L’introduction à la sociologie de cosmos…

« La matrice culturelle de la modernité liquide laisse apparaitre les camps scouts or la matrice de la modernité fluide met en scène les camps espaces comme astronaute. »

« La matrice culturelle de la modernité liquide laisse apparaitre la précision des lieux géographique or la matrice culturelle de la modernité fluide met en scène ‘somewhere in the world’ au lieu d’indiquer le pays ni la ville. »

« La matrice culturelle de la modernité liquide laisse apparaitre les tendances aux investissements en Monde or la matrice culturelle de la modernité fluide met en scène les investissements en Mars. »

« La matrice culturelle de la modernité liquide laisse apparaitre la divergence entre l’espace publique et l’espace prive évoquant la scène de théâtre la coulisse et la scène or la matrice culturelle de la modernité fluide met en scène ur – phénomène des espaces évoquant la théâtre côté cours et côté jardin. »

« La matrice culturelle de la modernité liquide laisse apparaitre la communication précisée par les frontières or la matrice culturelle de la modernité fluide met en scène la communication sans – frontières évoquant l’effet de domino : tout le monde connecté l’un à l’autre que les réseaux sociaux en espace virtuel le dévoilent. »

A l’instar de brève explication à propos de l’évolution de quotidienneté, je pourrais mettre en exergue que l’envoie la lune au satellite et la dissolution de mur de Berlin met en scène le basculement de la modernité liquide verts la modernité fluide que Beck l’élucide par le futur incertain voire impossible de l’envisager. Partant de ce postulat, je pourrais mettre en relief que la révolution cosmos pénètre dans la quotidienneté si doucement qu’il apparait impossible de deviner et / ou envisager les risques telle que l’évènement de Tchernobyl le dévoile par la maladie oncologique. De même, le film intitulé « Parasite » met en scène le rôle de media évoquant capital culture virtuel que ceci engendre la reproduction des simulacre sans toutefois maitriser le contexte, le contenu et la culture comme si « tout le monde pourrait faire tous les métiers », ceci m’évoque les époques d’industrielle où le motto en est que « chacun pourrait remplacer par l’un à l’autre », néanmoins en ce qui concerne les époques cosmos le motto se transforme en « tout le monde pourrait faire tous les métier » telle que l’exposition de Anish Kapoor le met en scène par la métaphore de black – hole que Jameson le diagnostic par depthlessness lequel s’apparente à « which is beyond what is represented ».

Dans ce contexte, il apparait évident que le simulacre s’imprègne la culture de la quotidienneté liquide autant que les discours enroulés dans les sociétés ainsi : « Est – ce que vous êtes réel » ou bien « s’il existe vrai société » que ceci dévoile les conséquences de société fiction selon laquelle biopolitique et / ou biopolitique ad – hoc tentent de contrôler les sociétés issues de hors de réseaux sociaux de société fiction telle que le film intitulé « La Antenna » de Esteban Sapir met en scène « ce que biopolitique et / ou biopolitique ad – hoc font aux sociétés » par l’absence de voix… pourtant fiction… le système d’espionnage issues de la sollicitude personnelle et / ou de l’estime sociale s’achèvent par voix innocent du personnage de film intitulé « La Antenna ». Je pourrais ainsi mettre en exergue que la reproduction de simulacres se contourne en le retour de la nature que la voix innocente le symbolise lors du film ainsi que l’exposition de Group Zéro le met en scène par le motto : « count down for return of nature ».

Cependant, il me faut noter que la nature ne s’apparente guère la nature non – tempéré / cultivé pourtant ceci se réfère à la nature cultivée / tempérée et conscient en soi dans le sens de Marx que ceci empêche l’aliénation que la culture de la modernité liquide l’impose par simulacre… D’ores et déjà, je pourrais mettre en exergue que la révolution cosmos engendrerait les grains de la nature cultivée / tempérée que ceci en même temps susciterait « la simulacre morte » selon la terminologie de l’art… Pourtant je m’enquiers quel est l’enjeu cruciale de changement sociale concernant le basculement de simulacre à la nature cultivée / tempérée dans l’âge de cosmos ? Je plaide pour l’hypothèse selon laquelle l’affinité entre le cosmos et le monde surgit l’effet indirectement / directement en sociologie que l’envoie la satellite à la lune joue le rôle pierre angulaire en ce qui concerne les changements sociaux gloculturelle que je pourrais l’élucider par la mise en scène des points tournants de chaque décennies dès les années 1980 jusqu’aux années 2000 ainsi :

