jérôme Bosch

Imagine the birth of child: crying… naked… insecure… disasters… ruins… and feeling deep of life… I am wondering if the birth refers to the life which means existence…? The question reminds the novel entitled La Chute of Camus, because Camus emphasize that the birth of child refers to Nothing because the act of getting through the world does not refer to the birth related to existence. Why?

As the metaphor of the birth elaborates the trace cardinal of Nothing by the voyage / journey among the times / daily-life, « Panorama of life » permit to illustrate « the meaning of life inherent of existence » varied according to the different type of modernity (daily – life): Pain – Hope – Existence resume « History of world » … Furthermore, as Nietzsche enlightens the enigma of life by « theory of Nothing ». In other way to express, « conscience » is the crucial key for open the way of « time of Heraclitus ». Therefore, « the theory of nothing » deconstructs « habitus » in the sense of Bourdieu to discover « Principe of life » such as Nietzsche elucidates the cardinal role of modernity fluid by « the theory of nothing » which refers to «move » / «feel » / « begin » according to « Principe of life » in every situation, because « nothing » means « objectivity », « fluidity », and « beginning ».

As a result, I can emphasize that the dialogue between the past and present give rise the conscience to get out of the circumstance of fate….: The désœuvrement des habitus…

Imagine wars… civil wars… le culte réactionnaire du passé : Crush… divide… take over everything… and the remain of the catastrophe is « nothing »… As the « history of world » exhibits the link between « the birth of child » and « the disasters – catastrophes » such as film entitled « Eat Pray Love » accentuates the enigma of life which is based on lost bur at the same time manage to live « without » … In other way, the film entitles « Eat Pray Love » elucidates the cardinal role of “cultivation en soi” to get out of the circumstance of « feeling of past » related to « hate », to « revenge », and to « alienation en soi » such as habitus turn into the Principe that I explain by « désœuvrement des habitus » by referring to Nancy : The art of life permit to open the way of « time of Heraclitus » by negotiating the past and the present… Furthermore, I can underline the enigma difference between the Habitus which refer to the life in past, and the Principe (désœuvrements des habitus) by the « theory of nothing » because according to Principe, « time » flows circular rather than linear. Therefore, I elucidate the « désœuvrement des habitus » by « nothing » to emphasize « fluidity » and also « cultivation en soi » as the emblem cardinal of « power of soul »…

When negotiation between past and present happens, the life in present begins by crowning the culture… the conscious… « the cultivation en soi »… as the key cardinal of désœuvrement des habitus.

Consequently, I can conclude that the « Panaroma of life » is due to the « art of negotiation » between past and present to precise the « time / daily – life » such as when « nothing » surrounds the « désœuvrement des habitus », the door of life in present will be opened by prevailing the security throughout the culture… However, I am wondering if « culture » can manage to assure the security in society while identity / family continue to damage as the same as « Baobab »…. The question reveals the importance of « the art of negotiation » according to what modernity (daily – life) exhibits the tissue crucial of security:

  • Modernity solid exhibits « the art of negotiation » by « colère en vitrine » which dilute the « hate » among the society that revolutions illustrate…
  • Modernity liquid shows « the art of negotiation » by « mystérieuse colère » which foment « alienation en soi » and also « envy » that wars, civil wars, le culte réactionnaire du passé demonstrate by « revenge » rather than « justice »…
  • Modernity fluid illustrates « the art of negotiation » by « humor / esprit » and also « pacific discourse » to negotiate past and present and make conscious such as « alliances » among the singular – plural illustrates « justice » and also « democracy. »

For conclude, I can emphasize that the « Panorama of life » illustrates every circle of life which are related with each other: Nothing, Habitus / Principe, security / anarchy, infinity….

Réfléchir sur la divergence entre « imitation » et « similarité »…

Giorgio De Chirico

Est-ce que l’imitation s’apparente à la similarité ou bien identique ? De l’exprimer de manière diffèrent, je m’enquiers quelle est la divergence entre l’imitation et la similarité ?

D’ores et déjà, il apparait évident que l’imitation se réfère à copier par l’ignorance le contenu – le contexte et la culture que le Parrot le dévoile par l’imitation de la répétition des mots sans toutefois connaitre le sens des mots… alors que la similarité se réfère à la partage de la même culture que « Mimesis » dans le sens de Auerbach l’explique par l’interprétation de la nature   à l’égard de la culture telle que la ramification des sociétés s’appuie sur les similarités – les points communs en dépit des différences que les sociologues ramifient les groupes sociaux selon les similarités que ceci ne s’apparente pas « identique » – « pareille » pourtant ceci se réfère à la culture commun en dépit des différences…

De même, je pourrais expliquer la divergence entre l’imitation et la similarité par la question de « consciemment en soi » que l’imitation lève le voile l’aliénation tandis que la similarité illustre cultivation voire principe et culture lequel n’a aucun lien avec l’appartenance géographique telle que Terry Eagleton le met en scène par la théorie de culture : la culture ne s’apparente pas le coutume ni la tradition lié à l’appartenance géographique au contraire la culture reflète à la fois l’histoire et la nature humaine que ceci reflète par la manière de l’interprétation de la nature. Alors que l’imitation se réfère aux habitus et / ou aux modes de vie sans toutefois intérioriser le contenu et le contexte et la culture. La preuve réside dans les personnages du livre intitule « Waves » de Virginia Woolf : Lorsque Louis opte pour imiter les normes des aristocrates sans toutefois les intériorisé, Bernard illustre la similarité de la culture aristocrate découlé par la culture, le contexte et le contenu telle que la similarité auprès de Don Quichotte, Bernard, et Perceval le laisse apparaitre.

