Réfléchir sur la Modernité (2/5)

Edward Hopper

La Modernité Solide

C’était en 2006 que je me suis penchée sur la rédaction de la thèse intitulée « le dilemme commun dans les films de Yavuz Turgul : la tension entre la modernité et la tradition »… La conséquence de cette recherche permet d’élucider l’omnivalent de quotidienneté telle que j’ai forgé la notion intitulée la modernité spatio – temporelle en tant que le vecteur de la modernité solide où la quotidienneté est ancrée dans le passé que la tradition l’illustre. La preuve réside dans les films intitulés « Bandit (Eşkiya) » voire « Jeu d’Ombre (Gölge Oyunu)’ de Yavuz Turgul : la dichotomie entre la vie zoé et bios ainsi que la subordination des uns des autres prédominent dans la quotidienneté et donc dans la modernité solide. De même, la domination masculine voire celle de religion engendrent la restriction de la liberté des gens issus de hors de la famille souveraine (la vie nue). Je pourrais donc mettre en relief que la dépendance / le conformisme s’imprègne la modernité solide autant que le principe de l’immanence des vies de peuple au souverain laisse apparaitre l’écart existant entre les peuples et la famille de souveraine.

Dans ce contexte, il apparait évident que la liberté s’apparente à la famille de souveraine lorsque la dépendance s’incarne par les peuples telle que l’art de l’arrangement des espaces dans la modernité solide dévoile cette dichotomie : les châteaux – le palais symbolise l’emblème cardinal de la liberté tandis que l’espace publique se perçoit en tant que le berceau des dépendances dans la modernité solide. Je pourrais ainsi mettre en relief que le langage de la famille souveraine gouverne / cultive la vie nue à l’égard d’estime personnelle / familiale pour continuer à la longévité de dynastie de la famille souveraine voire être unicorne. En outre, le pouvoir dans la modernité solide s’incarne par la famille de souveraine lequel maitrise la langue dévoile la vie dichotomie entre les dépendants (peuples) et la famille souveraine : le coutume / l’habitus lié à l’intelligence s’identifie par la famille de souveraine en tant que l’emblème cardinal de la liberté tandis que le coutume / l’habitus lié aux servants élucide que la modernité solide définit le lieu de confidence / liberté par le château / le palais lequel est l’emblème cardinal de pouvoir s’identifiée par supériorité, singularité et solidité tandis que l’espace publique s’incarne par le lieu de déviance / dépendance que la misère de peuple l’illustrent.

Je pourrais donc déduire que la matrice de quotidienneté dans la modernité solide s’incarne par le pouvoir pastoral / le pouvoir absolu de la famille de souveraine que la maitrise de la langue, l’appartenance à la famille souveraine, la vie dans le château / palais, l’habitus lié à l’enrichissement culturelle / intellectuelle, la domination masculine / religion et l’être unicorne / singulier sont la pierre angulaire de la liberté. Vu que la langue de souveraine symbolise le pouvoir en tant que l’interlocuteur de Dieu, les peuples perçoivent comme dépendante / obéissante que David Riesman le diagnostic par la notion intitulée traditionnel directed type : obéir sans toutefois réfléchir sur le contenu puisque ce que la famille de souveraine affirme, se perçoivent comme le crédo de quotidienneté. En outre, les différences / la vie nue condamne à  ex – cepter par le cité, c’est-à-dire vaporiser puisque l’enjeu crucial de la modernité solide s’appuie sur l’être unicorne lequel ignore les différences. Dès lors, personne n’ose à déclarer l’opinion ou bien à faire commentaire à propos de décision de souverain sinon la colère en vitrine laisse apparaitre au-dessus de différences / la vie nue : ex – ception ou bien exemple puisé sous les yeux de peuples pour renforcer le pouvoir de souveraine. Je pourrais ainsi recapituler que les différences / la vie nue condamne à vaporiser dans la modernité solide car l’harmonie dans la société est dû à la langue unique de souveraine.  Parallèlement à cela, je pourrais élucider la pierre angulaire de la liberté dans la modernité solide par le triangle de « amour – esprit – honneur ». Je pourrais donc mettre en relief que les différences pourraient acquérir le respect / la visibilité/ la liberté par le truchement de la subordination de l’être / de la famille souveraine / dépendante/ assujettissante sinon les différences s’incarnent par la vie nue voire hors des normes masculin / religion telle que la vie nue condamne à vaporiser convenant au principe de « faire mourir laisser vivre » afin de procurer la longévité de la dynastie.

Par conséquent, je pourrais mettre en relief que la maitrise de la langue souverain contrôle / gouverne la quotidienne que ceci bouche la voie de la mélancolie voire construise les failles entre les peuples et la famille souveraine telle que les jeux de castration en tant que le pilier crucial de la solidité le laisse apparaitre : la langue de souverain est la chaine cardinale de la liberté au fur et à mesure que la domination masculin / religion joue le rôle cardinal en ce qui concerne le gouvernement de la vie nue. Ceci me revendique la phrase cruciale de Virginia Woolf : « Les pensées / les regardes pourrait être la cage de la réalité / liberté… »

Je pourrais donc conclure que « ce qui / qu’est solide condamne à vaporiser » telle que la modernité liquide le dévoile par le remplacement des espaces : « l’honneur » est le point achille des nobles que les bourgeois contournent la quotidienneté en liquide. De l’exprimer de manière diffèrent, « l’honneur – l’esprit – l’amour » en tant que la pierre angulaire de la modernité solide transforme en « gravitas – nobilitas – dignitas » dans la modernité liquide. Comme le met en relief Virginia Woolf « There is nothing staid nothing settles in this world”… La prévue réside dans la modernité liquide lequel hante la modernité solide…

Leave a comment