Réfléchir sur la Modernité (3/5)

La Modernité Liquide

La rencontre avec les différences s’incarne par la liquidation dans la modernité liquide telle que la scène tirée par le film intitulé « Monsieur Muhsin (Muhsin Bey) » de Yavuz Turgul l’illustre ainsi : Ali Nazik tente de se suicider sur le toit de l’appartement de Doğan puisqu’il a échoué dans son album. Au moment de la tentative de suicide Monsieur Muhsin a réussi à sauvegarder la vie de Ali Nazik par le truchement de discours pacifique comme suit : 

« Monsieur Muhsin : Allez, tenez les mains… Maintenant je prends la marche en arrière tu (Ali Nazik) avance… Ne regardez pas au-dessus… Regardez les yeux et tenez les mains fort… Avancez lorsque je marche en arrière… »

« Avancer lorsque je marche en arrière… » ceci illustre la pierre angulaire de la modernité liquide… Dès lors, l’enjeux crucial de l’intersectionnalité s’appuie sur la liquidation telle que Marguerite Duras le diagnostic par la « maladie de mort ». Je pourrais donc élucider la quotidienneté s’avéré par la consommation / la liquidation de ce que / qui est productive / gentille / noble… : les producteurs / noble / gentille sont enfermés que Monsieur Musin le dévoile tandis que les consommateurs / bourgeois prennent la place sur la scène dans la modernité liquide. En outre, le film de Yavuz Turgul laisse apparaitre l’enjeu crucial de quotidienneté par le symbole de rose lequel s’apparente à la vie ostentatoire sans toutefois intérioriser la philosophie cruciale de modernité telle que la scène de Ali Nazik l’illustre ainsi : « les roses découlés au-dessus de Ali Nazik dans la scène » ceci laisse apparaitre l’énigme crucial de la modernité liquide : pastiche, symbole, imitation, consommer / liquider… La preuve réside dans les tableaux de Chricco lequel critique la modernité liquide par le truchement de l’intersectionnalité entre la phase noire et jaune de la mélancolie : impasse…

Dans ce contexte, il apparait évident que les producteurs condamnent à liquider dans la modernité liquide du fait que le biais crucial de l’intersectionnalité des différences s’appuie sur la dialectique entre les producteurs et les consommateurs bien que les producteurs condamnent à disparaitre / enfermer à la fin de la rencontre avec les consommateurs que le film intitulé Monsieur Muhsin le dévoile. Je pourrais donc mettre en exergue que la perception de la liberté s’incarne par la capacite de consommer dans la modernité liquide. En outre, la modernité liquide s’avère la quotidienneté par la consommation, la dialectique, l’imitation et l’ostentation…

Parallèlement à cela, l’analyse de films de Yavuz Turgul permet de témoigner le vecteur de la modernité liquide pour les pays traditionnelle comme la Turquie : « la modernité symbolique » lequel s’apparente au pastiche de la modernité liquide… La preuve réside dans le procédé de Ali Nazik : la soumission de l’alcool, la posture duale, les roses, l’ostentation, l’imitation sans toutefois réfléchir sur le contenu… Partant de ce postulat, je pourrais mettre en relief que l’enjeu cruciale de la « modernité symbolique » inhérent aux pays traditionnels s’appuie sur « art de transfert » au lieu de dialectique que la modernité liquide l’illustre… puisque Ali Nazik se remplace par Monsieur Muhsin de manière burlesque… Je pourrais élucider la nuance entre la modernité liquide et sa version pastiche en tant que « modernité symbolique » par la divergence entre la dialectique et « art de transfert » : lorsque la dialectique construit l’affinité hiérarchique, « art de transfert » assurent la remplacement… Vu que les pays traditionnels ne produisent pas, c’est-à-dire ne sont pas des pays industriels, la consommation / liquidation ne s’effectue que par l’art de transfert telle que Zygmunt Baumann l’élucide ainsi : « There must be two for one’s freedom » cela dit l’intersectionnalité. En outre, la modernité symbolique n’est que la pastiche / l’imitation burlesque de la modernité liquide que les élites le laissent apparaitre par copy paste burlesque de mode de vie en ce qui concerne la modernité liquide puisque la modernité symbolique s’avère l’acte de consommation en tant que la vaporisation de différences en ignorant la dialectique entre la supérieur et l’inferieur tandis que la modernité liquide s’expose les différents versants de l’acte de consommation comme « art de transfert », « dialectique », « construction de camera obscura »,… etc. pour ne pas vaporiser mais liquider les différences convenant à la philosophie cruciale de la classe sociale : la hiérarchie… Je pourrais donc mettre en exergue que la supériorité dérive de l’existence de l’infériorité dans la modernité liquide s’apparente aux pays industriels que Marx l’élucide voire Chirico le dévoile bien que la modernité symbolique s’avère la quotidienneté en tant que la version pastiche de la modernité liquide de manière burlesque dans les pays traditionnelle come la Turquie.

