L’envie pourrait être la pathologie de la « complexe de supériorité »?

Dans la vie quotidienne je suis accoutumés d’attendre les discours comme suit : « Vous ne pouvez faire ce que je fais… » en jetant le regard fixé et menaçant évoqué les yeux des personnages des œuvres de Goya…  En soulignant que chaque discours devrait être considéré dans l’ensemble de contexte, je m’enquières comment peut – on saisir l’enjeu essentiel de cette phrase – là ? Dans le sillage de Nathalie Sarraute, l’auteure met en relief dans le livre intitulé Ici que la sensation intérieure dévoile par le truchement des discours (en tenant compte le contexte) comme l’illustre les œuvres de Arcimboldo : l’envie. Du fait, l’intérêt de ce post est de mettre en scène le regard sociologique concernant l’envie en suivant les pas de Balzac, Nathalie Sarraute et Mélanie Klein. Je plaide pour la thèse selon laquelle l’envie est la pathologie du complexe de supériorité.

 Pour aborder ce sujet, il me faut préciser la différence entre l’envie et la jalousie. En suivant le cheminement intellectuel de Mélanie Klein, l’auteure passe en revue la mise en scène concernant la nuance entre la jalousie et l’envie : la jalousie s’incarne par l’angoisse de perd de tel ou tel sujet / objet attachés tandis que l’envie s’identifie par le sentiment affligé eu égard à l’absence / au manque de l’objet / du sujet désiré, c’est la raison pour laquelle les gens envieux / envieuses ne pourraient pas supporter les scènes idylliques comme Nathalie Sarraute l’illustre par la métaphore de mauvais odeur.

Rentrons-en détaille de l’analyse des personnages envieux / envieuses, la thèse cardinale que je défends, s’appuie sur le rapport entre la complexe de supériorité et l’envie découlant par les discours indiqué les sentiments de la supériorité et / ou l’insupportable des scènes / des vies idylliques. Du coup, rappelons les discours de Adolf Hitler, la comparaison, les incitations et les mensonges jouent le rôle force motrice concernant l’émergence des sentiments de l’envie au-delà de sa signification psychanalytique. La preuve réside dans le livre de Honore De Balzac intitulé La cousine Bête qui est ambitieuse et désire la vie de sa cousine, s’insinue dans la vie de cousine comme si elle la soutient mais au moment de confiance, La cousine Bête détruit / bouleverse la vie de sa cousine. Partant de cette prémisse, je pourrais déduire que l’envie s’identifie en tant que la pathologie de complexe de supériorité que les vies des gens admirés sont bouleversées et détruites. En outre, les gens possédant le complexe de supériorité comme l’illustre les discours de Adolf Hitler ainsi que le personnage de Balzac La Cousine Bête, suscite la force motrice de l’envie.

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