Dans ce contexte, je pourrais déduire qu’il est difficile de faire les tautologies par l’ignorance culture, content et contexte telle que la divergence entre l’imitation et la similarité l’illustre. Je pourrais ainsi conclure que la culture est la pierre angulaire de distinguer ce qu’est la similarité et ce qu’est l’imitation pour ne pas tomber dans la piège de la tautologie lequel engendre la stigmatisation…

Why we are reading novels?

While I was thinking about the questions on literature as “What is novel?” and as “Why we are reading novels?”, I noticed the book of Georg Lukacs about theory of the novel in my bookshelf. “Why do we really need to read novels?” Is it because it reflects to us what is happening about our experience, or it offers to rebuild our overthrown life? Based on the Lukacs’ thoughts about theory of the novel, I will try to scrutinize the questions of “what is novel?” and “why we are reading novels?” …

Lukacs attempt to ramify the West, where literature is born, as Greek and Modern before explaining the nature of novel: while Greek literature defines the novel as holistic existence, modern literature refers to fragmented life experiences. Lukacs emphasize literature, which is issues from modern world, as restructuring of overthrown life. By following the intellectual thoughts of Heidegger, I can accentuate that literature relate to the epic of the world abandoned by God…. By the light of that postulate, Lukacs defines the novel as the epic of broken unity such as the novel offers to recreate overthrown life throughout the characters of the novel: the novel form refers to transcendence homelessness as a kind of epic of the world abandoned by God.

As a result, by referring to Lukacs, I can emphasize that the novel is an epic of transcendence homelessness that offers to find unity in the overthrown life…

The magic of Return: « Ignorance »

How many times can we remain the same without changing and without transforming…?  In other way, in the shadow of forgetting, how long can we remember the belonging identity / culture while living far away from belonging country? The traces of Milan Kundera’s thoughts about memory, loneliness, alienation, homelessness and forgetting on his novel entitled Ignorance scrutinize the state of being migrant throughout the life of Irena who has to live far away from her country. Kundera than emphasize the pain of the transcendence homelessness to the reader under the roof of nostalgia…

Irena who had to leave Prague because of Soviet invasion and settled in Paris, twenty year later, decides to return Prague by encouragement of her friend Sylvie. When Irena met with her friends in Prague, she preferred to open a bottle of Bordeaux wine to couronne the day nevertheless, she got surprised looks because of her preference with wine in case of beer which is the most important symbol of Prague. With this in mind, Kundera elaborates both the traces of Irena’s alienation and the pain of return in Prague. In addition to this, Irena feels lonely among her friends in Prague, and she prefers to communicate with her friend Sylvie… so it can be said that Irena’s twenty years of past in Prague is replaced with the sentiment of nostalgia.

According to the sentiment of nostalgia, Kundera give trace the uncertainty of memory by the meeting with Irena and her unforgettable love Josef after many years: Unlike Irena, who desire to meet with him, Joseph could not remember her…

Consequently, I can emphasize that the magic of return illustrates the ignorance because nothing will remain the same including ourselves. As a result, the ignorance is hiding in the sense attributed to the past.

Can nature duplicate itself?

It was the Juin 2016 that I was thinking about “duplication of nature” by following the thoughts of Virginia Woolf. In fact, the question that I am trying to figure out is very complicated although the response is simply “yes, nature can duplicate itself”. While thinking of multiplication of everything, the question that I am asking seems to be a little bit meaningless, especially in the 20th century where everything can be easily multiplied itself as shown by the film entitled “Matrix”. Meanwhile, I do not think it is so simple… The important thing is based on maybe the meaning of “nature”: how can we [familier – inconnu] evaluate the meaning of “nature”?

According to the thoughts of Virginia Woolf, nature refers to being singular beyond the representation of the simple life that can be reproduced easily, if we are considering the human. In other way to elucidate it, the question relies on the difference between mimesis and copy of nature although the nature looks like similar one and another by physically, the content is different one and another.

