L’art mais pourquoi ? (4/5)

Chapitre III : La question de la littérature sur l’art…

Je pourrais mettre en exergue que « la littérature est le jumeau de l’art » puisque le versant psychologique est prégnant au-delà de triangle de l’art. Parallèlement à cela, Nathalie Sarraute élucide la question de l’envie en faisant la référence aux tableaux de Arcimboldo telle que ceci permet l’acteur de rédiger ce qui / qu’est non – dite / interdite à dire / implicite de manière poétique. Il apparait donc évident que l’art assure à la fois la paix implicitement et la mise en scène de la réalité socio – politique – psychologique que quotidienneté que la plume de Paul Auster, David Riesman, etc. le laissent apparaitre par les œuvres…

L’art et la littérature procure le levier afin que les gens puissent maintenir à la vie sociale, c’est-à-dire l’art voire la littérature affirment que « vous n’êtes pas seul… on vous comprend… c’est la vie… ». Je pourrais donc recapituler que l’affinité entre l’art et la littérature est inséparable l’un à l’autre que la métaphore de jumeau l’élucide. La preuve réside dans les tableaux de Stephen Chambers lequel mélange l’art et la littérature dessine les œuvres de William Blake et aussi les proverbes flamande…

Dans ce contexte, je pourrais conclure que l’art laisse apparaitre les réflexions de mélancolie à l’égard de quotidienneté telle que la littérature s’apprente à la version écrite de l’art…

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