  • Les années 1980 s’incarne par « The Years that made us » lequel met en scène la culture populaire et monopolisation…
  • Les années 1990 s’apparente à « The Years that connect us » lequel met en scène les conséquences de l’envoie satellite à la lune que l’internet voire les médias intentionnels le dévoile que ceci laisse apparaitre l’affinité entre le Cosmos et le monde sur les sociétés… telle que le discours de l’homme scientifique le dévoile ainsi : Envoyer satellite à la lune n’est pas seulement l’innovation technologique mais c’est sociologique ».
  • Les années 2000 s’identifie par « We saw it all » telle que fiction et history recovered s’imprègnent le monde entier : chaque cas politique / sociologique s’épanouissent dans le monde entière par le vecteur / l’adaptation / l’imitation / le simulacre que Société Fiction est au sommet de la société…

Parallèlement au documentaire visionné par la chaine de TV intitulée National Geography, j’ai continué à élucider le reste de décennies après les années 2000 ainsi :

  • Les années 2010 s’identifie par simulacre que ceci suscite « envie Reflété » inhérent à la culture de la société du simulacre telle que l’ambiguïté dans l’omnivalent de quotidienneté laisse apparaitre par le risque imprécis et incalculé que l’augmentation des taux de cas psychologique et oncologique le dévoile… La preuve réside dans Tchernobyl l’enjeu imprévu en est que la maladie d’oncologique.
  • Les années 2020 s’incarne par : « Bluring the real and fake » telle que biopolitique ad – hoc, trans et déconstruction social s’imprègnent les sociétés entières. De même, la technologie n’est plus seulement utilisée pour faciliter la vie ou bien pour intégrer à la vie en dépit des obstacles pourtant l’autre médaillon de la technologie lève le voile par l’enjeu de dénaturaliser la nature : convertir la réalité en imagination en fantaisie en fake…. Cependant le risque imprévu en est que c’est l’aliénation dans le sens de Durkheim et de Marx.

A l’instar de ce postulat, je pourrais mettre en exergue que révolution cosmos entamé par l’envoie le satellite à la lune, laisse apparaitre le monde connecté évoquant l’effet de Domino que la panorama sociologique inhérent aux années 2000 le recapitule par « We sawi t all » voire par gloculturalisation et / ou par monopolisation des cas sociologique / politique telle que la preuve réside dans « Société du simulacre »… De l’exprimer de manière différent, vu que media joue le rôle capital culture virtuel voire les informations diluées partout ailleurs sans toutefois filtrer chacun pourrait accéder au pouvoir par l’imitation burlesque / caricatural de tel ou tel métiers acquis par la surveillance autoritaire que le film intitulé « Matrix » le met en exergue par la scène à propos de la connaissance de conduire l’avion : « cinq minute avant Trinity ne connaissait pas à conduire l’avion pourtant après avoir connecté aux machines tout d’un coup Trinity appris à conduire l’avion »… De même, dans la vie quotidienne, Google translator joue le rôle de traducteur / traductrice que la majorité des gens en Turquie et / ou peut – être dans le monde entier optent pour l’utiliser pour communiquer. Je pourrais ainsi mettre en relief que l’interaction entre Cosmos et Monde surgit les effets sociologiques que les changements sociaux en sociétés de manière gloculturel/ local / monopole l’illustre.

Parallèlement à cela, Professeur Brian Cox met en exergue l’enjeu cruciale de « culture » concernant l’explication / l’interprétation des cas en Cosmos lors de documentaire à propos de l’affinité entre le Cosmos et Monde telle que le regard culturel suscite à découvrir ce que / qui est / était invisible et / ou imprévu / saisi auparavant. La preuve réside dans Pluton que les scientistes viennent de découvert les indices de la vie en Pluton. Il apparait ainsi évident que les études culturelles voire les aspects sociologiques joueraient le rôle complémentaire en ce qui concerne les études en Mars telle que ceci permet d’observer le cas d’étude à l’égard de tous les versants possibles comme l’oiseau de Hibou. Partant de cette prémisse, je passe en revue « l’introduction à la sociologie de cosmos » par la question de départ ainsi : Quel est l’enjeu crucial de l’interaction entre Monde et Cosmos ? Quelles sont les effets des découverts Cosmos sur monde et aussi sur les sociétés voire vice et versa lorsque l’espace s’étend jusqu’au cosmos telle que « somewhere in the world » ou bien les spéculations sur l’achat des terres en Mars » le dévoilent ?