So, co – existence of the singularity of nature does not refer to copy but mimesis…

« Monday or Tuesday »

Edward Hopper

J’étais en train de nager dans l’océan au milieu de « requins » pourtant je ne sais pas encore lequel est dangereuse « nager au sein des requins » ou bien « vivre malgré les machines semblable aux humaines faim au prestige – à la supériorité » : Pour me protéger contre les attaques des requins j’avais amené les nourritures telle que les requins n’ont pas faim contournent en amis sans danger dès lors que les requins – les animaux ne mangent pas pour plaisir, pour prestige, pour la supériorité… alors que « les machines semblable aux humaines » ne connaissent pas à où arrêter, à continuer  et à manger… Même les requins, les jaguars, les lions pourraient apprivoiser pourtant « machine semblable aux humaines » sont inopérable – désespère de guérison… Je continue à nager sans peur puisque j’ai vit au sein des « machines semblable aux humaines » Les vagues de l’océan me permet d’atteindre à ma destination en tout sécurité au lieu de m’avaler dans un morceau au fur et à mesure que je réussis à cultiver les vagues… Si je comprends à cultiver la nature, la nature ne me fais rien du mal au contraire la nature m’enseigne, m’aide à découvrir ma personnalité suis-generis, me permet de découvrir chaque fois ce que je n’avais pas pu saisi. Il semble que la nature se répète elle-même pourtant en réalité la nature ne jamais se répète elle-même… les vagues de l’océan ne sont pas pareille l’un à l’autre… les poissons dans l’océan ne sont pas semblable l’un à l’autre chacun possède sa propre manière de la protection de survivre… C’est comme la magie de la nature. Pourtant, c’est chagrin de vivre malgré « machine semblable aux humaines » alors qu’en nature il n’y a pas de l’imitation l’un à l’autre… il n’y a pas de simulacre…

Les humaines et les « machines semblable aux humaines » s’intrinsèques autant qu’il est difficile de séparer l’un à l’autre que j’élucide par le poème intitulé « All I want is » ainsi :

All I want is…

Once upon a time only conserves are reproduced…

Once upon a time there were distance… order…

Once upon a time there were solidarity organic…

I understand the reason why nostalgia is on the top in daily-life…

Missing humanity… solidarity organic… and missing the days only conserves are reproduced…

Once upon a time objects are reproduced but in daily-life humans are reproduced…

There is a lot of me… which one is original… who knows…

Depthlessness… Black – hole…

Alors que je ne voudrais que la séparation de bon grain d’ivraire…

So, all I want is…

A l’instar du poème, le livre intitulé « Monday or Tuesday » de Virginia Woolf s’impose que la plume de Virginia Woolf met en exergue l’indifférence des uns des autres… les stéréotypes… donc « Monday or Tuesday » ?

Pourtant s’agit-il la conséquence de l’industrialisation ou bien s’agit – il la nature humaine lié à la psychologie ? D’ores et déjà, il apparait évident que l’industrialisation des humaines s’apparente à l’aliénation lie à la psychologie… Pourquoi ? La recherche intitule « Suicide » de Durkheim laisse apparaitre que le cas des suicides pour autrui lève le voile à la fois aliénation voire la dépendance que ceci illustre la réification des sujets et donc l’industrialisation des humaine ne sont guère la conséquence de la révolution industrielle bien que ceci apparait comme s’il y a l’affinité entre l’industrialisation et aliénation des sujets alors que la révolution industrielle engendre à tolérer l’aliénation par la reproduction en série des objets pour que toute-le-monde pourraient posséder tel ou tel produit que Andy Warhol l’illustre par la reproduction des conserves… telle que la production en série joue le rôle cure en ce qui concerne l’absentéisme… Bien que la révolution industrielle vise à récupérer l’aliénation lie à l’absentéisme, la culture s’identifie par l’interprétation de la nature engendre le bouleversement vers la consommation voire l’absence de la connaissance de la maitrise de totalité de production que ceci suscite à la fois aliénation en soi voire aliénation dans la société entière… De l’exprimer de manière différente, l’industrialisation des humaines ne pourrait pas s’expliquer par l’industrialisation dès lors que ceci lie à la culture voire à la psychologie. La preuve réside dans les œuvres de Goya sur lesquels les regardes des personnages projettent la lucidité, l’habilité découlé de l’aliénation en soi… telle que la plume de Virginia Woolf l’élucide par « Monday or Tuesday »…

Partant de ce postulat, je pourrais élucider que la culture de l’omnivalent de quotidienneté lequel se juxtaposent l’un à l’autre met en scène l’imprécis auprès des humaines lesquels sont aussi réifie comme les objets, comme les conserves, comme les machines… Je m’enquiers donc si les animaux possède le conscience les animaux aussi auraient opté pour répéter – imiter l’un à l’autre ou bien aurait opté pour enrichir la nature par l’exposition de la variété de différences… « Who knows »…

« Monday or Tuesday »

Par conséquent, je pourrais recapituler que la quotidienneté expose les bigarrure variété de culture partage dans la même espace de temps autant qu’il engendre la situation imprécise concernant ce qui est original et ce qui est simulacre lorsque la technologie facilite à l’imitation – à la création de pastiche – simulacre ou bien lorsque la santé facilite à la reproduction des sujets semblable l’un à l’autre… Il apparait ainsi évident que la culture et l’histoire jouent le rôle crucial en ce qui concerne la séparation de bon grain d’ivraie dès lors que la quotidienneté ne s’identifie guère la Revolution technologique pourtant la révolution cosmos – création… Je pourrais donc conclure que le motto de quotidienneté par « Patience and Keep Calm » lorsque les vagues de simulacre – pastiche continue sans cesse.. #be yourself.