A Quoi Sert La Punition ? (6/6)

Corinne Mercadier

Conclusion

La sécurité dérive de la punition ou la cultivation ? L’intimité pourrait être le point achille des gens ou bien l’intimité devrait être protéger par les droits ? Lequel est important : la longévité / continuité éternelle des élites ou bien la volonté générale de société ? Le racisme ou bien l’humanité ? La culture assure -t – elle l’harmonie sociale ? Pourtant pourquoi existe – t -elle la prison ? La prison est le lieu de réhabilitation / cultivation sans stigmatiser les gens ou bien la prison sert à produire reproduire les tributaires ou bien la prison assure l’écart existante entre les élites et les autrui dans la modernité liquide ? Or, la prison n’est que l’acquisition du pouvoir absolu ? A quoi sert la punition ? Punir se réfère à sanctionner – castrer ou bien punir s’apparente à comprendre – cultiver ?

Tout au long de cette recherche intitulée « A quoi sert la punition ? », je me penche sur la question de punition en tenant compte tous les versant que je pourrais envisager… Je forge la notion de biopolitique ciblée et celle de biopolitique ad – hoc pour mettre en scène la nuance de racisme / violence des élites à l’égard de diffèrent type de quotidienne : De la violence identitaire / religieuse / familiale à la violence psychologique. De l’exprimer de manière diffèrent, biopolitique ciblée se réfère à la mutation de biopouvoir que les prisons sont considérées les lieux des exemples puisés pour inculquer le pouvoir absolu des élites tandis que biopolitique ad – hoc s’apparente à l’art de transfert que Baudrillard l’élucide par simulacre puisque les prisons sont devenues les lieux de reproduction / production des esclaves / tributaires / agent sociaux en tant que « quiet cat » des élites. Vu que la pierre angulaire de biopolitique ad – hoc s’appuie sur les créations des obstacles comme si naturelle, « quiet cat » permet de cacher le racisme / la violence / la supplice des élites voire convertir le fait politique en celui de fait divers. A la différence de biopolitique ciblée, biopolitique ad – hoc ne cible donc que l’individu / la famille que le culte réactionnaire du passé laisse apparaitre le pouvoir déesse des élites dans la modernité liquide.

Dans ce contexte, il apparait évident que la punition est la pierre angulaire de pouvoir absolu et / ou pouvoir déesse des êtres dans la modernité liquide telle que « le dilemme commun de biopolitique » le laisse apparaitre « la création des canyons entre les élites et les autrui que ce soit par habitus ou art de transfert.»

D’ores et déjà, il apparait évident que la punition sert à castrer / consommer / sanctionner le parasite lequel s’identifie par la menace pour la longévité / la continuité éternelle des élites. Le racisme donc est la force motrice de la punition dans la modernité liquide…

Comme la photographe Corinne Mercadier illustre la dissolution des jeux psychologiques des élites que biopolitique ad – hoc le dévoile : du symbole de racisme définie par l’emblème de l’éternité au ruban. Ceci laisse apparaitre que la culture pourrait résoudre la nœud des élites symbolisée par l’emblème de l’éternité puisque biopolitique ad – hoc s’avère en même temps le nouveau vague de racisme faite par les jeux psychologiques que je l’élucide par envie reflété lequel bouleverse tous les jeux dangereux des élites… Ainsi le symbole d’éternité contourne en ruban…

Par conséquent, l’énigme de racisme exercée par les jeux psychologiques des élites surgit sur la surface par le concept intitulé « biopolitique ad – hoc » et « Art de transfert » que les élites les font pour procurer / acquérir le pouvoir que la punition le dévoile… Ainsi c’est le temps de changement dans la modernité fluide : de la punition à la cultivation telle que la transformation de symbole d’éternité en ruban fait allusion à la fin des jeux dangereuses des élites…. Grace à la science, la punition pourrait se remplacer par la cultivation dans la modernité fluide puisque le chiffre de biopolitique est décodé par envie reflétée et art de transfert…

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