Je pourrais ainsi récapituler l’enjeux cruciale de la modernité liquide par le jugement, l’accusation, la spéculation, le sens fragmente, codes / symboles, création de mythe…etc. pour assurer la supériorité des Bourgeois… De même, David Riesman forge la notion intitulée other directed type lequel surveillent / imitent ce que les bourgeois font : l’imitation, la surveillance des bourgeois sans toutefois réfléchir sur le contenue… La preuve réside dans le livre intitulé « The Waves » de Woolf ainsi : Louis tente de remplacer / imiter le mode de vie de Bernard puisque Bernard symbolise la supériorité / l’aristocratie pas celui de bourgeois… lorsque Bernard se penche sur la question d’existentielle. En outre, ceci laisse apparaitre la hiérarchie sociale dans la société couronne par les espaces publiques : les espaces publiques se référent aux lieux de la liberté dans la modernité liquide à la différence de la modernité solide où l’espace privé s’incarne par l’emblème cardinale de la liberté. Je pourrais ainsi mettre en exergue que la liberté s’apparente à l’identité favorise, l’ostentation, le prestige social, la présence dans l’espace publique, la capacite de la consommation / liquidation, … etc dans la modernité liquide. Mais toutefois, les identités défavorisées sont interdites à se trouver dans l’espace publique puisque l’intersectionnalité entraine l’impasse de rencontre avec les différences. Je pourrais déduire que la colère mystère s’appuie sur les jeux d’envie permet d’enfermer / de stigmatiser / d’humilier les identités défavorisés (opposes / différents) pour continuer éternellement la longévité des identités favorisés (élites) telle que le principe crucial de la modernité liquide s’apparente à « faire vivre laisser mourir » en tant que l’emblème cardinal de pouvoir : la démocratie oligarchique lequel ne soutienne que les droits des identités favorisés.

Par conséquent, je pourrais mettre en relief que la maitrise de droits / de la langue des élites (bourgeois – identité favorise) contrôle / gouverne la quotidienneté que ceci entraine la répétition de la quotidienneté en bouchant la voie de la mélancolie. En outre, la quotidienneté exposée par la modernité liquide est au seuil de liquider elle – même au fur et à mesure que les vies des homo – faber sont gâchées pour renforcer la supériorité des identités favorisés convenant au principe de la modernité liquide : « faire vivre laisser mourir » lequel ne pourrait guère à enfermer / disparaitre les homo – faber issus des identités défavorisées. Je pourrais donc conclure que « ce qui / qu’est liquide condamne à se liquider » telle que la pierre angulaire de la modernité liquide s’identifié par gravitas, nobilitas et dignitas se transforme en fluidité, homo – faber et culture dans la modernité fluide. En outre, la colère mystère inhérent au pouvoir des bourgeois se transforme en l’humeur / l’esprit dans la modernité fluide que ceci permet de se débarrasser par les vagues inopinées et continuer à produire / créer dans n’importe quelle situation. Ceci laisse apparaitre le basculement des habitus lié à la modernité liquide aux principes inhérent à la modernité fluide.

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