Réfléchir sur la Modernité (1/5)

Edward Hopper

La condition cruciale de la modernité est l’être homo-faber »

Hannah Arendt

« Ce qui est fluide s’incarne par le recyclage / la métempsychose »

Ozden Turhan

Introduction

Je pourrais élucider que l’énigme de la modernité s’avère par la rencontre avec les différences lequel se représentent l’omnivalent de quotidienneté convenant à la perception de la liberté telle que je pourrais donner l’acception de la modernité par la co – existence auprès de différences si idyllique que les êtres ne sont pas subordonnés les uns des autres. Donc, la mélancolie laisse apparaitre la fusion de différences en tant que la co- existence dans la singularité. Partant de ce postulat, je pourrais mettre en exergue que la modernité s’incarne par le complexe de quotidienneté. De même, la pierre angulaire de la modernité s’appuie sur la construction de pont entre le passé et le présent que la négociation engendre la co -existence auprès de différences sous le toit de la démocratie, culture et du droit… Il apparait donc évident que la modernité se réfère à la mélancolie selon laquelle le temps coule circulaire comme le temps Heraclitus que les principes et les désœuvrements des habitus entrainent à se débarrasser par la circonstance de même destin… Je pourrais déduire ainsi que la modernité ne se reflète que le présent en négociant le passé et le présent. Ceci illustre le changement perpétuel, c’est-à-dire l’évolution infinie telle que la modernité s’exhibe la fluidité de temps ainsi que celle de quotidienneté.

Pourtant qu’arriverait – il si la négociation entre le passé et le présent sont en impasse et / ou engendrent la subordination ? C’est là où l’éloignement de présent et donc quotidienneté commence : la tradition. En faisant la référence à ma thèse de licence en sociologie « le dilemme commun dans les films de Yavuz Turgul : la tension entre la modernité et la tradition », je pourrais expliquer l’acception de tradition par le passé voire par le rétif aux changements que ceci dévoile linéaire du temps selon lequel le coutume / l’habitus et le mode de vie bouche la voie de la négociation entre le passé et le présent. Dès lors, l’échec de la négociation auprès de différences laisse apparaitre conformisme et / ou intersectionnalité que ceci illustre la mutation de quotidienneté : le basculement des espaces à l’égard de capital, c’est-à-dire la mutation de la famille à l’identité. Je pourrais donc recapituler que la tradition s’identifie par la répétition de la même quotidienneté sans toutefois reconnaitre les différences telle que le coutume / l’habitus met en scène la convergence en ce qui concerne le mode de vie entre les aristocrates et les bourgeois. La preuve réside dans la distinction des espaces de liberté… De l’exprimer de manière diffèrent, la tradition se réfère à l’amalgame de phase noire et jaune de mélancolie en tant que le passé / la fatalité de la même matrice de quotidienneté telle que ceci laisse apparaitre linéaire du temps : le remplacement, la dialectique, la dichotomie, la mutation de matrice de la quotidienneté en tant que passé.

Dans ce contexte, je pourrais mettre en relief que la matrice de la quotidienneté ancrée dans le passé / tradition s’exhibe à la fois la solidité et la liquidité telle que la rencontre avec les différences condamne à passer par mal excessive… De l’exprimer de manière diffèrent, la tradition s’identifiée par l’ironie de quotidienneté engendre la société de la colère que ceci illustre les jeux de castration / d’envie afin d’assurer la robustesse de familles et / ou celle d’identités dans l’espace dès lors que la modernité solide ainsi que la modernité liquide exposent la quotidienneté en tant que l’union des identiques c’est la raison pour laquelle les différences se perçoivent comme la menace / le danger pour la longévité de la famille au pouvoir et / ou de l’identité prégnante dans la modernité solide / liquide telle que la plume de Woolf le dévoile ainsi : There are distinctions… There are order in this world… » pourquoi ?

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