Pour traiter ce sujet, j’opte pour suivre le cheminement intellectuel de Talcott Parsons lequel construit le lien entre la santé et la société à l’égard de la fonctionnalité / l’organisation telle que je plaide pour l’hypothèse selon laquelle le lien entre Cosmos et la société guiderait à assurer l’organisation rationnelle dans le monde entière. De l’exprimer de manière diffèrent, l’énumération des satellites voire planète dans Cosmos de manière cohérent / complémentaire l’un à l’autre pourraient jouer le guide en ce qui concerne la disposition des sociétés telle que le lien entre santé et la société suscitait la manière de la disposition de sociétés de manière linéaire tandis que le lien entre Cosmos et la société engendre la manière de la disposition des sociétés de manière circulaire évoquant le temps de Heraclitus. Je pourrais ainsi schématiser le changement social entre révolution industrielle et la révolution cosmos ainsi :

Revolution IndustrielleRevolution Cosmos
Le temps stagné et répétitive que Scott Lash l’élucide la quotidienneté par la modernité réflexive.Maladie considérée comme la déviance.La dissèque sur la première édition des livres.Absentéisme.Espace Publique s’identifie par « centre-ville ».La vague de migration vers les centres villes.Biopolitique ciblée que les grèves / l’économie le dévoile.Chacun pourrait remplacer par l’un à l’autre.Spécialiste en un métier.Le temps coule circulaire évoquant le temps de Heraclitus que Ulrich Beck l’élucide par « le futur est imprévu ».Internet / technologie considéré comme « la déviance ».La dissèque sur la version originale des livres.De l’absentéisme à simulacre et / ou Bluring the real and fake.Ur – phenomena des espaces que réseau social laisse apparaitre l’amalgame de l’espace publique à l’espace privé.La vague de l’esquive par centre – ville vers les périphéries.Biopolitique ad – hoc que cyberattaque, fait divers et kidnappé le dévoile.Tout le monde pourrait faire tous les métiers, depthlessness dans le sens de Jameson.Spécialiste en minimum deux métier.

D’après l’analyse comparative entre la révolution industrielle et la révolution cosmos, je pourrais mettre en exergue le rôle cruciale de la co – opération entre les scientistes et les sociales scientistes dans l’omnivalent de quotidienneté pour saisir les risques imprévus ainsi que pour assurer la négociation / l’ordre culturel évoquant l’énumération des planètes en Cosmos et le rôle éclaté ou bien la rupture lorsque les bigarrures cultures de quotidienneté juxtapose dans la même espace de temps. Pourtant il me faut mettre en exergue que le simulacre et / ou bluring the real and fake ne jouerait guère le rôle de perdre la distance / l’ex – ception pour protéger la value – unique sauf ceci servirait à l’imposture voire à l’absence de confiance. Dans ce contexte, l’aspect sociologique permettrait à ramifier à l’égard de l’ordre culturel en tenant compte i-densité au lieu de i -dentité. La preuve réside dans le film intitulé « Salyut 7 » lequel laisse apparaitre :

  • Le basculement des habitus vers les principes.
  • Ambiguïté – aliénation entre le monde et le cosmos évoquant le film intitulé « les temps modernes ».
  • Autonomie complexe se réfère à ration / réalité / affection que la prise de la décision de fixer la machine ou bien l’esquive tout seul d’une part et d’autre part la connection à l’autre véhicule en Cosmos le dévoile.
  • Sociabilité singulier – pluriel que la co – existence auprès de bigarrure métiers voire la co – opération entre la Russie et l’Amérique le dévoile.

Dans ce contexte, je m’enquiers « ce que l’interaction réciproque auprès de cosmos, monde et société fait à la matrice culturelle de quotidienneté ? » Pour illuminer le thème choisit, je plaide pour l’interaction réciproque auprès de cosmos, monde et société engendré la révolution cosmos laisse apparaitre le basculement de société vers :

  • Le recyclage de la nature cultivée, tempérée et conscient en soi lorsque le simulacre perdu son crédibilité.
  • La surveillance scientifique s’appuie sur la recherche objective et scientifique en tenant compte l’estime universelle au lieu de la surveillance autoritaire dans le sens de Adorno lequel s’adosse à la dilution de la peur par la comparaison et / ou par l’incitation de l’un à l’autre concernant la dialectique supérieur et inferieure en tenant compte estime sociale et sollicitude personnelle.
  • Capital culturel (histoire – principe pas coutume ni habitus) et capital santé.
  • Social psychologie lorsque les simulacre s’enroulés dans la quotidienneté engendre l’absence de confiance que ceci pourrait susciter le retour de commun au lieu de société voire perte la prestige / crédibilité sociale.

Par conséquent, je pourrais mettre en exergue que l’introduction à la sociologie de cosmos permet de saisir à la fois les conséquences de révolution cosmos et la manière de l’organisation sociale eu égard aux changement sociaux ainsi que ceci permet de saisir les risques imprévus. D’ores et déjà les conséquences de société du simulacre engendre le manque de confiance que ceci fait réfléchir si la société contourne en la communauté ou bien si l’aliénation s’imprègne dans les sociétés ?

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